Référendum populaire français, à la suisse !
Du Souverain ( nous les citoyens),
à nos conseillers qui devraient être à notre service
des autorités locales, communales, cantonales, nationales, et mondiales ou “supra-nationales” ( OMS, ONU etc )
Concerne: droits de l’homme, de vote, et politiques.
Faits de corruption généralisée financée par des dettes toujours plus grandes.
Non aux empoisonnements par tests chimiques OGM et génétiques.
Trahisons de nos “responsables”
Fraudes scientifiques et démocratiques.
Mesures super-provisionnelles très urgentes et immédiates..
Monsieur le Président
Nous venons d’étudier attentivement votre dernier discours.. Nous attirons votre attention sur les points urgents suivants.
Tout(e) citoyen(ne) disposant d’un droit de vote fait partie intégrante du Souverain et en tant que tel(le) est associé(e) à tous les processus démocratiques selon la constitution, les lois et coutumes.
Toute modification de la législation se doit de respecter la Constitution, les droits fondamentaux et les exigences en matière de protection des données.
Elle doit respecter notamment les principes historiques de bonne foi, de subsidiarité, de fédéralisme, de neutralité, de recherche de la paix, de concorde, de consultation de tous les corps intermédiaires ( Communes, Cantons, Universités, Armée, Syndicats, Académies, Chambre de commerce, etc. ), d’exhaustivité, d’objectivité, d'unité de la matière, de transparence et de proportionnalité.
Or, des lois, ordonnances, arrêtés, règlements et pratiques de plus en plus nombreuses violent clairement ces principes.
Toutes les "mesures d'urgence" et ordonnances imposées depuis plus d’une année, ne respectent ni la bonne foi, base du droit, ni l’objectivité scientifique, ni souvent l'unité de la matière, ni la transparence, ni la proportionnalité, ni même les procédures déjà prévues auparavant pour des situations d'urgence sanitaire. Au mépris des évidences cliniques les plus élémentaires, a été institué un état d’urgence artificiel et anxiogène, niant par exemple l'existence des traitements efficaces et bon marché, utilisés avec succès par de nombreux pays; en vue d'ériger en solution incontournable des produits expérimentaux prohibitifs, inaboutis, inefficaces, contre-productifs et dangereux, nécessitant une logistique disproportionnée. Les chiffres ont été honteusement biaisés, de la récolte des données jusqu'à leur présentation dans les média dominants refusant d'admettre qu’il n’y a plus ni pandémie, ni épidémie réelle. Le nombre des morts n’est jamais mis en perspective avec les autre s causes de mortalité ni avec les années précédentes, les cas sérieux sont traités de manières inappropriées et montés en épingle, les cas bénins sont gonflés artificiellement et l’éventuel manque de lits résulte autant de transferts abusifs de malades, que d'une politique de soi-disant réduction des coûts de la santé tout aussi inefficace financièrement que médicalement. L’espérance de vie baisse maintenant, et ceci à cause des effets dangereux de produits expérimentaux bâclés. Moderna par exemple, a raté toutes ses homologations de “vaccins” par le passé, et tous les acteurs dans ce domaine ont été condamnés à de lourdes amendes pour corruption, conflits d’intérêts, études “scientifiques” truquées, etc… Pfizer a aussi été condamné à de multiples reprises aux États-Unis pour falsification de données, corruption active et versement de commissions occultes. Cette pléthore de cas édifiants démontre à l'évidence que confier le développement et la fabrication de produits médicaux à des entreprises industrielles, transnationales à but lucratif, qui plus est, avec un encadrement à géométrie variable (pour ne pas dire élastique) relève du non-sens.
Si le contrat européen avec Pfizer, qui s’étend jusqu’en 2023, devait être exécuté comme prévu, chaque personne de l’Union européenne serait vaccinée au moins quatre fois sur une période de deux ans (2021-2023).
De plus, à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’ARNm de Pfizer (ainsi que ceux de ses concurrents, dont AstraZeneca, Moderna et J. & J.) sont légalement classés (aux États-Unis) comme « non approuvés » et « produits expérimentaux ». Ces produits ont été mis en circulation en toute illégalité sous un prétexte d'urgence sanitaire parfaitement abusif offrant ainsi à ces firmes un banc d'expérimentation à l'échelle planétaire aux frais de la princesse (en fin de compte, nous autres contribuables) et en les exemptant contractuellement, au mépris du droit le plus élémentaire et en catimini, de toute responsabilité.
Le plus grand projet d’un « produit non homologué » doit être mis en œuvre par une grande entreprise pharmaceutique qui a un long passé de corruption de médecins et de responsables de la santé publique.
Pfizer a été un « contrevenant par métier », s’engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corruptrices, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d’essais défavorables. Depuis 2002, l’entreprise et ses filiales se sont vu infliger 3 milliards de dollars de condamnations pénales, de sanctions civiles et d’amendes compensatoires par un jury. (Dr Robert G. Evans, National Institutes of Medicine)
De plus, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis, car inculpé par le ministère américain de la justice en 2009 pour « marketing frauduleux ».
« Pfizer, la plus grande entreprise pharmaceutique du monde, a été frappée de la plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis dans le cadre d’un accord de 2,3 milliards de dollars avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion abusive de médicaments et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants. ».
Dans une décision historique du ministère américain de la justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable face à des accusations pour crimes. Il s’agissait du « plus important règlement pour fraude dans le domaine de la santé » de l’histoire du ministère américain de la Justice.
Pour visionner la vidéo de C-Span, cliquez ici.
Faire confiance à un conglomérat de fabricants pharmaceutiques ayant plaidé coupable face à des accusations pour crimes portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), notamment en matière de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ne peut être considéré que comme une atteinte absurde à la sécurité de la population. Dans tout état juridiquement crédible, cela mènerait à leur démantèlement et à la mise hors d'état de nuire de leurs dirigeants, ainsi que des responsables politiques administratifs et sanitaires n'ayant pas assumé leurs responsabilités en matière de prévention et de traitement de ces cas. L’ensemble du processus est associé à une campagne généralisée de propagande mensongère et anxiogène et à la tentative d'imposer un passeport vaccinal numérique intégré et inextricable du corps humain.
Celui-ci fait partie du tristement célèbre projet ID 2020 parrainé par l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (le GAVI à Genève, se voulant au-dessus de nos lois et fonctionnant donc hors la loi avec le soutien et le financement de gouvernements, en fait, propriété privée de la fondation Bill & Melinda Gates « qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique généralisée ».
Le « vaccin » tueur
L’intégrité de l’entreprise ? Le comportement de Pfizer BioNTech en matière de « commercialisation frauduleuse » prévaut en ce qui concerne les 1,8 milliard de doses prévues de son « vaccin » à ARNm COVID 19 Tozinameran, « non homologué » et « expérimental », vendu sous la marque Comirnaty.
Nous avons affaire à la « commercialisation frauduleuse » de ce qui est décrit comme un « vaccin » mortel.
Mais en fait, le « vaccin » à ARNm qui modifie le génome humain n’est PAS un vaccin. Il est basé sur les inoculations ou injections de produits à la fois génétiquement manipulés et nano-technologiques répétés comme des mises à jour de logiciels d’exploitation, selon leur propre vocabulaire, combinées à un passeport vaccinal intégré interagissant avec un scanner approprié.
Bien que médiatiquement minimisés et répertoriés de manière tendancieusement lacunaire, de nombreux décès et effets secondaires de plus en plus graves, sur des personnes de plus en plus jeunes et nombreuses, résultent de ces «techno-bouillons expérimentaux» à haut rendement financier.
Le Conseil fédéral accordera un passeport Covid de plus longue durée aux personnes vaccinées qu’aux personnes ayant une immunité naturelle incomparablement meilleure suite à leur guérison du Covid-19. Il s’agit donc d’une nouvelle décision totalement arbitraire et discriminatoire.
Pourtant, selon des experts de plus en plus nombreux, et exempts de conflits d’intérêts, contrairement aux “experts” qui n’ont pas encore démissionné de la task force, qu'on pourrait rebaptiser task farce, toutes les mesures liberticides peuvent être supprimées aujourd’hui, comme dans de nombreux états dans le monde et aux USA, et repartir sur des bases plus saines, sans risques et dettes énormes de milliards à la charge de nos jeunes.
La catégorisation des personnes crée une discrimination qui est totalement inacceptable en raison de l’interdiction de l’inégalité de traitement des citoyens. En outre, ce certificat viole la protection des données.
Nous aimerions également savoir ce que vous avez réellement l’intention de faire en maintenant ces lois urgentes qui court-circuitent notre démocratie pour les prochaines années, rappelant ainsi le maintien abusif, de triste mémoire, pendant plusieurs années des dispositions exceptionnelles prises durant la 2ème guerre mondiale
La politique d’information doit refléter la situation juridique actuelle, sinon elle induira la population en erreur, ce qui aura de graves conséquences sur sa mission.
Nous avons déjà des violations graves de la Constitution, du droit naturel (jura novit curia) des lois de Nuremberg, des droits humains, alias droits de l’homme et de diverses conventions internationales, notamment celles de Genève, d’Oviedo, du statut de Rome, de la Haye, de l’OSCE et de la CEDH.
Sans réaction urgente, forte et rapide de votre part, vous confirmerez des violations graves qui doivent vous pousser à la démission immédiate.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments distingués.
Copies: à qui de droit.
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