https://rumble.com/vf03lb-gendarmes-franceces.html
https://rumble.com/vfpe4j-pandemic-spanish-policewoman-sonia-vescovacci-speaks-her-mind..html
https://youtu.be/TQVTv5ocjrY
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/entre-une-policiere-espagnole-et-lafp-qui-desinforme-le-plus
Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?
Le “factuel” à géométrie (très) variable.
Auteur(s): Wolf WAGNER pour FranceSoir
Suite à l’appel vidéo lancé par une policière espagnole incitant les spectateurs à enquêter sur ce qu’elle considère être « un recul inquiétant de la démocratie et des libertés » au sein de pays comme la France et l’Espagne, qu’elle qualifie de « dictatures sanitaires », l’AFP-Factuel, le service de vérification de l’Agence France Presse, lui a répondu en dénonçant les incohérences et autres fausses informations qu’elle pense déceler dans son discours. Problème : l’AFP s’appuie elle-aussi sur des informations erronées pour asseoir sa démonstration. Pire, elle ne peut l’ignorer, puisque France Soir l’en avait déjà avertie.
Sonia Vescovacci est, comme nous le rapporte le site Publicocité par l’AFP dans son article, officier du Corps national de police espagnole (CNP). Elle est également à la tête du collectif « policiers pour la liberté » (« policiàs por la libertad », la traduction en français de la description du collectif est proposée sur ce blog). Un collectif qui avait notamment appelé fin 2020 les agents des forces de l’ordre espagnoles à ne pas verbaliser les citoyens ne portant pas de masque ou ne respectant pas les restrictions sanitaires.
Dans sa dernière vidéo rapidement devenue virale, la policière, qui déclare avoir grandit dans la région marseillaise, se présente devant la caméra en uniforme et s’exprime dans un français à la tonalité hispanique. Elle y dénonce des « lois liberticides, absurdes et sans fondement scientifique » et appelle les citoyens et les journalistes à enquêter sur « les anomalies, les mensonges et les incohérences » existant autour de la crise actuelle, ainsi que sur cette « dictature sanitaire » qui, selon elle, fera « prochainement place à une dictature économico-techno-sanitaire ».
Considérée par les uns comme une « lanceuse d’alerte », elle est moquée et raillée par les autres. L’AFP en tête.
Dans son papier, l’Agence France Presse isole quatre points contenus dans les propos de Sonia Vescovacci qu’elle considère comme fallacieux :
– Les tests PCR sont frauduleux
– Les masques sont inutiles et toxiques
– Il existe des traitements capables de mettre fin à la pandémie
– Les vaccins sont toxiques
Une logorrhée d’arguments accessoires
Concernant ces quatre points, l’Agence France Presse va mettre en avant une logorrhée d’arguments nous renvoyant vers différents articles qu’elle a déjà écrit. Plusieurs heures de lecture vous seront ainsi nécessaires si vous souhaitiez consulter l’ensemble des papiers et autres références vers lesquels nous renvoie l’AFP.
Quelle meilleure preuve possible, pour nous convaincre que cette démonstration faite à l’encontre des arguments avancés par Sonia Vescovacci est juste, que celle de constater que l’AFP avait déjà éclaircie et largement étayée cette problématique ? Sous-entendu qu’il est particulièrement agaçant pour l’agence de presse de devoir nous informer à nouveau sur un sujet qu’elle pensait pourtant à présent entendu par chacun, tant elle avait déjà longuement écrit et « enquêté » sur le sujet.
Comment en vouloir à l’AFP de se sentir agacée de devoir se répéter quand nous le sommes nous-mêmes de lui faire à nouveau remarquer qu’elle ne cesse de toujours mettre en avant les mêmes arguments erronés ?
À l’instar de la manière d’opérer des complotistes les plus fantaisistes, obsédés par la conquête d’un auditoire qui, pour se laisser séduire, réclame de nos jours des théories aux allures de plus en plus vraisemblables, factuelles et argumentées, l’AFP pratique la technique de la « noyade de poisson ». Dit de manière plus intellectuelle, l’agence de presse verse dans le sophisme. En assénant sur un même thème des dizaines de paragraphes reposant principalement sur des préceptes factuellement vrais, l’agence de presse en profite ainsi pour faire passer des contre-vérités et pour, in fine, fuir les véritables questions posées qu’elle entendait pourtant éclaircir.
Par exemple, Sonia Vescovacci parle de « fraude aux tests PCR que l’on appelle aussi la fabrique de faux cas positifs pour ensuite justifier la mise en place de mesures pernicieuses ». Elle déclare que, selon elle, « l’inventeur de ce test, le prix nobel Kary Mullis, a bien expliqué que ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% ».
Ce que l’agence de presse résumera ainsi : « La policière fustige, dès le début de sa vidéo, “une fraude aux faux cas positifs pour les tests PCR” et assure qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise “avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99%” ».
Notez comment l’AFP détourne le sens du discours de la policière. Elle qui explique que « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 » voit ses propos être mutilés en : « la policière (…) fustige qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ». La partie considérant l’efficacité d’un test en fonction de sa capacité à détecter une maladie a été retirée, vidant ainsi de son sens le propos initialement défendu par Sonia Vescovacci.
Et c’est du coup sur cette base tronquée, et donc fallacieuse, que l’AFP va contredire la policière en expliquant pourquoi il est, à juste titre, faux d’annoncer que les tests PCR ne sont pas en mesure de détecter le Sars-CoV-2. Pour autant, tout au long de son argumentaire, l’agence de presse prendra précisément bien garde à rester beaucoup plus évasive concernant la nuance existant entre « présence de virus » et « maladie ».
Pour remettre en question les propos de l’agent des forces de l’ordre espagnoles, l’AFP va brièvement rappeler avoir déjà « démystifié » l’affirmation selon laquelle Kary Mullis aurait déclaré que les tests ne permettaient pas de diagnostiquer « des virus ». L’agence de presse nous renvoie ainsi vers deux articles, l’un du journal Le Monde et le second issu de son cru. (cf le point 2.).
Dans ces papiers, il est expliqué que, contrairement à une affirmation largement relayée sur les réseaux sociaux, jamais Kary Mullis n’a dit que « les tests PCR étaient incapables de détecter des virus ». Dont acte, mais l’AFP nous emmène bien sur un chemin de recherche qui ne convient pas à l’objet du débat instigué par la policière, puisque celui-ci porte sur la détection, via ces tests PCR, de maladies, et non de virus.
Une nuance qui ne semble vraiment pas évidente aux yeux de l’AFP qui considère peut-être qu’il n’est pas possible d’être porteur d’un virus, voire d’une infime part de virus, sans pour autant être malade ? Ce qui serait bien évidemment une erreur d’analyse non-négligeable.
Toujours est-il que dans ce second papier, l’agence de presse s’épanche un peu plus sur la question de la fiabilité du test et en vient à conclure qu’il « est exact en revanche qu’il n’est pas conçu pour déterminer précisément la quantité de virus présent dans l’échantillon ».
De son côté, l’exposé du Monde se contente de retrouver l’article originel d’où est véritablement tirée la phrase partagée sur les réseaux sociaux et dont l’auteur, John Lauritsen, n’est en effet pas l’ancien prix Nobel de chimie inventeur du test PCR.
En résumé, ces conclusions de l’AFP sur l’efficacité des tests PCR sont pour le moins déconcertantes, puisque selon elle :
– Il est inexact de déclarer que ces tests empêcheraient de détecter des virus, alors que Sonia Vescovacci parlait de maladies.
– Cette détection est réalisée à l’aide de tests dont l’agence de presse consent à reconnaître que leur résultats ne permettent pas de quantifier la présence d’un virus, et donc implicitement de pouvoir estimer sa proportion à pouvoir rendre malade l’organisme qui le porte.
Face à cette argumentation aux aspects proches de celui d’un oxymore, nul doute que les esprits les plus cyniques auront tendance à vouloir répondre à l’Agence France Presse : Kamoulox !
Une conclusion particulièrement contradictoire qui n’est pas, ou plus, partagée par Reuters (texte en anglais). En effet, l’agence de presse britannique qui, comme Le Monde, avait également décidé de classer cette citation attribuée à Kary Mullis (« PCR tests cannot detect free infectious viruses at all », c’est-à-dire « Les tests PCR ne peuvent pas du tout détecter les virus libres et infectieux ») comme « fausse » a finalement décidé de se rétracter pour la qualifier de « trompeuse ».
Reuters explique, tout comme l’AFP l’avait fait avant elle, que « le contexte autour de la citation montre que Lauritsen ne dit pas que les tests PCR ne fonctionnent pas. Au lieu de cela, il précise que la PCR identifie les substances qualitativement et non quantitativement ».
« Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. »
Là où l’interprétation varie entre les deux agences de presse, c’est lorsque Reuters cite l’extrait de l’article de Lauritsen incluant la fameuse phrase polémique : « La PCR est destinée à identifier les substances de manière qualitative, mais de par sa nature même, elle n’est pas adaptée à l’estimation des nombres. Bien qu’il y ait une fausse impression commune que les tests de charge virale comptent réellement le nombre de virus dans le sang, ces tests ne peuvent pas détecter du tout les virus libres et infectieux (…) Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. ».
Ce qui incite Reuters à conclure en notant que « même si Mullis avait fait une déclaration similaire avant sa mort en 2019 (ndla : comme par exemple ici), cette citation ne signifie pas que le test PCR est incapable de détecter la présence du SARS-CoV-2 (…) [mais] plutôt qu’il ne peut pas déterminer si l’individu testé est infectieux (ndla : « infectious » se traduit en français par « infectieux », il faut donc comprendre ici : « il ne peut pas déterminer si l’individu testé est contagieux et/ou porteur d’un virus infectieux ») ».
En résumé :
– Avant sa mort, Mullis avait bien fait une déclaration similaire à celle de Lauritsen, ce pourquoi Reuters a requalifié la citation comme « trompeuse ».
– Le test PCR est bien en mesure de détecter des traces de virus, mais il n’est pas capable de qualifier dans quelle proportion il s’est développé dans l’organisme sur lequel on a détecté sa présence, tout comme il n’est pas en mesure de déceler si vous êtes malade.
Soit, en définitive, une conclusion proche de ce qu’affirmait Sonia Vescovacci lorsqu’elle disait que : « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer des maladies et encore moins le covid ».
Même si l’AFP a dénaturé le sens de ses propos, l’agence de presse a, ainsi que Le Monde et Reuters, démontré de manière plus ou moins explicite et consciente que les tests PCR ne faisaient en réalité que révéler la présence, même inactive et infime, d’un virus dans un organisme, sans pour autant être en capacité de qualifier si un individu était malade.
Or, en médecine, la différence entre un individu qui abrite un virus et celui qui est malade est bel et bien de taille. Une différence si notable que nous pourrions trouver là motif à nous interroger sur la fiabilité des tests positifs au Covid quotidiennement recensés sur des personnes « asymptomatiques » et en pleine possession de leurs moyens.
« Le nombre de cycles, on s’en fiche » ?
Une nuance qui devient d’autant plus importante puisque, selon Sonia Vescovacci, ce test devient de moins en moins fiable dès lors qu’on « l’utilise couramment avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ».
La policière fait ici référence à la méthodologie utilisée lors de la recherche de virus à l’aide de ces tests. Plusieurs cycles d’amplification sont effectués sous diverses conditions. Plus vous effectuez de cycles, plus vous avez ainsi de chances de déceler la présence d’un virus. Une méthodologie expliquée dans cette vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève et reprise en exemple par l’AFP dans son article.
À la différence des propos tenus par l’agent des forces de l’ordre espagnoles, pour l’AFP il n’est pas possible de parler de manière générique concernant ces cycles d’amplification, puisque, comme l’agence de presse le démontre, chaque type de tests PCR répond à des technologies et à des normes différentes. De plus, selon les caractéristiques du virus que vous recherchez, vos analyses se devront d’être plus ou moins approfondies. Vouloir fixer une barre universelle maximale à 25 cycles d’amplification n’aurait donc pas de sens.
C’est ce qu’explique à l’AFP Vincent Enouf, directeur adjoint du Centre national de référence des virus respiratoires de l’Institut Pasteur : « cette valeur est généralement comprise entre 10 et 45. (…) En fait le nombre de cycles, on s’en fiche, tout dépend de la PCR, de la technologie que vous utilisez ».
« On s’en fiche » dans le sens où le nombre de cycles optimal à effectuer variera selon le virus et selon la technologie utilisée. Il ne peut donc pas y avoir de seuil normé.
« On s’en fiche » donc surtout en tant que référence universelle, mais s’en fiche-t-on réellement dans l’absolu ?
Quid d’un éventuel seuil, propre à chaque type de tests PCR (par exemple et au hasard 25 cycles pour l’un, 35 pour l’autre, 45 pour un troisième), qui une fois franchi rendrait caduc le résultat d’un test, tant on aurait multiplié ses cycles d’amplification au point de détecter d’infimes parties de virus qui n’impliqueraient aucune maladie chez le sujet testé ? À moins que l’AFP et Vincent Enouf ne considèrent qu’un test reste fiable quel que soit le nombre de cycles effectué ?
Il est malheureusement impossible de le déterminer après lecture du flot d’articles pourtant proposé par l’AFP sur ce sujet. En étant à la fois incapable de définir s’il existe un seuil maximal de cycles à ne pas dépasser pour chaque technologie utilisée, tout en n’ayant aucune idée du nombre de cycles d’amplification effectué dans les différents laboratoires français, l’Agence France Presse est, contrairement à ce qu’elle s’estime être en mesure d’affirmer, factuellement dans l’impossibilité de nous apporter des éléments tangibles permettant de contredire sur le fond Sonia Vescovacci quant à la potentialité que les résultats de tests PCR puissent être, d’une manière ou d’une autre, frauduleux.
En l’état, l’agence de presse s’obstine simplement à expliquer pourquoi le stade fixé à 25 cycles par la policière est en soi un non-sens et pourquoi ces tests sont bien en mesure de déceler la présence du virus. Si l’AFP a raison sur ces points, cette superposition d’arguments orchestrée autour de questions secondaires sonne davantage comme des victoires à la Pyrrhus pour sa démonstration, puisque in fine, face à un poisson refusant de se noyer, nous restons sur notre faim.
Peut-être ces tests PCR peuvent-ils être frauduleux si sujets à trop de cycles d’amplification, peut-être pas, mais ce n’est pas à la lecture de l’article de l’AFP, et de ses nombreux satellites, que nous sommes plus avancés pour le définir. Pourtant, ces-derniers entendaient bien répondre à notre attente par la négative, tout en prétendant contester la véracité des propos tenus par Sonia Vescovacci.
Une vingtaine de scientifiques, un grand média et des juges portugais ne partagent pas les mêmes conclusions que l’AFP
Ce manque d’informations autour de la fiabilité d’un test en cas de dépassement d’un certain nombre de cycles est d’autant plus dommageable que cette question n’est quasiment jamais soulevée dans la presse, tout comme la vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève ne l’explicite pas non plus. À l’inverse, ils sont nombreux à dénoncer une aberration autour de ce sujet. C’est notamment le cas de cette vingtaine de scientifiques dont l’étude remet en cause l’utilisation des tests PCR sous leur forme actuelle.
Et ils ne sont pas les seuls. Au Portugal, des juges ont qualifié de « discutables » les résultats obtenus par ces tests, notamment concernant ces ambiguïtés touchant aux cycles d’amplification.
En Belgique, un « grand média », la RTBF, ira même jusqu’à communiquer le nombre de cycles réalisé, selon eux, dans le plat pays : « entre 30 et 35 ». Mieux, la RTBF interrogera Frédéric Cotton, responsable de l’un « des cinq plus grands labos belges ». qui admettra « [qu’]aujourd’hui, on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort ».
Frédéric Cotton ajoutera, avec un certain bon sens que l’AFP aime à occulter dans ses analyses, que « cela dit, on devrait pouvoir donner au médecin un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés, ce qui lui donnerait une meilleure idée de la contagiosité de son patient Covid. (…) N’empêche en attendant, une standardisation, les labos pourraient commencer à donner une évaluation de la quantité de virus (faible, moyenne ou forte), ce serait un progrès. ».
Un progrès qui permettrait surtout d’offrir de la transparence à l’étude scientifique et publique relative à la fiabilité de ces tests, puisque selon Frédéric Cotton, il suffit de communiquer sur la quantité de virus détectée à chaque cycle pour avoir une idée bien plus précise de la contagiosité, et donc de la charge virale d’un individu. De quoi y voir beaucoup plus clair dans la différenciation à réaliser entre les cas les plus graves et ceux les plus anodins.
Dans Hold-up, le documentaire de Pierre Barnéras, qui avait défrayé la chronique l’an dernier et dont les approximations et diverses projections subjectives avaient permis de dénaturer son travail journalistique aux yeux de l’opinion publique, figurait l’extrait d’un reportage de 8 Mont-Blanc, une chaine de télévision savoyarde disponible sur le cable. Dans cet extrait, un analyste était interrogé sur le nombre de cycles d’amplification effectué dans son laboratoire (à partir de 11’06”). Ce-dernier expliquait alors devant la caméra procéder à des recherches allant jusqu’à 50 cycles, ponctuant sa phrase par « ce qui fait qu’on est très très très très sensible (sic) »
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Image tirée du reportage réalisé par 8 Mont-Blanc dans un laboratoire effectuant des tests jusqu’à 50 cycles d’amplification.
Qu’importe l’avis que chacun s’est fait sur Hold-Up, ce passage est extrait d’un reportage réalisé par une rédaction de journalistes, dont le travail ne peut pas, faute de contradiction probante, être remis en question.
Si grâce à l’AFP nous sommes à présent en mesure d’affirmer que le seuil de 25 cycles ne peut pas être pris comme référence universelle maximale à ne pas dépasser pour obtenir des résultats fiables lorsque l’on cherche à détecter la présence suffisamment importante d’un virus dans un organisme, nous restons en revanche ignorants sur l’interprétation que nous pouvons faire vis à vis d’une amplification portée à 50 cycles, et ce, quelle que soit la technologie utilisée par ce laboratoire. Les seules réponses que nous ayons pour le moment émanent d’individus qui ne sont, certes, pas journalistes à l’AFP, mais qui le sont néanmoins bien à la RTBF, ou qui sont des scientifiques reconnus, quand ils ne sont pas juges au Portugal, et qui, tous, remettent en cause la fiabilité supposée implacable des tests PCR.
Quant au responsable du grand labo belge, s’il juge déjà qu’à « 30 à 35 cycles », « on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort », il serait intéressant de le questionner sur la technologie utilisée permettant, selon lui, de nécéssiter de monter jusqu’aux 50 cycles évoqués dans le reportage de 8 Mont-Blanc.
N’en déplaise à l’AFP, voici la preuve a minima que le débat scientifique et sociétal sur le sujet n’est pas tranché, et encore moins clos. La probabilité que des tests PCR puissent être frauduleux existe. Pour lever tout soupçon, il suffirait, comme le préconise Frédéric Cotton, de rendre plus transparent le calcul des résultats en donnant simplement « au médecin », et au patient, « un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés ».
Différents avis divergents auxquels chacun décidera d’octroyer plus ou moins d’importance selon l’analyse qui lui est propre, mais que l’AFP, elle, ne juge visiblement que trop peu pertinents pour devoir nous les dévoiler. On notera toutefois que le seuil de 50 cycles d’amplification se situe en dehors de la « valeur généralement comprise entre 10 et 45 » annoncée par Vincent Enouf.
De quoi à nouveau relancer nos interrogations concernant les cas asymptomatiques et en bonne santé. De la même manière, redescendre sous la barre des 5,000 cas par jour fixée par Emmanuel Macron pourrait dès lors apparaître comme particulièrement difficile à atteindre si toute personne abritant une infime part de virus, potentiellement « mort entre guillemets », était obligatoirement testée positive.
L’AFP répète systématiquement les mêmes erreurs… et les mêmes fausses informations
Autre preuve du déni de l’AFP, dès les premières lignes de son article, l’agence de presse cherche à contredire la policière espagnole qui dit s’appuyer sur les propos des « professeurs Perronne, Toussaint, Raoult et Alexandra Henrion-Caude ». Pour cela, l’agence de presse fait référence à l’un de ses précédents papiers (qui lui-même renvoyait déjà à de nombreux autres) censé(s) prouver pourquoi Hold-up était truffé d’une trentaine de fausses informations.
Or, déjà à l’époque dans sa démonstration, l’AFP s’était elle-même faite l’écho de nombreuses informations erronées, pour ne pas dire mensongères, comme nous vous le révélions dans ce non moins court article sur le sujet.
Malgré notre travail journalistique qui n’a depuis été contredit ni de près ni de loin par aucun service de vérification de la presse dominante, il est particulièrement exaspérant de constater que l’Agence France Presse persiste et signe dans sa démarche visant à cultiver des zones d’ombre, voire des passages purement fallacieux ou faux, lors de démonstrations pourtant extrêmement détaillées.
En effet, si vous allez au bout de la lecture des différents papiers proposés par l’AFP, vous constaterez qu’en ce qui concerne la partie de son article touchant aux « traitements capables de mettre fin à la pandémie », et donc à la question de l’hydroxychloroquine, elle continue d’appuyer l’ensemble de sa contre-argumentation sur 3 études scientifiques qui, contrairement à ce qu’affirme l’agence de presse, ne démontrent en réalité pas que cette molécule est inefficace pour lutter contre le Covid (ndla : Cf le point 5/de notre papier).
Deux d’entre elles, Solidarity et Discovery, ont administré des doses de cheval à leurs patients, qui plus est sans avoir associé la molécule à aucun antibiotique, rendant ainsi caduque tout constat fiable sur le traitement proposé par le professeur Raoult. Des doses véritablement dangereuses au regard des posologies préconisées par l’Agence nationale de sécurité du médicament. La troisième étude, Hycovid, a, pour sa part, clairement eu tendance à prouver l’inverse de l’interprétation à laquelle se réfère l’AFP, puisqu’elle montrait qu’associée à l’azithromycine, l’hydroxychloroquine obtenait des effets sensiblement positifs sur les malades atteints de Covid-19. Le trop faible nombre de patients concernés et la trop courte durée de l’étude n’ayant pas permis de confirmer ces résultats.
Bis repetita sur le sujet des masques, où l’AFP contredit l’idée qu’ils puissent être inutiles et toxiques. Là encore, l’agence de presse usera de multiples arguments pour expliquer pourquoi le masque est bien utile dans certaines situations et conditions, tout en omettant de préciser dans lesquelles il ne l’est pas et en ne mentionnant pas le fait que l’Organisation mondiale de la santé, elle-même, n’est pas en mesure de prouver scientifiquement qu’il le soit. Le même procédé est utilisé concernant leur toxicité (ndla : cf les points 1/ et 2/de notre précédent papier).
Que l’AFP puisse faire des erreurs, voire qu’elle puisse colporter plusieurs fausses informations dans ses articles, est de l’ordre du tolérable. A fortiori durant une crise où se mêlent de multiples incertitudes. Nul n’est parfait… même s’il fut un temps où cela impliquait une démission immédiate de son équipe dirigeante. En revanche, ce qui intrigue davantage sur les motivations qui animent maintenant la parution de ses articles, c’est que, même une fois alertée, l’AFP choisisse tout de même de s’obstiner à répéter des démonstrations interminables qu’elle sait pourtant biaisées, et donc fausses, le tout en promotionnant toujours la même idée directrice sans jamais chercher à opposer ses arguments aux informations contradictoires les plus pertinentes.
En bref, l’AFP ne s’embarrasse à présent plus à chercher la vérité. Elle la décrète directement et distribue ensuite ses bons points.
Gendarmes franceses
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Sonia Vescovacci
Comunidad Valenciana
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12 minutes
Sonia Vescovacci, 41 ans
Membre de la Police Nationale Espagnole
Camarades de la Gendarmerie de la Police Nationale, des Douanes, des Armées,
Je suis Sonia Vescovacci, Membre de la Police Nationale Espagnole.
Je m’adresse à vous toutes, et à vous tous, car une partie de mon cœur est en France. J’ai en effet passé mon enfance à Marseille.
Avec mes collègues des Forces de l’Ordre Espagnoles, nous avons créé le Collectif « Policias por la Libertad », Policiers pour la Liberté, et depuis peu, un collectif d’envergure internationale, qui s’appelle « Police for Freedom ».
POURQUOI ?
Tout comme en France, et comme dans beaucoup de pays dans le monde, nous constatons qu’au cours de cette crise du Covid, beaucoup trop d’anomalies, de mensonges, de manipulations et d’incohérences sont apparues.
Nous assistons par ailleurs à un recul inquiétant de la démocratie et des libertés. Lois liberticides, mesures sanitaires absurdes et sans fondement scientifique, mise en place d’une dictature sanitaire qui, à ce rythme, fera bientôt place à une dictature économico-techno-sanitaire. Destruction de la société, du vivre ensemble, ruine de l’économie : Autant de facteurs qui nous interpellent et qui nous incitent à enquêter.
QU’EST-CE QUI SE PASSE ?
TC : 01.32
Nous nous interrogeons en outre au sujet de la fraude de tests PCR que l’on appelle aussi la fabrique des faux cas positifs, pour ensuite justifier l’adoption et la mise en place de mesures pernicieuses, qui aboutiront à la destruction de notre santé et à la destruction de notre société.
Vous êtes-vous demandé à qui profitent tous ces tests inappropriés qui risquent de ruiner notre sécurité sociale ? Aux fabricants, aux politiques qui collaborent ? Aux deux ?
L’inventeur de ce test, le Prix Nobel Kari Mullis a bien expliqué que ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer une maladie, encore moins le Covid, encore moins si on utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25, comme c’est le cas à 99%.
Comme l’explique si bien le grand avocat Reiner Fuellmich, il n’y a pas de pandémie, il y a une épidémie de tests PCR frauduleux.
TC 02 :26
ENQUÊTER !
Au sujet des incitations financières, et autres directives qui invitent à mettre trop souvent l’étiquette Covid sur les personnes malades ou décédées quand cela n’est pas justifié scientifiquement ?
Au sujet des pots-de-vin et financements douteux proposés aux gouvernements par les instances financières internationales en échange de politiques de lockdowns, masques, vaccins, surendettement de nos nations.
Au sujet de l’obligation faite aux populations de porter des masques inutiles et toxiques à moyen et long terme.
Retenons que les Coronavirus mesurent en moyenne cent nanomètres, c’est-à-dire dix mille fois plus petits qu’un millimètre. Autant dire que cette mesure est simplement politique, tout comme l’avait expliqué le Professeur Raoult devant la commission d’enquête parlementaire.
Au sujet de la distanciation sociale.
ENQUÊTER !
Au sujet de l’interdiction ou du discrédit jetés sur tous les traitements efficaces et économiques permettant de lutter contre ce virus, mais aussi les virus en général. L’utilisation de ces traitements met un terme immédiat à cette supposée pandémie.
Au sujet de la non-divulgation et la non-promotion des mesures visant à renforcer le système immunitaire.
Au sujet des confinements délétères et destructeurs.
Au sujet de la corruption et des conflits d’intérêt orchestrés par les lobbys pharmaceutiques, les BioTech, les NewTech, Les Big Tech vis-à-vis de certains responsables gouvernementaux, responsables de la santé, La OMS et autres institutions.
Au sujet du rôle plus qu’étrange des médias qui sèment la terreur et qui semblent être au service des lobbys, des cartels et des gouvernements corrompus, au lieu d’enquêter et d’informer objectivement les citoyens.
Au sujet de cette obsession pour des vaccins toxiques, préparés dans la précipitation, et le rôle plus que douteux d’instances gouvernementales, européennes et mondiales, pour imposer coûte que coûte ce type de politique de santé en échange d’avantages financiers, qui leur sont consentis par ces cartels de l’ombre.
ENQUÊTER !
Au sujet des effets secondaires désastreux à court terme et surtout à moyen et long terme de cette thérapie génique qu’ils appellent frauduleusement « vaccins ».
Au sujet de la spéculation outrancière et les plus-values scandaleuses réalisées par ceux-là même qui corrompent et qui veulent imposer leurs traitements toxiques. Jusqu’à 700% de plus-values.
Enfin, au sujet des plans eugénistes de certains personnages dangereux qui ne se cachent même plus.
TC : 05.25
Notre devoir, VOTRE devoir est d’enquêter sur ces points, et sur bien d’autres encore.
Nous ne pouvons pas nous satisfaire de la narration des médias, ni de celles de nos gouvernants, incompétents ou complices.
Prenez le temps de lire la plainte criminelle de l’association Réaction 19 au Tribunal pénal de Paris, relative aux vaccins, qui sont en réalité des thérapies géniques, ou encore relative aux masques inutiles et surtout toxiques.
Prenez le temps de lire la plainte de l’avocat Reiner Fuellmich relative à la fraude des tests PCR et au reste. Le rapport de la Commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur le Covid 19 est édifiant et très révélateur.
TC 06 :10
NOUS AVONS JURÉ FIDÉLITÉ AU PEUPLE
En intégrant les Forces de l’Ordre ou l’armée, nous avons juré de servir et de protéger le Peuple, qui par ses impôts, nous permet d’avoir un salaire.
Nous avons juré de respecter la Constitution et la Déclaration des Droits de l’Homme.
Face à ces graves dérives de nos gouvernements et de toutes ces instances financières, sanitaires, nationales, européennes et internationales à la solde des cartels, notre devoir et notre responsabilité est de nous poser les bonnes questions, et surtout d’enquêter, pour rétablir l’état de droit, la justice, le bien commun, la démocratie, et mettre hors d’état de nuire les coupables.
Notre rôle est de servir et protéger les citoyennes et les citoyens, et non les puissances d’argent ainsi que leurs complices qui veulent imposer leur plan macabre au détriment de nos sociétés, de nos nations et de nos familles.
Notre devoir est donc de ne pas appliquer des ordres qui sont illégaux, préjudiciables aux citoyens, et qui n’ont aucun fondement sanitaire.
Car il s’agit en réalité d’une dictature sous couvert d’un virus qui, si l’on prend en compte la fraude des chiffres, ne provoque pas plus de morts qu’une grippe sévère.
Prenez en compte le fait que beaucoup de gens sont décédés parce qu’ils n’ont pas pu bénéficier des traitements existant et pourtant efficaces, et que d’autres ont tout simplement été abandonnés ou euthanasiés.
IL EST URGENT D’AGIR ..
Face à la gravité de la situation, notre devoir est donc de nous ranger au côté du peuple, dont nous sommes issus ainsi que nos familles. Car dans le cas contraire, nous risquons de nous transformer en milice d’une dictature destructrice.
Nous devons faire preuve de courage et de discernement, et ne pas nous abriter derrière des prétextes tels que « ce sont les ordres ».
TC : 07 :56
Dans notre belle France, des professeurs tels que Perronne, Toubiana, Raoult, Alexandra Henrion-Caude, et tant d’autres font preuve de courage, en association avec des avocats tels que Fabrice Di Vizio, Carlo Alberto Brusa, de Réaction 19 ou encore Virginie de Araujo-Recchia pour dénoncer les abus et les plans perfides des lobbys de certains gouvernants corrompus et complices.
En Espagne, des médecins, des avocats en association avec des avocats entreprennent des démarches similaires.
Au plan international, le célèbre avocat allemand Reiner Fuellmich a présenté des plaintes qui pourraient donner lieu à un procès mondial pour crime contre l’humanité. Il dénonce notamment, la fraude des tests PCR, la fraude des faux-cas de Covid, ainsi que tous les mensonges et manipulations des gouvernements et des médias entre autres choses.
Prenez le temps d’écouter ces médecins et ces avocats et d’examiner les pièces à conviction, au lieu d’écouter la télévision ou la radio à la solde des cartels de l’ombre.
Nous ne pouvons plus dire que nous ne savons pas.
HONORONS NOTRE UNIFORME !
Honorons notre uniforme et notre fonction, protégeons et servons le peuple, et mettons hors d’état de nuire les gens qui menacent nos libertés, nos vies, celles de nos enfants, de nos familles, de nos amis, de nos citoyens, ainsi que nos économies et nos nations.
Soyons bien conscients qu’aux yeux de nos gouvernements, nous ne sommes rien. Ils nous utilisent simplement pour les protéger eux, leurs intérêts ainsi que ceux de leurs maîtres de l’ombre qu’ils représentent. Ils nous utilisent pour faire le sale boulot.
Sans nous, eux et leurs maîtres de l’ombre qui nous mènent à la perte, ils ne sont plus rien.
Sans nous, leurs plans macabres et destructeurs prennent fin.
NOUS SOMMES, LES ANGES GARDIENS DU PEUPLE
Camarades gendarmes, policiers et militaires français, sachez que nous, policiers et forces de l’ordre espagnols du collectif « Policias por la Libertà » ou « Police for Freedom », nous avons commencé à revendiquer notre fidélité au Peuple et notre attachement au serment que nous avons fait lorsque nous nous sommes engagés pour la protection des citoyens et des citoyennes qui nous surnomment les anges-gardiens. Camarades Français des Forces de l’Ordre, nous vous invitons à suivre notre exemple.
Par respect du code déontologique et du serment que vous aussi avez prononcé.
Si vous manquez de courage, pensez aux Résistants qui risquaient leur vie pour défendre la liberté pendant la seconde guerre mondiale.
Aujourd’hui, les dictateurs ne sont plus en uniforme, ils n’ont plus de mitraillettes. Non, ils sont souvent vêtus de beaux costumes, leurs armes sont la spéculation, leurs multinationales toutes puissantes, leurs milliards de dollars, leurs corrompus et leurs armées.
Tous les complices à tous les niveaux qui se sont laissé corrompre, alors qu’ils étaient censés représenter les intérêts des citoyennes et des citoyens.
LES GARDIENS DE LA PAIX
TOUS ENSEMBLE, nous, les gardiens de la Paix, nous pouvons créer une société meilleure, sans conflits d’intérêts avec les lobbys malfaisants. Sans politiques corrompus, malveillants ou incompétentes.
Une société où triomphent le Bien Commun, la Vérité, la Justice, la Liberté, la Démocratie, la santé psychique, physique et économique.
Mais cela ne se fera pas sans nous. Nous sommes la clé de voûte. Il est donc de notre devoir de nous positionner et d’agir de toute urgence.
Courage, Force, et Honneur.
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Sonia Vescovacci, 41 years old
Member of the Spanish National Police
Fellow members of the Gendarmerie, the National Police, the Customs and the Armed Forces,
I am Sonia Vescovacci, Member of the Spanish National Police.
I am speaking to all of you, and to all of you, because part of my heart is in France. I spent my childhood in Marseille.
With my colleagues of the Spanish Police Force, we have created the Collective “Policias por la Libertad”, Policemen for Freedom, and recently, a collective of international scope, which is called “Police for Freedom”.
WHY ?
As in France, and as in many countries in the world, we note that during this crisis of Covid, too many anomalies, lies, manipulations and inconsistencies appeared.
We are also witnessing a worrying decline in democracy and freedom. Liberticidal laws, absurd sanitary measures without scientific basis, setting up of a sanitary dictatorship which, at this rate, will soon be replaced by an economic-techno-sanitary dictatorship. Destruction of the society, of the living together, ruin of the economy: So many factors which challenge us and which incite us to investigate.
WHAT’S GOING ON?
TC: 01.32
We also wonder about the fraudulent PCR tests that are also called the false positive factory, to then justify the adoption and implementation of pernicious measures, which will lead to the destruction of our health and the destruction of our society.
Have you asked yourself who benefits from all these inappropriate tests that risk ruining our social security? The manufacturers, the collaborating politicians? Both?
The inventor of this test, Nobel Laureate Kari Mullis, has made it clear that this test cannot be used to diagnose any disease, let alone Covid, let alone if it is routinely used as an amplification cycle greater than 25, as is the case with 99%.
As the great lawyer Reiner Fuellmich explains so well, there is no pandemic, there is an epidemic of fraudulent PCR tests.
TC 02:26
INVESTIGATE!
About the financial incentives, and other directives that invite to put the Covid label too often on sick or dead people when it is not scientifically justified?
About the bribes and dubious financing offered to governments by international financial bodies in exchange for policies of lockdowns, masks, vaccines, over-indebtedness of our nations.
About the obligation for populations to wear useless and toxic masks in the medium and long term.
Let us remember that Coronaviruses measure on average one hundred nanometers, that is to say ten thousand times smaller than a millimeter. As much to say that this measure is simply political, just as Professor Raoult had explained it in front of the parliamentary commission of inquiry.
About social distancing.
INVESTIGATE!
About the banning or discrediting of all effective and economical treatments to fight this virus, but also viruses in general. The use of these treatments puts an immediate end to this supposed pandemic.
About the non-disclosure and non-promotion of measures to strengthen the immune system.
About the deleterious and destructive confinements.
About the corruption and conflicts of interest orchestrated by the pharmaceutical, BioTech, NewTech, Big Tech lobbies towards certain government officials, health officials, WHO and other institutions.
About the more than strange role of the media that sows terror and seems to be at the service of lobbies, cartels and corrupt governments, instead of investigating and informing objectively the citizens.
About this obsession with toxic vaccines, prepared in a hurry, and the more than dubious role of governmental, European and world bodies, to impose this type of health policy at any cost in exchange for financial benefits, which are granted to them by these shadowy cartels.
INVESTIGATE!
About the disastrous short term and especially medium and long term side effects of this gene therapy that they fraudulently call “vaccines”.
About the outrageous speculation and the scandalous capital gains made by those who corrupt and want to impose their toxic treatments. Up to 700% capital gains.
Finally, about the eugenic plans of certain dangerous characters who do not even hide any more.
TC: 05.25
Our duty, YOUR duty is to investigate these points, and many others.
We cannot be satisfied with the narration of the media, nor with those of our incompetent or complicit rulers.
Take the time to read the criminal complaint of the association Réaction 19 at the Criminal Court of Paris, concerning vaccines, which are in reality gene therapies, or concerning useful and especially toxic masks.
Take the time to read the complaint of the lawyer Reiner Fuellmich concerning the fraud of PCR tests and the rest. The report of the German extra-parliamentary commission of inquiry on Covid 19 is edifying and very revealing.
TC 06:10
WE HAVE SWORN LOYALTY TO THE PEOPLE
By joining the Forces de l’Ordre or the army, we have sworn to serve and protect the People, who through their taxes, allow us to have a salary.
We have sworn to respect the Constitution and the Declaration of Human Rights.
In the face of these serious abuses by our governments and all the financial, health, national, European and international authorities in the pay of the cartels, our duty and responsibility is to ask the right questions and, above all, to investigate in order to re-establish the rule of law, justice, the common good and democracy, and to put the culprits out of action.
Our role is to serve and protect the citizens, not the money powers and their accomplices who want to impose their macabre plan to the detriment of our societies, our nations and our families.
It is our duty not to apply orders that are illegal, harmful to citizens, and have no health basis.
Because it is in fact a dictatorship under the guise of a virus that, if you take into account the fraudulent figures, does not cause more deaths than a severe flu.
Take into account that many people died because they could not benefit from the existing and yet effective treatments, and that others were simply abandoned or euthanized.
IT IS URGENT TO ACT .
Faced with the gravity of the situation, our duty is to side with the people, from whom we come and our families. Because otherwise, we risk turning ourselves into the militia of a destructive dictatorship.
We must show courage and discernment, and not hide behind pretexts such as “these are the orders”.
TC: 07:56
In our beautiful France, professors such as Perronne, Toubiana, Raoult, Alexandra Henrion-Caude, and so many others show courage, in association with lawyers such as Fabrice Di Vizio, Carlo Alberto Brusa, of Reaction 19 or Virginie de Araujo-Recchia to denounce the abuses and the perfidious plans of the lobbies of certain corrupt and complicit governors.
In Spain, doctors and lawyers in association with lawyers are taking similar steps.
At the international level, the famous German lawyer Reiner Fuellmich has presented complaints that could lead to a world trial for crimes against humanity. He denounces, among other things, the fraud of PCR tests, the fraud of Covid’s false cases, as well as all the lies and manipulations of governments and the media.
Take the time to listen to these doctors and lawyers and examine the evidence, instead of listening to the television or radio in the pay of the shadowy cartels.
We can no longer say we don’t know.
LET’S HONOR OUR UNIFORM!
Let us honor our uniform and our office, protect and serve the people, and put to rest those who threaten our freedoms, our lives, our children’s lives, our families, our friends, our citizens, our economies and our nations.
Let us be aware that in the eyes of our governments, we are nothing. They use us simply to protect them, their interests and the interests of the shadowy masters they represent. They use us to do their dirty work.
Without us, they and their shadowy masters who are leading us to our doom, they are nothing.
Without us, their macabre and destructive plans come to an end.
WE ARE THE GUARDIAN ANGELS OF THE PEOPLE
Comrades gendarmes, policemen and French soldiers, you should know that we, Spanish policemen and law enforcement officers of the collective “Policias por la Libertà” or “Police for Freedom”, have begun to claim our loyalty to the People and our attachment to the oath we took when we committed ourselves to the protection of the citizens who call us the guardian angels. French comrades of the Forces of Order, we invite you to follow our example.
Out of respect for the deontological code and the oath that you too have taken.
If you lack courage, think of the Resistance fighters who risked their lives to defend freedom during the Second World War.
Today’s dictators are no longer in uniform, they no longer carry machine guns. No, they are often dressed in nice suits, their weapons are speculation, their powerful multinationals, their billions of dollars, their corrupt people and their armies.
All the accomplices at all levels who let themselves be corrupted, when they were supposed to represent the interests of the citizens.
WE ARE, THE GUARDIAN ANGELS OF THE PEOPLE
Comrades gendarmes, policemen and French soldiers, you should know that we, Spanish policemen and law enforcement officers of the collective “Policias por la Libertàd” or “Police for Freedom”, have begun to claim our loyalty to the People and our attachment to the oath we took when we committed ourselves to the protection of the citizens who call us the guardian angels French comrades of the Forces of Order, we invite you to follow our example.
Out of respect for the deontological code and the oath that you too have taken.
If you lack courage, think of the Resistance fighters who risked their lives to defend freedom during the Second World War.
Today’s dictators are no longer in uniform, they no longer carry machine guns. No, they are often dressed in nice suits, their weapons are speculation, their powerful multinationals, their billions of dollars, their corrupt people and their armies.
All the accomplices at all levels who let themselves be corrupted, when they were supposed to represent the interests of the citizens.
THE PEACEKEEPERS (in French it is the old name for police: Les gardiens de la Paix)
TOGETHER, we, the peacekeepers, can create a better society, without conflicts of interest with evil lobbies. Without corrupt, malicious or incompetent politicians.
A society where the Common Good, Truth, Justice, Freedom, Democracy, psychological, physical and economic health triumph.
But this will not happen without us. We are the keystone. It is therefore our duty to position ourselves and to act urgently.
Courage, Strength, and Honor.
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12 MINUTEN
Sonia Vescovacci, 41 Jahre alt
Angehörige der spanischen Nationalpolizei
Kameraden der Gendarmerie, der Nationalen Polizei, des Zolls und der Streitkräfte,
Ich bin Sonia Vescovacci, Mitglied der spanischen Nationalpolizei.
Ich spreche zu Ihnen allen und für Sie alle, weil ein Teil meines Herzens in Frankreich ist. Ich habe meine Kindheit in Marseille verbracht.
Mit meinen Kollegen der spanischen Polizei haben wir das Kollektiv “Policias por la Libertad”, Polizisten für die Freiheit, gegründet, und vor kurzem ein internationales Kollektiv, das sich “Polizei für die Freiheit” nennt.
WARUM?
Genau wie in Frankreich und wie in vielen Ländern der Welt stellen wir fest, dass während dieser Covid-Krise zu viele Ungereimtheiten, Lügen, Manipulationen und Widersprüche aufgetreten sind.
Wir sind auch Zeugen eines besorgniserregenden Rückgangs von Demokratie und Freiheit. Freiheitsfeindliche Gesetze, absurde Hygienemaßnahmen ohne wissenschaftliche Grundlage, Errichtung einer Hygienediktatur, die bei diesem Tempo bald von einer ökonomischen Techno-Sanitärdiktatur abgelöst werden wird. Zerstörung der Gesellschaft, des Zusammenlebens, Zerstörung der Wirtschaft: So viele Faktoren, die wir hinterfragen und die uns zu Nachforschungen anregen.
WAS GEHT HIER VOR SICH?
TC: 01.32
Wir wundern uns auch über den PCR-Test-Betrug, der auch als “Falsch-Positiv-Fabrik” bezeichnet wird, um dann die Verabschiedung und Umsetzung von verhängnisvollen Maßnahmen zu rechtfertigen, die zur Zerstörung unserer Gesundheit und unserer Gesellschaft führen werden.
Haben Sie sich schon einmal gefragt, wer von all diesen unangemessenen Tests profitiert, die unsere soziale Sicherheit zu ruinieren drohen? Die Hersteller, die mitmachenden Politiker? Beide?
Der Erfinder dieses Tests, Nobelpreisträger Kari Mullis, hat deutlich gemacht, dass dieser Test nicht zur Diagnose irgendeiner Krankheit verwendet werden kann, geschweige denn für Covid, schon gar nicht, wenn er routinemäßig mit Amplifikationszyklen größer als 25 schon routinemäßig in 99% der Fälle verwendet wird.
Wie der anerkannte Jurist Reiner Fuellmich so gut verständlich dargelegt hat, gibt es keine Pandemie, sondern eine Epidemie von gefälschten PCR-Tests.
TC 02:26
ERMITTELN!
Über die finanziellen Anreize und andere Verordnungen, die dazu verleiten, kranken oder toten Menschen allzu oft das Etikett Covid aufzudrücken, obwohl es wissenschaftlich nicht gerechtfertigt ist?
Über die Bestechungsgelder und dubiosen Finanzierungen, die den Regierungen von internationalen Finanzgremien als Gegenleistung für eine Politik der Lockdowns, der Masken, der Impfstoffe und der Überschuldung unserer Nationen angeboten werden.
Über die Verpflichtung für die Bevölkerung, mittel- und langfristig nutzlose und giftige Masken zu tragen.
Erinnern wir uns daran, dass Coronaviren in etwa einhundert Nanometer messen, also zehntausendmal kleiner als ein Millimeter sind. Man könnte genauso gut sagen, dass diese Maßnahme einfach politisch ist, so wie es Professor Raoult in Frankreich vor dem parlamentarischen Untersuchungsausschuss erklärt hatte.
Zum Thema “Social Distancing”.
ERMITTELN!
Über das Verbot oder die Verunglimpfung aller wirksamen und kostengünstigen Behandlungen zur Bekämpfung dieses Virus, aber auch von Viren im Allgemeinen. Die Anwendung dieser Therapien beendet diese vermeintliche Pandemie sofort.
Über das Verschweigen und die Unterlassung von Maßnahmen zur Stärkung des Immunsystems.
Über die schädlichen und zerstörerischen Lockdowns.
Über die Korruption und Interessenkonflikte, die von der Pharma-, BioTech-, NewTech- und Big-Tech-Lobby gegenüber bestimmten Regierungsvertretern, Gesundheitsbeamten, der WHO und anderen Institutionen orchestriert wurden.
Über die mehr als merkwürdige Rolle der terrorverbreitenden Medien, die im Dienste von Lobbys, Kartellen und korrupten Regierungen zu stehen scheinen, anstatt seriös zu recherchieren und die Bürger objektiv zu informieren.
Über diese Versessenheit auf giftige, hastig zubereitete Impfstoffe und die mehr als zweifelhafte Rolle staatlicher, europäischer und globaler Gremien bei der Durchsetzung dieser Art von Gesundheitspolitik um jeden Preis im Austausch für finanzielle Vorteile, die ihnen von diesen düsteren Schattenkartellen gewährt werden.
ERMITTELN!
Über diese Gentherapie, die sie fälschlicherweise “Impfstoffe” nennen und deren katastrophalen kurzfristigen und vor allem mittel- und langfristigen Nebenwirkungen
Über die ungeheuerlichen Spekulationen und die skandalösen Kapitalgewinne derjenigen, die bestochen haben und ihre Giftbehandlungen durchsetzen wollen. Bis zu 700% Kapitalgewinn.
Schließlich über die eugenischen Pläne bestimmter gefährlicher Gestalten, die sich nicht einmal mehr verstecken.
TC: 05.25
Unsere Pflicht, IHRE Pflicht ist es, über diese und viele andere Punkte zu ermitteln.
Wir können uns weder mit dem Narrativ der Medien noch mit dem unserer inkompetenten oder mitschuldigen Machthaber zufrieden geben.
Nehmen Sie sich die Zeit, die Strafanzeige des Vereins Réaction 19 beim Pariser Strafgericht zu lesen. Es geht da um diese Impfstoffe, die in Wirklichkeit Gentherapien sind, und auch um nutzlose und giftige Masken.
Nehmen Sie sich die Zeit und lesen Sie die Klage von Rechtsanwalt Reiner Fuellmich zum Betrug der PCR-Tests und dem Rest. Der Bericht der deutschen außerparlamentarischen Untersuchungskommission zu Covid 19 ist erbaulich und sehr aufschlussreich.
TC 06:10
WIR HABEN DER BEVÖLKERUNG TREUE GESCHWOREN
Als wir Ordnungshüter geworden sind, oder aber der Armee beigetreten sind, haben wir geschworen, der Bevölkerung zu dienen und sie zu beschützen, denn es ist die Bevölkerung, die Steuern entrichtet, mit denen unser Gehalt bezahlt wird.
Wir haben geschworen, die Verfassung und die Erklärung der Menschenrechte zu achten.
Angesichts dieser schwerwiegenden Missbräuche durch unsere Regierungen und all diese Finanz-, Gesundheits-, nationalen, europäischen und internationalen Organisationen, die im Dienste der Kartelle stehen, ist es unsere Pflicht und unsere Verantwortung, die richtigen Fragen zu stellen und vor allem zu ermitteln, um die Rechtsstaatlichkeit, die Gerechtigkeit, das Gemeinwohl und die Demokratie wiederherzustellen und die Schuldigen unschädlich zu machen.
Es ist unsere Aufgabe, den Bürgern zu dienen und sie zu schützen, nicht den Geldmächten und ihren Komplizen, die ihren gruseligen Plan zum Schaden unserer Gemeinschaften, unserer Länder und unserer Familien durchsetzen wollen.
Es ist daher unsere Pflicht, keine Anordnungen umzusetzen, die rechtswidrig sind, den Bürgern schaden und obendrein jeder gesundheitlichen Grundlage entbehren.
Denn in Wirklichkeit handelt es sich um eine Diktatur unter dem Deckmantel eines Virus, der, wenn man die gefälschten Zahlen korrigiert, nicht mehr Todesfälle verursacht als eine schwere Grippe.
Bedenken Sie, dass viele Menschen gestorben sind, weil sie von bestehenden und wirksamen Behandlungen nicht profitieren konnten, und dass Menschen einfach im Stich gelassen oder euthanasiert worden sind.
WIR MÜSSEN JETZT HANDELN, UND ZWAR DRINGEND..
Angesichts des Ernstes der Lage ist es unsere Pflicht, der Bevölkerung zur Seite zu stehen, uns an ihrer Seite zu stellen, denn wir und unsere Familien sind aus der Bevölkerung. Andernfalls laufen wir Gefahr, zur Miliz einer zerstörerischen Diktatur zu werden.
Wir müssen Mut und Besonnenheit zeigen und dürfen uns nicht hinter vorgeschobenen Ausreden verstecken wie “Wir führen nur die Befehle aus”.
TC: 07:56
In unserem schönen Frankreich haben viele Mut bewiesen, Medizin-Professoren wie Perronne, Toubiana, Raoult, Alexandra Henrion-Caude und viele andere, zusammen mit Anwälten wie Fabrice Di Vizio, Carlo Alberto Brusa von Reaction 19 oder Virginie de Araujo-Recchia. Sie haben die Machenschaften und die perfiden Pläne der Lobbys einiger korrupter und mitschuldiger Politiker angeprangert.
In Spanien haben Ärzte und Rechtsanwälte zusammen mit Anwälten Ähnliches getan.
Auf internationaler Ebene hat der renommierte deutsche Rechtsanwalt Reiner Fuellmich Klagen eingereicht, die zu einem weltweiten Prozess aufgrund von Verbrechen gegen die Menschlichkeit führen könnten. Er prangert unter anderem den PCR-Test-Betrug, den die Betrüge im Zusammenhang mit Covid und viele andere Lügen und Manipulationen von Regierungen und Medien an.
Nehmen Sie sich die Zeit, diesen Ärzten und Anwälten zuzuhören und die Fakten und Beweise zu prüfen, anstatt dem Fernsehen oder Radio zuzuhören, die im Sold der schattenhaften Kartelle stehen.
Wir können nicht mehr sagen, wir haben nichts gewusst.
WIR MÖCHTEN UNS UNSERER UNIFORM WÜRDIG ZEIGEN!
Lassen Sie uns unsere Uniform und unser Amt in Ehren halten, die Bevölkerung schützen ihr dienen und diejenigen aus dem Verkehr ziehen, die unsere Freiheiten, unser Leben, das Leben unserer Kinder, unserer Familien, unserer Freunde, unserer Bürger und unserer Wirtschaft und Nationen bedrohen.
Wir sollten uns bewusst sein, dass wir in den Augen unserer Regierungen nichts sind. Sie benutzen uns einfach, um sie und die Interessen ihrer Meister im Schatten zu schützen. Sie benutzen uns, um ihre Drecksarbeit zu verrichten.
Ohne uns, sind sie und deren Meister im Schatten, die uns in den Untergang führen NICHTS.
Ohne uns kommen ihre makabren und zerstörerischen Pläne zum Scheitern.
WIR SIND DIE SCHUTZENGEL DES VOLKES
Kameraden der französischen Gendarmerie, der Polizei und des Militärs, Sie sollten wissen, dass wir, die spanischen Polizei- und Ordnungshüter des Kollektivs “Policias por la Libertàd” oder “Polizei für die Freiheit”, damit begonnen haben, unsere Loyalität gegenüber der Bevölkerung und unsere Verbundenheit mit dem Eid einzulösen, den wir geleistet haben, als wir uns verpflichteten, die Bürger zu schützen, die uns hier sogar die Schutzengel nennen. Französische Kameraden der Ordnungskräfte, wir laden Sie ein, unserem Beispiel zu folgen.
Aus Respekt vor dem deontologischen Kodex und dem Eid, den auch Sie abgelegt haben.
Wenn Ihnen der Mut fehlt, denken Sie an die Widerstandskämpfer, die während des Zweiten Weltkriegs ihr Leben für die Freiheit riskiert haben.
Die Diktatoren von heute tragen keine Uniform mehr, sie tragen keine Maschinengewehre mehr. Nein, sie sind oft in schöne Anzüge gekleidet, ihre Waffen sind Geld-Spekulationen, ihre allmächtigen multinationalen Konzerne, ihre Milliarden von Dollar, ihre korrupten Leute und ihre Armeen.
All die Komplizen auf allen Ebenen, die sich haben korrumpieren lassen, wo sie doch die Interessen der Bürger vertreten sollten.
DIE FRIEDENSHÜTHER
ZUSAMMEN können wir, die Friedenshüter, eine bessere Gesellschaft schaffen, ohne Interessenkonflikte mit finsteren Lobbys. Ohne korrupte, niederträchtige oder inkompetente Politiker.
Eine Gesellschaft, in der Gemeinwohl, Wahrheit, Gerechtigkeit, Freiheit, Demokratie, psychische, physische und wirtschaftliche Gesundheit herrschen.
Aber dies wird nicht ohne uns geschehen. Wir sind hier der Schlussstein. Es ist also unsere Pflicht, jetzt Haltung zu zeigen. Mit Mut, Stärke und Würde.
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Armée.
Katharina Besset, [20.04.21 20:20]
Le pouvoir mis (enfin) en demeure d’agir par un groupe de militaires en retraite
Lettre signée (les noms et grades se trouvent en fin du message, 12 généraux, 15 colonels, 7 Lt-colonels et 51 autres gradés! ) Ils veulent remettre ce “chefaillon” et sa suite à leur place !
Faut-il que l’armée s’en mêle ?
ci-dessous la lettre ouverte que cette communauté d’anciens militaires officiers et sous-officiers en retraite ( donc plus d’obligation de réserve !) vient d’envoyer au Gouvernement.
LETTRE OUVERTE A NOS GOUVERNANTS
Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du Gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots “Honneur et Patrie”. Or notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais, à travers ces termes, c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.
– Délitement car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agent supplétif et bouc émissaire face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements, des spectateurs passifs.
Aussi ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Katharina Besset, [20.04.21 20:20]
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant, au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit il n’est plus temps de tergiverser sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.
Rédacteur :
Capitaine Jean-Pierre FABRE – BERNADAC
(Ancien officier de l’Armée de Terre et de la Gendarmerie, auteur de 9 ouvrages)
Signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère)
Général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille
Général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie)
Général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train)
Général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air)
Général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air)
Général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie)
Général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie)
Général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions)
Général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie)
Général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie)
Général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement)
COL Bernard DUFOUR (Infanterie)
COL Michel LAFAILLE (Cadre Spécial)
COL Michel HAUDIQUEZ (Commissariat armée de Terre)
COL Gérard GEITER (Gendarmerie)
COL Jean WEBRE (Infanterie)
COL Jean Louis CHANAS (Forces Spéciales)
COL Jacques AMIOT (Armée de l’Air)
COL Jean Paul BONNEVILLE (Infanterie)
COL Michel DUMARCHE (Issoire)
COL Philippe CHANSON (Train)
COL Paul FIEVRE (Infanterie)
COL Frédéric PINCE (Infanterie Para)
COL Jean Paul MODESSE (Armée de l’Air)
COL Gérard VIE (Troupes de Marine)
COL Philippe CAUVIN (Troupes de Marine / DGSE)
LCL François MIGEON (Infanterie)
LCL Roland BONNEFOUS (Infanterie)
LCL Christian de la FOREST DIVONNE (Cavalerie)
LCL Jean-Claude ODERMATT (Infanterie)
LCL Serge BOUTET (Artillerie)
Capitaine de Frégate Bernard PILLAUD (Marine Nationale)
LCL Marc Mariano PEGALAJAR (Armée de l’Air)
Chef d’Escadrons Pascal METZGER (Cavalerie)
Chef d’Escadrons (h) Philippe de PARSEVAL (Cavalerie)
CNE Jean Paul BONNEVILLE (Infanterie)
CNE (h) Julien ROGE (Armée de l’Air ex ADC ALAT)
Enseigne de Vaisseau Lionel BOUET (Marine Nationale)
Major Eric NOYEZ (Armée de l’Air)
Major (h) Alain LIOT (Marine Nationale)
ADC Jean Pierre LEGROS (Troupes de Marine)
ADC Gérald PUEL (Armée de l’Air)
ADC Rohny CROMBEZ (Armée de terre)
ADC Nathalie AUBERT (Infanterie)
ADC Jacques KERIBIN (DPSD)
ADC Bernard SALVAI (Troupes de Marine)
ADJ Jean Luc TRONC (Armée de l’Air)
ADJ Fred KAUFFER (Troupes de Marine)
SCH Alain FOURES (Infanterie)
SGT Eric VIENNE (Génie)
SGT Daniel MATHEZ (Troupes de Marine)
CCH Pascal COCQUEMPOT (Infanterie Para)
CCH Francis CASSES (Infanterie Para)
1CL Raymond PACO (Infanterie – Bataillon de Corée)
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