Stop aux pédocriminels en réseaux protégés par des puissances très obscures

Stop aux pédocriminels ! Soutien à Karine Trapp.

Soutien à Karine Trapp a entamé une grève de la faim début mars M. Éric Maurel, procureur à Nîmes, allez-vous laisser Karine Trapp mourir sur votre parvis ? Message aux élus.

La problématique des placements abusifs d\'enfants est désormais largement connue de nombreux élus et fonctionnaires de l\'État et des collectivités territoriales.

\"Si la France ne résout pas les dysfonctionnements de sa protection de l\'Enfance, si elle veut occulter la barbarie qui prévaut dans de nombreux cas et occasionne une véritable \"maltraitance institutionnelle\" ce sont des dizaines de milliers d\'enfants qui connaîtront des traumatismes irréversibles.

Les conséquences sont prévisibles, tant en ce qui concerne l\'équilibre de ces futurs adultes que pour la société qui devra chèrement payer son renoncement aux valeurs du Pays des Droits de l\'Homme, signataire de la Convention Internationale des Droits de l\'enfant.

Philippe Seguin, Cour des Comptes, 2009.

À Nîmes, devant le Tribunal Judiciaire, Karine Trapp est en train de se laisser mourir de faim et de soif.

Mère désenfantée au désespoir, comme des milliers aujourd\'hui, sans motif raisonnable et dont les enfants sont détenus arbitrairement et coupés de leur famille : maltraitances institutionnelles à profusion.

J\'ose espérer que les consciences des élus de la République, des fonctionnaires, des magistrats et des travailleurs sociaux vont s\'interroger face à cette situation dramatique.

Je vous remercie donc d\'écouter attentivement la très brève vidéo ci-dessous et de prendre connaissance du récent article de Mme Sylvie Castro publié le 18 mars par France Soir.

Merci des partages.

Voir les paroles de Dr. Labreze, accompagnée de solides références liées au fonctionnement de l’État profond par ses agents (sayanim) et ses serviteurs (membres de sociétés secrètes et idiots utiles).

Plus sur https://1291.one/karine-trapp/

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Soutien à Karine Trapp en grève de la soif dès demain mardi 16 mars 2021 devant le Tribunal de Nîmes après avoir entamé une grève de la faim début mars, je ne me souviens pas de la date. Je vais retranscrire les paroles de Dr. Labreze, je serais ainsi en mesure de soutenir leur démarche individuelle et collective  par une publication sur 1291.one à partir de ce qu’explique Dr. Labreze accompagné de solides références liées au fonctionnement de l’État profond par ses agents (sayanim) et ses serviteurs (membres de sociétés secrètes et idiots utiles).

Merci de prendre connaissance des liens que j’ai inséré sous la vidéo de Dr. Labreze

GRÈVE DE LA SOIF : démarre mardi 16/03 tribunal de Nîmes. Non, pas ça [en ligne]. 14 mars 2021. Disponible à l’adresse :www.youtube.com/watch?v=AibE1BcMZ2k&t=161s

Sous la vidéo est écrit :

https://www.liberez-samuel-et-noah.fr/

Résumé de l’affaire (page en cours)

Publié le  par K T

L’affaire trouve son origine dans les violences répétées de Monsieur PMD, père de mon fils cadet, depuis que je suis enceinte de notre enfant : violences psychologiques (sur mes enfants et moi), physiques et économiques (sur moi,) faits qui ont en partie été relatés et documentés dans le cadre de nombreuses autres procédures pénales et civiles.

Elle est étroitement liée aux procédures d’Assistance Educative ouvertes depuis 3 ans concernant mes 2 enfants.

Je suis mère de 2 enfants. Mon fils ainé NOAH est issu d’une courte relation à l’âge de 24 ans avec Monsieur MB., dont j’ai appris être enceinte après notre séparation, j’ai décidé de garder mon enfant malgré le désaccord du père (je n’ai jamais avorté et ne le souhaite pas).

Monsieur s’est remis en couple pendant la grossesse et s’est très peu intéressé à notre enfant, qu’il n’a pas vu pendant 1 an et demi (de l’âge de 2 à 3 ans 1/2). Nos relations ont été conflictuelles après la naissance et se sont apaisées au fil des années jusqu’à devenir cordiales. Noah a passé ses premiers week-ends et vacances seul chez son père début 2017, avant cela Monsieur demandait rarement à voir son fils, se déplaçait peu, ne payait quasi rien, n’a jamais contacté l’école, n’avait pas de logement avec pièce séparée (studios), etc.

Mon 2ème fils SAMUEL est, 5 après Noah, de ma relation avec Monsieur PMD, d’un projet commun de construire une famille. Monsieur reconnaît avoir été le 1er à demander cet enfant (il est mon aîné de 23 ans, différence d’âge qui ne posait pas problème car j’étais amoureuse de cet homme). Dés la grossesse, en 2014, il s’est révélé violent, psychologiquement et physiquement. puis cela n’a fait qu’empirer.

Il s’est très peu intéressé à son fils jusqu’à notre séparation définitive en septembre 2016 : il a notamment quitté la France par surprise durant 2 mois et demi en me laissant sans ressource avec notre bébé de 3 mois, alors qu’il avait un salaire important, puis n’a pas pas eu de logement personnel pour recevoir son fils pendant 2 ans (recevoir son enfant dans de bonnes conditions n’étant pas sa priorité), et a commencé a exercé ses 1ers droits de visite et d’hébergement en septembre 2016 SAMUEL ayant bientôt 2 ans,

J’ai donc élevé seule mes 2 enfants, leur père les voyant peu.

Dés 2014, j’ai fait effectué nombre de demandes d’aide et démarches pour échapper aux violences et l’emprise de Monsieur PMD, pendant ma grossesse et après la naissance de notre enfant (gendarmes, accueil mère-enfant, associations de victimes, psychologue, etc).

De 2014 à septembre 2016, date de notre rupture définitive, ma relation avec Monsieur PMD a été ponctuée de nombreuses ruptures et réconciliations, à son initiative le plus souvent.

Dés 2015, notre bébé âgé de quelques semaines, Monsieur PMD saisit le Juge aux Affaires Familiales, ce qui entraine;

-un 1er jugement en juillet 2015 m’accordant la résidence de SAMUEL et des droits de visite sans hébergement pour son père (« lors de sa présence en France », puisqu’il voulait s’installer en Afrique)

-puis fin 2015 une 1ère enquête sociale préconisant la résidence principale chez moi et des droits de visites et d’hébergement « classiques » pour le père (un week-end sur 2 et moitié des vacances)

– et en mars 2016 un 2ème jugement (audience en mon absence), confirmant la proposition de l’enquêteur social en m’accordant la résidence principale de SAMUEL, et au père des droits « classiques ».

En septembre 2016, après que j’ai annonce à Monsieur PMD vouloir le quitter définitivement, et que je pourrai bientôt pendre mon indépendance (capital-décés de mon père me revenant), il prend les devants.

Il devient ami avec le père de mon autre enfant, Monsieur MB, et ils démarchent ensemble les services sociaux, la Gendarmerie et la Justice, pendant que je m’occupe de mon père en fin de vie, mes 2 enfants et mon activité à mon compte, isolée dans un lieu-dit à nom du village (48).

En octobre 2016, dés la 1ère plainte déposée par Monsieur PMD, la Gendarmerie locale prend son parti, un gendarme me disant au téléphone sans m’avoir rencontrée que « Monsieur est de bonne foi et le rapport ne sera pas en votre faveur ».

Décembre 2016, 2 intervenantes des services sociaux auxquels les 2 pères ont déposé des IP (Information Préoccupante) me rencontrent une fois avec SAMUEL, leurs questions accusatrices montrent qu’elles ont déjà pris parti pour Monsieur D.

Elles ne rencontrent pas NOAH, n’ont pas contact avec son école, ont un contact avec la directrice s’occupant de la crèche pour Samuel et le périscolaire pour Noah.

Pourtant fin décembre 2016 ces 2 intervenantes écrivent un rapport anticipé, et concluent que je suis violente envers les pères, que je semble incapable d’avoir une relation sécure avec mes enfant et de répondre à leurs besoins.

Ce rapport est basé uniquement sur les paroles mensongères des 2 pères, devenus amis depuis peu, et les dires de la directrice de la crèche, mais cette dernière démentira par 2 attestations les propos figurant dans le rapport,

En décembre 2016, parallèlement, les démarches des 2 pères (auprès des gendarmes, Justice et services sociaux) conduisent à l’ouverture d’une procédure d’ Assistance Educative auprès du Juge des Enfants pour mes 2 fils.

En janvier 2017 a lieu la 1ère audience devant la Juge des Enfants : elle rejette la demande des pères et leurs avocates de me retirer la résidence des enfants, et dit qu’elle n’a « pas grand chose » au vu du rapport de décembre 2016 et des arguments des pères et leurs avocates à l’audience. Elle décide d’une enquête MJIE (Mesure Judiciaire d‘Investigations Éducative), envers les pères et moi.

En février 2017, la Juge aux Affaires Familiales, saisie en urgence par les pères demandant la résidence des enfants avec visites médiatisées pour moi, rejette leurs demandes et confirme la résidence des enfants chez moi.

Le 28 février mon père décède. Le harcèlement moral de M. PMD ce jour là rend ce décés bien plus douloureux pour mes enfants (surtout Noah) et moi. Monsieur refuse notamment de garder son fils pour que je m’occupe de mon père mourant.

Le 9 mars 2017 une audience au Tribunal correctionnel de MENDE est prévue (suite à des plaintes mensongères de M. Durand pour non-représentation d‘enfant), j’en demande le renvoi, encore choquée par les circonstances du décès de mon père. L’audience est renvoyée au 11 mai 2017.

En avril 2017 je demande à un huissier le recouvrement de 7900 € de pensions impayées par Monsieur PMD, car il ne verse plus un centime pour notre fils depuis septembre 2016. Cela a pour effet de l’énerver davantage, il s’en plaint au service MJIE qui m’accusera dans son rapport de mai 2017 de nuire au père (Il s’oppose mais sera condamné à payer en juin 2017, il fera appel et demandera des dommages et intérêts mais la 1ère décision sera confirmée en appel en juin 2018).

Le 11 mai 2017 l’audience correctionnelle est prévue, je demande le renvoi n’étant pas en état ce jour-là de m’y rendre comme l’a estimé mon médecin traitant (pas prête psychologiquement à affronter Monsieur PMD, épuisée physiquement par les RDV et centaines de km en montagne des derniers mois – Gendarmerie, services sociaux, Tribunal, fin de vie de mon père, mon auto-entreprise etc – et par le harcèlement de Monsieur PMD. et son entourage jusque devant mon domicile et l’école tandis que gendarmes et services sociaux restent sourds à mes demandes d’aide). Je suis condamnée en mon absence, Il n’est pas tenu compte du certificat médical précisant que je ne suis pas en état d’être à l’audience.

Le 18 mai 2017 mes 2 enfants sont arrachés à mon domicile pour être placés en Foyer, avec le concours de 4 gendarmes et 2 travailleuses sociales, par surprise, en pleine semaine d’école;

Le rapport demandant le placement est mensonger : il repose sur les dires des 2 pères amis, sur des éléments d’inquiétude infondés et sans preuve tout en ignorant mes arguments et preuves contraires, et sur des omissions importantes (comment peut-on par exemple écrire que mon fils ainé semble aller mal sans mentionner qu’il vient de perdre son grand-père après sa fin de vie chez nous).

Début juin 2017 la 2ème audience devant le Juge des enfants a lieu, violente et surréaliste : je suis accusée de tout et rien par les 2 pères notamment d’être « toxique» pour mes enfants (par Me BESSIERE avocate de Monsieur PMD), l’éducatrice de la MJIE reconnaît que Samuel va bien mais demande le placement car à cet âge les séquelles sont invisibles, la Juge me dit restreindre l’accés au dossier, la Juge m’explique que mon état de santé a influencé sa décision de me retirer les enfants (rapport à la procédure correctionnelle), des pièces des pères ont été transmises à la Juge sans que j’en aie connaissance, etc.

Début juin 2017 la 2ème audience devant le Juge des enfants a lieu, violente et surréaliste : je suis accusée de tout et rien par les 2 pères, qualifiée de « toxique» pour mes enfants par Maître BE. (avocate de Monsieur PMD), l’éducatrice de la MJIE reconnaît que Samuel va bien mais demande le placement car à cet âge les séquelles sont invisibles, la Juge me dit restreindre l’accés au dossier, la Juge m’explique que mon état de santé a influencé sa décision de me retirer les enfants (rapport à mes demandes de renvoi d’audience au correctionnel), des pièces des pères ont été transmises à la Juge sans que j’en ai connaissance, etc.

La Juge décide du maintien du placement en Foyer jusqu’au 31 août 2017 (3 mois) , le temps de finir l’enquête MJIE et procéder aux expertises psychiatriques de NOAH, Monsieur PMD et moi :

– L’enquête MJIE se résume à un RDV début juin, l’éducatrice laisse entendre que les enfants rentreront à mon domicile après le Foyer, avec si besoin une suivi éducatif (AEMO Action Educative en Milieu Ouvert). (Je suis seule à ce RDV avec la psychologue et l éducatrice car cette dernière a refusé que je vienne accompagnée de la personne de mon choix, malgré la Loi).

– L’enquête MJIE se résume à un RDV début juin avec l’éducatrice et la psychologue (seule alors que la Loi m’autorise à venir accompagnée de la personne de mon choix mais l’éducatrice a refusé), lors duquel l’éducatrice laisse entendre que les enfants rentreront à mon domicile, avec si besoin une AEMO (Action Educative en Milieu Ouvert).

Puis je n’aurai plus contact avec le service jusqu’à un appel téléphonique de l’éducatrice en août pour fixer RDV concernant son rapport. C’est lors de ce RDV 1 jour et demi avant l’audience qu’elle m’apprend sa demande de placement des enfants chez les pères (ne me laissant pas le temps de me défendre, alors qu’elle sait que je ne peux consulter le dossier au Tribunal la greffière étant absente).

– L’expertise pédopsychiatrique de Noah mi-juin se révèle « rassurante », terme écrit dans le dossier (« pas de symptôme de souffrance psycho-affective », « excellent niveau langagier et intellectuel », « s’exprime toujours à bon escient, il ne s’agit pas d’un simple placage », « place du père et beau-père conservée », « lien privilégiée avec sa mère », éventuelle « médiatisation de la relation à son père »). Ce rapport ne sera pas pris en compte.

– L’expertise psychiatrique de Monsieur PMD et moi se déroule de manière illégale et partiale (ce qui motivera une inscription de faux et une plainte de ma part à l’Ordre des médecins): . Avant même la réalisation de l’expertise il est supposé que le problème vient de moi : la Juge écrit qu‘il faut « attendre le rapport d’expertise psychiatrique de Mme TRAPP [pas de Monsieur PMD] afin de comprendre les enjeux de la dynamique familiale », et n’ordonne pas l’ expertise du père de Noah Monsieur MB. / La Juge s’est entretenue par téléphone avec l’expert comme il me l’a dit en début d’entretien. / Monsieur PMD a ramené des pièces (photos, etc) qui sont citées dans le rapport alors que je les ai jamais vues, ce qui est illégal / L’expert a obligation de communiquer le contenu des rapports aux intéressés afin qu’ils fassent leurs observations, il ne le fera pas et m’interdira de le recontacter pour savoir la date de dépôt au tribunal. / Un 2ème entretien est indispensable, surtout quand la personne est en état de choc (mes enfants venaient de m’être arrachés brutalement et placés en foyer). / C’est clairement moi qui suis expertisée pas Monsieur PMD : mon rapport d’expertise et le sien parlent surtout de moi, et l’expert écrit plusieurs fois que pour me diagnostiquer il tient compte des dires de Monsieur mais il ne fait pas l’inverse. / Monsieur PMD ment sur son passé, le mien et notre histoire, mais je ne l’ai pas su car n’ai pu lire les rapports avant l’audience. / L’expert se permet de relater des détails intimes me concernant, sans rapport avec l’objet d l’expertise, mais ne le fait pas pour Monsieur PMD. / Dans le rapport il est écrit l‘aveu de violence de Monsieur envers moi et sa consommation d’alcool quotidienne pour laquelle il refuse des soins, sans cela ne pose problème à l’expert. / L‘expert conclut que je suis dans le déni car n’ai entrepris aucun travail psychothérapique contrairement à Monsieur or j’étais suivie par un psychiatre (à mon initiative) mais Monsieur PMD ne l’était pas. L’expert conclut aussi que je souffre d’un syndrome or sur le site internet officiel il est écrit qu’il faut des années pour diagnostiquer ce syndrome et celui qui l’a découvert n’est pas sûr qu’il existe. / En fin d’entretien l’expert m’a dit que j’ai l’air cohérente et a apparemment changé d’avis après son entretien avec Monsieur PMD.

Durant ces 3 mois en foyer l’ASE (Aide sociale à l’Enfance, service à qui mes enfants sont confiés) prend toujours parti pour les pères (exemple la demande de Monsieur PMD d’un droit de visite exceptionnel est appuyée auprès de la Juge mais on refusera de porter la mienne, la Juge m’accordera ce droit mais l’ASE y fera obstruction en ne me prévenant pas de sorte que mon fils m’attendra des heures au Foyer, puis lorsque je l’ai su il m’a été interdit de faire voyager mon fils en taxi afin de sauver les quelques heures de visites restantes).

Fin août 2017, une audience devant le Juge des Enfants a eu lieu, sans que je sois informée des dates de dépôt au tribunal ni du contenu des rapports psychiatriques et des services sociaux, malgré plusieurs demandes d’accés au dossier (la greffière était indisponible puis absente). J’ai donc été jugée sur des rapports que je n’ai pas pu lire ni contester, ce qui est anormal et illégal.

C’est dans ces conditions que la Juge décide du placement immédiat des enfants chez leur père pour 1 an (1 an et 1 mois exactement, jusqu’au 30 septembre 2018 soit 1 mois après la rentrée scolaire ce qui pose question) : la fratrie est séparée, Samuel (2 ans et 1/2) rétiré à sa mère et son frère, Noah (7 ans et 1/2) envoyé à 900 km aller-retour de son frère, sa mère, son école et ses amis depuis 4 ans.

J’ai droit à un droit de visite et d’hébergement un week-end sur 2 avec Samuel, un week-end par mois avec Noah, et la moitié des vacances scolaires avec chacun.

Ce placement est sensé être une mesure provisoire pour 1 an : – Concernant NOAH (7 ans et 1/2) je conserve la résidence principale, conformément à la décision du Juge aux Affaires Familiales 6 mois plus tôt, donc quand le placement de Noah chez son père prendra fin il retournera à mon domicile avec droits de visite et d’hébergement pour le père. – Mais concernant Samuel (2 ans et 1/2) la Juge aux Affaires familiales décide le 31 août 2017 de transférer la résidence principale chez son père, donc à la fin du placement le petit y restera avec des droits de visite et d’hébergement pour moi. Ainsi la même juge qui a refusé 6 mois plus tôt la résidence chez Monsieur PMD, et même l’élargissement de son droit de visite, change radicalement d’avis, écrivant se baser sur les rapports de MJIE et d’expertise psychiatrique de Monsieur et moi (j’écope donc d’une « double peine » suite à ces rapports faux et non-vus, auprès de la Juge des Enfants et aux Affaires Familiales).

A TERMINER

Harcelée de procédures : de janvier 2017 à septembre 2019 en 2 ans et demi : environ 45 ordonnances et jugements ,(et 25 audiences, dans 3 tribunaux et 2 cours d’appel situés entre 3 et 12h A-R).
Liste des jugements et ordonnances (à compléter, arrêtée à septembre 2019):

RESUME AFFAIRE DE KARINE : https://www.samuel3ansnoah8ans.fr/res…

Pétitions en cours en plus de celle ci-dessus : – http://change.org/pourleretourdesamue…

– https://www.mesopinions.com/petition/…

Facebook : – Karine Trapp (Grèviste de la faim) https://www.facebook.com/karineet.noah/

– Groupe Samuel et Noah https://www.facebook.com/groups/57702…

– Aurélie Darlet https://www.facebook.com/aurelie.darl…

– Libérez nos enfants https://www.facebook.com/liberez.nose…

– Laura (grèviste de la faim) https://www.facebook.com/liberez.nose…

Une bombe !

Un Policier de la brigade des mineurs se fait piéger par une victime. On comprend que le Procureur lui a fait effacer des photos horribles du vagin et de l’anus d’une fillette : https://youtu.be/TDihpOvfmxMSource : https://youtu.be/_5mCKlfljlg

Macron va s’attaquer à la pédo ! : https://youtu.be/xjIMDrrttZA

Elles déposent plainte contre Sandrine (Yuna) pour violences volontaires en réunion, à vous de juger : https://youtu.be/k8IxDAm4r90

Vidéo du 12 février 2021 : Ce Major de Police appelle aux rassemblements contre la pédocriminalité et les placements abusifs : https://youtu.be/ATSoKak2lC4

Ce Major de Police appelle à se rassembler contre la pédocriminalité : https://youtu.be/a4OW48UqXkY

À 6 ans sa fille est déflorée analement et vaginalement. Des faits horribles se produiraient dans une Maison d’Enfants à Caractère social : https://youtu.be/8pxIfN6y6so

Agée de 17 ans aujourd’hui, Clara dit avoir été violée par son géniteur, par le Maire de Thionville, par des médecins, par un Policier : https://youtu.be/RIJ858my-es

Tirelire pour imprimer des banderoles, des autocollants… afin d’attirer l’attention : https://www.paypal.com/pools/c/8rVOMF…

Vidéo à ne pas rater : https://youtu.be/5_vTjN5_o6w

Carte des rassemblements : https://urlz.fr/e4nN

Coordination des rassemblements : PourTousLesEnfants@protonmail.com

Bonne année : https://youtu.be/tmc0vxQu1lE

Extrait d’un reportage qui ne devrait pas être diffusé à la Tv : https://youtu.be/azU7RZ2kK_g

Drogue + partouze avec une vingtaine d’hommes, un EuroDéputé Hongrois cherche à fuir ! : https://youtu.be/uGCEtyfYGWo

C’est TF1 qui le dit : https://youtu.be/5mj0NqYlK0g

ESPOIR : Vous devriez retrouver espoir après avoir visionné cette trop courte vidéo (3 minutes 13) https://youtu.be/G4E2JcgogNs

Et si c’était votre enfant ? : https://youtu.be/jJsD_cVYQoE

La peur change camp (3 minutes 03) : https://youtu.be/sOHvJ8AXEso

Cette jeunesse donne espoir : https://youtu.be/B0ubs2qyYC0

DANGER : Seuls 20 cybers-patrouilleurs protègent nos enfants sur la toile. Un protecteur des enfants le fait remarquer à Macron (1 minutes 31, excellent !) : https://youtu.be/DE5O9R_oRh0

VIDEO ÉMOUVANTE destinée et réservée aux Forces de l’ordre (2 minutes 32) : https://youtu.be/L3oDtFYBQfI

Court extrait de la version 2020 du film interdit à sa sortie «Les ballets écarlates» réalisé par Jean-Pierre Mocky (1 minute 07) : https://youtu.be/bnQnwOrx1zE

Film complet (1 heure 22) : https://youtu.be/HHCnITXKoHg

MALADE POUR RESTER EN PRISON : Cet homme l’affirme (philippe Pascot), il aurait vu le rapport de Police, Balkany a mis son kiki dans la bouche d’une dame en la menaçant avec un 357 Magnum (arme de poing), (1 minute 05) : https://youtu.be/GBjloLFtpL8

PÉDOCRIMINELS À LA DGSI ? (Police Nationale), d’après cette Homme, OUI (29 minutes 38) : https://youtu.be/xyC4BZAvz_g

 UNE GENDARME ASSASSINÉE dans sa caserne (24 septembre 2011). Pour la Gendarmerie qui a enquêté sur la Gendarmerie, il s’agit d’un suicide (3 minutes 20) : https://youtu.be/MMltWgEPkAI Lors du déménagement de l’appartement du drame, la famille a découvert une seconde douille !!! Elle demande très logiquement la réouverture de l’enquête.

UN EX-COMMANDANT aux Renseignements Généraux parle de l’affaire « Coral » (Jack Lang) (1 minute 46) : https://youtu.be/mOgMOl-N6qw

LES RÉSEAUX PÉDOCRIMINELS sont protégés par le système (politique, juridique, médiatique…) Ils sont tous au courant (4 minutes 32) : https://youtu.be/bEdrZJLO47Q

UN JUGE POUR ENFANTS (Dijon), proposait le viol de sa fille de 12 ans sur un site libertin (1 minute 31) : https://youtu.be/qNg8Qv2hOuo

VIOLS, TORTURE, SACRIFICES D’ENFANTS…(Pas en vidéo, n’ayez crainte !) 3 heures 30 d’interview sur l’affaire ‘AMIDLISA” : https://youtu.be/hFkPep3BkRM

PEU COURANT : extrait du reportage “Zandvoort, le fichier de la honte” présenté par Karl Zéro (1 minute 11) : https://youtu.be/YWjvMfg_9_4

FORCES DE L’ORDRE : écoutez cette dame (1 minute 03) : https://youtu.be/CYxReEmWjWE

PLAINTE CONTRE JACK LANG ET PIERRE MOSCOVICI POUR VIOL EN RÉUNION (1 minute 16) : https://youtu.be/03zVimphr8Y

Un CRS EXCEPTIONNEL : https://youtu.be/D3TnYRZLVmg

Éveillez-vous et éveillez vos voisins !

Cordialement

Nathalie, infirmière ES

Christian COTTEN – POLITIQUE DE VIE – 3 square Vitruve – 75020 PARIS
christian.cotten@protonmail.com – 06 17 40 38 05 – politiquedevie.net et politiquedevie.com – Facebook – Youtube – Dailymotion
Allez-vous faire mourir Karine TRAPP
devant le Tribunal de Grande Instance de Nîmes ?
Courrier et communiqué de presse
PARIS, le 6 mars 2020
À l’aimable attention des juges et procureurs de
THONON-LES BAINS, NÎMES, MENDE et ALÈS
et des services sociaux de HAUTE-SAVOIE, du GARD et de la LOZÈRE,
co-auteurs responsables de la détention arbitraire
des enfants de Karine TRAPP, Samuel et Noah.
Lettre ouverte adressée nominativement aux 34 personnes intervenantes dans le dossier d’Aide Sociale à
l’Enfance de Karine TRAPP et de ses deux enfants Samuel et Noah.
Mme Léa LARDY, Juge des Enfants, TGI de MENDE.
M. Xavier SICOT, Procureur de la République, TGI de MENDE.
Mme Anne DELIGNY, Juge aux Affaires Familiales, Présidente
du TGI de MENDE.
Mme Vanessa JEAN-AMANS, Juge aux Affaires Familiales, TGI
de MENDE.
Mme Anne MONNINI-MICHEL, Juge aux Affaires Familiales,
TGI de MENDE.
Mme Geneviève BUNEL, Conseillère technique
départementale, Rectorat de l’Académie de Montpellier.
M. Bruno CANO, chef de service, Comité de Protection de
l’Enfance et de l’Adolescence Gard-Lozère.
M. LUU, éducateur au CPEAGL de MENDE.
Mme Jeanne VIVET, Service AEMO de MENDE.
Mme Sandrine LALANDE, Juge des Enfants, TGI de NÎMES.
M. Éric MAUREL, Procureur de la République, TGI NÎMES.
Mme Isabelle MARTI, Conseiller à Cour d’appel de NÎMES.
M. Frédéric CAMACHO, Chef de service à l’ASE d’ALÈS.
Mme REYNES, référente ASE, assistante sociale au CMS de STHYPPOLITE-DU-FORT.
Mme Fabienne CHABROL, Centre Départemental d’Accueil des
Familles, NÎMES.
M. Cédric REVEL, Foyer Saint-Joseph, ALÈS.
Mme LÉVÊQUE, ASE Haute-Savoie, ANNECY.
Denis BOUAD, Président du Conseil Départemental du GARD,
NÎMES.


Mme Sophie PANTEL, Président du Conseil Départemental de
LOZÈRE.
M. Marc CHEVENNEMENT, Foyer Saint-Joseph, ALÈS.
M. PRUNET, Chef de Service, Foyer Saint-Joseph, ALÈS
Mme Valérie HERVIEU, directrice, Foyer Saint-Joseph, ALÈS.
M. Michel ALAIX, Président de la Cour d’Appel de NÎMES.
M. François SCHNEIDER, Procureur de la République, Tribunal
Judiciaire d’ALÈS.
M. Gilles PROISY-LECOCQ, Juge des Enfants, TGI de THONONLES-BAINS.
Mme Christel ROHI, Juge des Enfants, TGI de THONON-LESBAINS.
M. Soliman MAKOUH, anciennement substitut du procureur à
MENDE, TGI de TARASCON.
M. Boris MERMET, éducateur à l’ASE de HAUTE-SAVOIE,
antenne de VILLE-LA-GRAND.
Mme Sabine QUESDEVILLE, Chef de service à l’ASE de HAUTESAVOIE, antenne de VILLE-LA-GRAND.
Mme BEILVERT, travailleuse sociale à l’ASE de HAUTESAVOIE antenne de VILLE-LA-GRAND.
M. Mohamed L’HOUSSNI, directeur de l’association RÉTIS,
HAUTE-SAVOIE.
M. Bertrand MIDOL, chef de service à l’association RETIS,
HAUTE-SAVOIE.
M. Christian COUTURIER, Gendarmerie Nationale, LOZÈRE.
M. Giovanni VERSLYPE, Gendarmerie Nationale, LOZÈRE.
Copie pour information
Mme Nicole BELLOUBET, Ministre de la Justice.
M. Jacques TOUBON, Défenseur des Droits.
M. Adrien TAQUET, Secrétaire d’État à la Protection de
l’Enfance.
Maître Cécile BESSIÈRE, avocate au barreau de MENDE.
Mme Marlène SCHIAPPA, Secrétaire d’État à l’Égalité entre les
Femmes et les Hommes.
M. Jean LASSALLE, Député.
M. Franck MARLIN, Député.
M. Didier REYNDERS, Commissaire Européen à la Justice.
Mme Clothilde MAULIN, Défenseur des Droits.
M. Bertrand LOUVEL, Conseil Supérieur de la Magistrature.
Marion LENNE, Député.
Communiqué de Presse, 2700 destinataires.

  • 2/4 –
    Affaire Karine TRAPP. Lettre ouverte – communiqué de presse Politique de Vie/Christian COTTEN – 6 mars 2020.
  • 3/4 –
    Affaire Karine TRAPP. Lettre ouverte – communiqué de presse Politique de Vie/Christian COTTEN – 6 mars 2020.
    Chère Madame, Cher Monsieur,
    Depuis plus de 6 semaines et après avoir déjà perdu plus de dix kilos, la jeune mère de famille
    Karine TRAPP poursuit à ce jour sa grève de la faim devant le Tribunal de Grande Instance de
    Nîmes, aux fins de libérer ses enfants Samuel et Noah du placement abusif dont ils sont victimes
    depuis mai 2017.
    Le silence des autorités compétentes reste assourdissant.
    Chacune des personnes destinataires de la présente a été ou est encore directement impliquée
    dans les enchaînements d’actes ou d’absences d’actes relatifs à ce dossier de placement abusif
    et infondé, dont sont victimes deux enfants innocents et une mère aimante et responsable
    dénuée de tout trouble psychologique.
    Mme Karine TRAPP en est à sa troisième grève de la faim depuis deux ans. Elle est aujourd’hui
    plus déterminée que jamais à mettre gravement sa vie en danger pour obtenir la liberté et la
    sécurité pour ses enfants.
    Chère Madame, Cher Monsieur, mes propos et mes questions seront simples et clairs.
    Vous êtes personnellement co-auteur d’un ensemble de procédures administratives et judiciaires
    qui ont abouti à une situation d’extrême maltraitance institutionnelle et qui engagent votre
    responsabilité civile et pénale personnelle.
    Vous avez participé ou participez encore par vos actes ou absences d’actes à un processus
    collectif qui aboutit très exactement à l’inverse du but officiellement recherché, à savoir la
    protection des enfants et des familles en difficulté.
    Vous participez ainsi à ce qui peut se qualifier de processus de « thérapie à l’envers » ou
    encore de processus de perversion radicale conduisant une victime au désespoir et au suicide.
    Les enfants Samuel et Noah et leur mère Karine TRAPP vivent à ce jour une situation d’intenses
    souffrances psychologiques que strictement rien ne vient justifier de quelque façon que ce soit,
    ces enfants étant parfaitement heureux avec leur mère avant qu’ils ne subissent les agressions
    et les harcèlements récurrents de différents services administratifs, policiers et judiciaires.
    Au regard du droit international, le viol des droits fondamentaux par l’État français dans cette
    affaire est manifeste et peut être démontré par les preuves irréfragables d’un ensemble de
    dysfonctionnements majeurs tant des services départementaux d’Aide Sociale à l’Enfance que
    des services judiciaires, dans un contexte de violences masculines.
    Cette situation est inacceptable.
    Nul n’ignore désormais la réalité des conflits d’intérêts financiers des acteurs de l’Aide Sociale
    à l’Enfance, bien trop souvent en situation de décideurs à la place des magistrats dans le temps
    où ils sont aussi bénéficiaires des financements publics des enfants abusivement placés.
    La détention arbitraire des enfants de Karine TRAPP peut ainsi être considérée comme le
    résultat d’un ensemble d’actes délictuels et criminels susceptibles d’aboutir au décès d’une mère
    désespérée en situation de violence extrême.
    Vous êtes désormais pleinement informé(e). …/…
  • 4/4 –
    Affaire Karine TRAPP. Lettre ouverte – communiqué de presse Politique de Vie/Christian COTTEN – 6 mars 2020.
    Chère Madame, Cher Monsieur, votre conscience morale acceptera-t-elle
    publiquement et juridiquement d’être considérée comme co-responsable de la
    mort de Madame Karine TRAPP et du désespoir de ses enfants ?
    Les dizaines de milliers de parents désenfantés qui ont eu connaissance des textes ci-joints
    rendus publics par écrit et par vidéo sur Internet n’attendent par ma voix qu’une seule et unique
    réponse de votre part :
    votre action immédiate et efficace visant à la libération effective des enfants de Karine TRAPP
    et au soutien bienveillant des services de l’État auxquels cette famille martyrisée peut
    légitimement prétendre.
    Je vous prie de croire, Chère Madame, Cher Monsieur, à l’assurance de mon plus profond
    ennui.
    Christian COTTEN,
    psychosociologue,
    Président de Politique de Vie.
    Pièces jointes :
    Justice pour Karine et ses enfants. Communiqué public.
    Juge des enfants ? Assistantes sociales ? Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
    Communiqué de presse et vidéo, 22 juillet 2019.

Juge des Enfants ? Assistantes sociales ? Éducateurs de l’ASE ?
Vous êtes licenciés.
Politique de Vie/Christian Cotten – FaceBook – Youtube – conferencedu27avril2019@gmail.com – 22 juillet 2019.
L’observation de terrain, faite depuis des années par
des milliers de parents, des militants associatifs et des
avocats de plus en plus nombreux, comme Maître
Michel Amas à Marseille, conduit à cette décision
irrévocable et non négociable des citoyens libres et
souverains de France.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Vous n’êtes plus dignes de la fonction que vous occupez
au service de la population. Vous n’êtes plus crédibles.
Et donc vous n’êtes plus légitimes.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Vous mentez, ad libitum, jusqu’à l’écœurement des
victimes. Ou jusqu’à leur suicide.
Vous jugez de ce qui ne vous concerne pas. Vous
manipulez l’information, quand vous n’en faites pas
rétention.
Vous pratiquez les interprétations paranoïaques des
moindres failles des comportements ordinaires de
parents aimants. Vous harcelez les familles en situation
de faiblesse, que vous désenfantez de façon
ignominieuse.
Vous laissez dans vos foyers de la honte des enfants
largement mineurs se faire violer par les plus âgés,
quand ce n’est pas par les surveillants de vos centres
de rétention d’enfants. Sans parler des avortements et
accouchements sous X.
Vous détenez arbitrairement des dizaines de milliers
d’enfants qui ne vous appartiendront jamais. Vous leur
interdisez les droits les plus fondamentaux accordés
aux prisonniers délinquants et criminels.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Vous empêchez les familles d’accueil d’enfants placés
de simplement donner de l’amour aux pauvres gamins
qu’elles hébergent.
Vous maltraitez et violentez les enfants placés en foyer.
Vous laissez par contre aux mains de parents
violemment toxiques les enfants que vous avez peur
d’aller chercher, même avec vos gendarmes.
Vous ciblez les enfants autistes, malades, fragiles, en
inventant des maltraitances parentales qui n’existent
pas.
Vous fabriquez de fausses accusations, tout en prenant
partie pour l’un ou l’autre parent en conflit familial.
Vous refusez de voir que les difficultés autour des
enfants devenus enjeux d’un conflit ne sont que la suite
des innombrables violences conjugales faites aux
femmes.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Vous agissez au quotidien pour empêcher les parents
de rencontrer, embrasser, serrer dans leurs bras, aimer
leurs enfants dans des parloirs surveillés comme ceux
des terroristes les plus dangereux. Vous empêchez
l’arrivée des cadeaux d’anniversaires ou de Noël.
Vous vous accordez des congés maladie ou vacances
à répétition aux dépens tant des parents que des
enfants, en annulant les rares droits de visite que vous
n’appliquez pas malgré les décisions judiciaires.
Vous oubliez de convoquer aux audiences à huis-clos
et sans greffier ni public les personnes concernées. Vous
méprisez de toute votre morgue d’abuseurs des droits
fondamentaux les avocats que vous n‘écoutez pas ni ne
lisez. Vous empêchez l’exercice du contradictoire et
interdisez aux parents d’accéder à leurs dossiers, tout
en imposant aux enfants des avocats ineptes sans
aucune empathie.
Vous n‘écoutez pas plus les enfants en souffrance, si
souvent en état de sidération traumatique face à des
adultes qui les emprisonnent. Vous inventez de toute
pièce des syndromes d’aliénation parentale qui n’ont
aucune assise scientifique. Vous niez les souffrances
inextinguibles d’enfants traumatisés pour avoir été
arrachés à leurs parents aimants.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Vous abusez sans aucune compétence de concepts
psychologiques utilisés comme outils idéologiques pour
satisfaire tous ceux qui comptent l’argent que
rapportent les enfants que vous emprisonnez et
détruisez à petit feu pendant des mois et des années
avant de les transformer trop souvent en prostitués ou
en sdf.
À la moindre occasion vous menacez, harcelez et
punissez sans fondement juridique les parents qui
contestent.
Vous pratiquez de façon sauvage et sans aucun
contrôle de quiconque ni même conscience de ce que
vous faites vraiment des formes de thérapie à l’envers
radicalement persécutrices, qui aboutissent trop
souvent aux suicides des victimes voire aux meurtres
d’enfants que les parents veulent vous empêcher de
kidnapper.
Vous osez confier à des parents maltraitants accusés de
viols ou d’atteintes sexuelles les enfants que vous
arrachez au parent protecteur, piétiné dans ses
souffrances. Placements inversés.
Vous n’êtes même pas dans de trop nombreux cas
inscrits au répertoire officiel et obligatoire des
professionnels de santé.
Vous vous manipulez les uns les autres pour servir le
même maître : l’argent du Conseil Départemental et des
associations privées sans aucun contrôle.
Et vous croyez que les citoyens libres et souverains de
ce pays vont encore longtemps vous laissez faire ?
La réponse est : NON.
C’est vous qui mériteriez d’être placés, comme l’on
place en prison les voleurs, les tueurs, les violeurs, les
harceleurs et les prédateurs en tout genre.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Poème humoristique et Fake News de Christian Cotten,
22 juillet 2019, pour la Voix des Parents Désenfantés.
Avec toute notre estime pour ceux d’entre vous qui
tentent de résister de l’intérieur au système
pathologique de prétendue Protection de l’Enfance.

Pour suivre l’évolution de notre situation depuis la mise en ligne de cette pétition en janvier 2020:  Chaîne Youtube : Karine Trapp  /  Facebook profil « Karine Trapp Noah Samuel » et groupe « Samuel 5 ans Noah 10 ans » / Contacter 06 21 92 69 62 ou karinetrapp48@gmail.com

Concernant les placements abusifs d’enfants voir:  Sur francesoir.fr tribune “Enfance : Un Collectif de professionnels dénonce la maltraitance de la justice” publiée en novembre 2020  /  Site internet ” lenfanceaucoeur.org ”  / Chaines Youtube :”Grain d’Sable” et ” Non, pas ça ” luttant contre les placements abusifs et la pédocriminalité

  • Texte la pétition de janvier 2020:                                                     

Pétition mise en ligne pour tenter de rétablir la situation inhumaine et illégale de mes 2 enfants et moi

Noah est né en septembre 2009, j’étais âgée de 24 ans et déjà séparée du père lorsque j’ai appris être enceinte, j’ai décidé de «garder » mon enfant (je n’ai jamais subi d’interruption de grossesse et ne le souhaite pas).

Samuel est né 5 ans plus tard, en novembre 2014, son papa et moi avions le projet commun de construire une famille, mais il est devenu violent dé la grossesse et cela n’a fait qu’empirer après la naissance du petit.

Début septembre 2016, après plusieurs séparations et reprises de la vie familiale, le père de Samuel et moi nous sommes séparés définitivement.

Aussitôt il entreprend de nombreuses démarches : il devient ami avec le père mon 1er enfant, et saisissent ensemble services sociaux, justice, gendarmes.

Le père de Samuel, fils de colonel et d’une famille ancrée depuis des décennies dans le tout-petit village de LOZERE (48) où nous vivions, obtient vite l’appui de gendarmes locaux.

Pendant que je m’occupe de mon père en fin de vie à mon domicile, isolée dans un lieu-dit de ce village de LOZERE, en plus de m’occuper de mes 2 enfants et ma boutique de livres & disques située dans un village du GARD (30) département voisin, les pères devenus amis multiplient les démarches pour me retirer la garde des enfants.

Le grand-père maternel des enfants décède le 28 février 2017, après 9 mois chez nous.

Le 18 mai 2017, 2 mois et demi après ce décés, alors que nous sommes heureux tous les 3 et retrouvions notre équilibre familial suite à cette perte, Samuel (2 an 1/2) et Noah (7 ans 1/2) sont retirés en urgence de leur maison, chez leur maman où ils ont toujours vécu, sur des allégations mensongères des 2 pères, avec 4 gendarmes.

Le petits sont placés en Foyer durant 3 mois 1/2, malgré les nombreuses preuves des mensonges des pères, repris par les services sociaux qui ont demandé le placement, et alors qu’un suivi éducatif et bienveillant aurait été suffisant pour rassurer sur le bien-être des enfants et ma capacité à les élever.

Puis le 31 août 2017 il sont placés chez leur père respectif, de manière encore brutale et soudaine, sur un dossier des services sociaux et pères auquel je n’ai pas pu accéder.

SAMUEL vit donc désormais chez son père en LOZERE(48), et Noah chez son père en HAUTE-SAVOIE (74) à 850km aller-retour de son petit frère et sa maman.

Ils voient leur maman un week-end sur 2 pour Samuel, un week-end par mois pour Noah (quand son père l’accepte, exemple en novembre 2017 il refuse), et la moitié des vacances scolaires.

Un suivi socio-éducatif est aussi instauré au domicile des parents : en LOZERE pour le père de Samuel, en HAUTE-SAVOIE pour le père de Noah, et à mon nouveau domicile dans le GARD.

Les 2 pères devenus très proches m’évincent totalement de la vie des enfants, refusent de me tenir au courant de leur évolution, santé, activités, et sont très agressifs parfois violents avec moi et devant les enfants (preuves).

Je dois faire des milliers de kilomètres par mois, et je suspends mon activité professionnelle car je peux plus assurer mes horaires de travail (mais dois continuer de payer le loyer de ma boutique) 

En décembre 2017 le service social suivant SAMUEL en LOZERE envoie une note au Juge des Enfants chargé de SAMUEL en LOZERE et au Juge des Enfants chargé de NOAH en HAUTE-SAVOIE, sans m’en avertir ni avertir le service social chargé de me suivre dans le GARD.

Cette note reprend uniquement les paroles mensongères du père de SAMUEL.

Le 27 décembre 2017, suite à cette note, le Juge des Enfants chargé de NOAH retirent mes droits de visite et d’hébergement, la veille d’aller le chercher pour nos vacances de Noël, lors d’une audience en mon absence (convocation pas envoyée à temps), sur allégations mensongères des 2 pères et de la note du service de LOZERE dont je n’ai pas eu connaissance et n’ai pu me défendre.

A cette audience le service chargé de NOAH en HAUTE-SAVOIE ne dit pas qu’il s’inquiète déjà beaucoup de la prise en charge de l’enfant par son père (enregistrement à l’appui), à cause notamment de sa sclérose en plaques.

Quant au service du GARD me suivant à mon domicile il n’a été prévenu ni de la note ni de l’audience, et n’a donc pu faire part des éléments rassurants constatés (contenu de nos RDV, visite de mon domicile, etc) et du comportement hostile et violent des pères à mon égard.

Je n’ai désormais plus droit qu’à une visite mensuelle d’1h à 1h30 avec NOAH en HAUTE-SAVOIE (850km A-R), visite médiatisée c’est-à-dire dans un local en présence de professionnels.

Le père de NOAH refuse aussi désormais tout contact téléphonique entre mon fils et moi.

Aussitôt averti par le père de NOAH, le père de SAMUEL me refuse les vacances de NOEL avec le petit (m’en avertissant 30 minutes avant), en violation du jugement.

Il disparaît 8 jours avec le petit, sans aucune nouvelle, ni services sociaux ni Gendarmerie n’arrivent à le joindre, et il ne laisse même pas SAMUEL (3 ans) parler avec sa maman par téléphone.

Fin janvier 2018 une audience concernant SAMUEL a lieu devant le Juge des Enfants de LOZERE, mes droits de visites et d’hébergement sont supprimés et remplacés par 2 visites médiatisées mensuelles d’1h à 1h30 en LOZERE (4h A-R de route de montagnes).

A cette audience le service social suivant SAMUEL en LOZERE n’a pas fait part de ses doutes et craintes concernant le père de SAMUEL (conversations avec le service enregistrées), se contentant de demander le retrait des mes droits pour protéger SAMUEL du « conflit parental ».

En avril 2018, la dernière décision de Justice concernant NOAH du 27 décembre 2017 est déclarée nulle et mes droits de visite et d’hébergement rétablis, suite à une audience à la Cour d’Appel de CHAMBERY (SAVOIE 73) où mes preuves et arguments sont pris en compte pour la 1ère fois depuis le retrait des enfants.

Je vais chercher NOAH pour les vacances d’Avril et devant son état inquiétant et qui ne cesse d’empirer depuis des mois, je demande l’aide au Juge des Enfants et décide de garder mon enfant en sécurité, le soigner et l’emmener consulter une psychologue.

NOAH est en mauvaise santé, n’a pas été emmené chez le docteur pendant 6 mois (malgré une constipation extrême et de l’encoprésie), il vit en chambre d’hôtel avec son père depuis des semaines (je ne le savais pas) et manque très souvent l’école, son père ne l’emmène plus chez le psychologue depuis des mois, NOAH ne parle quasi plus, n’accepte que le lait, a des troubles du sommeil.

Je fais constater l’état de NOAH par le service social me suivant dans le GARD, notre médecin généraliste, une psychologue, et notre entourage.

Pendant 3 mois je demande de l’aide au Juge des Enfants mais aucune décision n’est prise (le service me suivant m’informe que « le Juge réfléchit »).

En mai 2018, mes 2 enfants et moi nous revoyons ensemble en visite médiatisée, pour la 1ère fois depuis nos dernières vacances en octobre 2017, et c’est la dernière fois que nous sommes vus tous les 3.

Mi-juillet 2018 soudainement, suite à un courrier mensonger et alarmiste du père de Noah et son avocate, NOAH est retiré en urgence de mon domicile pour être remis à son père.

Il n’est pas tenu compte du fait que le père ait dit et écrit ne plus se sentir capable de s’occuper de son enfant, et que Noah crie vouloir rester vivre près de sa mère.Pour ma part je subis 33h de garde à vue.

Noah et moi n’auront plus ni visite (le service les organisant en HAUTE-SAVOIE est surchargé) ni contact téléphonique (refus du père) durant plusieurs semaines.

Parallèlement, mi- juillet 2018, Samuel se casse le fémur chez son père et nos prochaines visites sont annulées, ainsi que les contacts téléphoniques suspendus par son père.

Inquiète pour mes enfants, sans nouvelles, et coupés d’eux pour encore plusieurs semaines ou mois, je décide d’entamer une 1ère grève de la faim (que je dois parfois interrompre pour aller en HAUTE-SAVOIE notamment lorsque que je découvre par « hasard » que NOAH est mis en Foyer pour une nuit).

Après plusieurs semaines de jeûne, de démarches, l’intervention de 2 députés, etc, une nouvelle audience est fixée pour revoir la situation de NOAH.

Je supsends la grève de la faim, afin de donner toutes les garanties que je suis apte à reprendre mon fils à mon domicile immédiatement.

Le 11 décembre 2018 NOAH est retiré en urgence de chez son père qui ne peut plus s’en occuper, mais placé en Foyer en HAUTE-SAVOIE.

Noah passera les fêtes en foyer au milieu d’inconnus, en attendant son transfert le 11 janvier 2019 dans un Foyer du GARD, proche du domicile de sa mère comme décidé par le Juge.

Les parents ont droit à 2 visites mensuelles minimum et 1 appel par semaine (appels et visites en présence d’un tiers).

Choquée par cette décision je reprends ma grève de la faim le 14 décembre 2018, avec une autre maman dans une situation similaire, devant l’Assemblée nationale puis l’Elysée (aucun article de presse ne paraît, le seul relais médiatique est sur les réseaux sociaux).

Un journaliste de « France Télévisions » me rencontre et propose un reportage et caméras cachées en LOZERE, auprès du Tribunal et des services sociaux qui ont placés mes enfants en 2017, et dont SAMUEL dépend toujours puisqu’il vit chez son père dans ce département.

Cette médiatisation à venir semble plus efficace qu’une grève de la faim, c’est pourquoi je décide avec mon entourage d’y mettre fin (le reportage sur les placements abusifs était prévu pour 2019 mais n’est toujours pas sorti…)

La présence des 2 journalistes me permet de rencontrer la Présidente du Tribunal, en présence d’un ami qui a été témoin des comportements des pères avant le placement et depuis, du bien-être des enfants avant leur placement et leur souffrance depuis, mais n’a jamais été interrogée lors des enquêtes de gendarmerie ou sociales, et ses attestations en justice ignorées.

La Présidente est à l’écoute et s’engage à se renseigner sur les dossiers des enfants, les erreurs de procédures, le non-accés au dossier, les mensonges des pères, mais n’a jamais donné suite.

En février 2019, quelques semaines après l’arrêt définitif de la grève de la faim et le départ des journalistes, je suis mise en garde à vue en LOZERE, officiellement pour m’être présentée au domicile du père durant l’été 2018 puis m‘être rendue 3 ou 4 fois à l‘école entre septembre 2018 et janvier 2019 pour voir SAMUEL (rencontres enregistrées).

Durant cette garde-à-vue il m’est demandé de stopper mes actions si je souhaite retrouver des droits sur mes enfants.

Une expertise psychiatrique est effectuée, relevant que je n’ai pas de pathologie mais souffre beaucoup de l’absence de mes enfants.

En juin 2019 le Juge aux Affaires Familiales de LOZERE retire l’exercice de mon autorité parentale sur SAMUEL, sur mensonges du père et son avocate, sans que je vois le dossier, et alors qu’une une telle décision exceptionnelle ne doit être prise que dans des cas extrême comme la maltraitance ou l’abandon.

J’ai droit à une seule visite mensuelle d’1h ou 1h30 avec SAMUEL, toujours en LOZERE à 4h de route de montagne de mon domicile, alors que je ne cesse d’avertir des difficultés et risques pour s’y rendre.

Le 20 décembre 2019 le placement de NOAH en Foyer est renouvelé , et j’ai interdiction de voir mes 2 enfants ensemble, comme depuis plus d’un an et demi.

Le seul progrès que j’obtiens est une visite semi-médiatisée mensuelle avec Noah (rencontre avec des professionnels, puis sortie libre avec mon fils, avant de le ramener aux professionnels).

Quant aux 2 frères ils se sont vus 2 fois durant l’année 2019, quelques heures en présence d’éducateurs.

Le samedi 18 janvier 2020 est prévue ma 1ère rencontre semi-médiatisée avec Noah, nous allons enfin être seuls pour la première fois en plus d’un an et demi.

Mais la veille tous mes droits sont supprimés par l’organisme organisant les rencontres (je suis prévenue la veille mais NOAH prévenu 30 minutes avant l’heure de visite avec sa maman).

Cette situation est devenue insoluble, je ne suis plus la mère de mes enfants, et il m’est impossible de reprendre le cours de ma vie et retravailler dans ces conditions, séparée de mes enfants et devant courir les routes pour les rencontrer, aller au RDV avec les services sociaux, en audiences , etc.

Tout le capital-décés de mon père a servi à payer avocats, frais de routes, huissiers, loyer de la boutique où je ne peux plus travailler, envoi de colis à me senfants, etc. Je n’ai plus les moyens de me défendre.

Chaque fois qu’un motif de danger ou de crainte est levé un autre est avancé, et cela est sans fin.

Aujourd’hui je ne sais même pas ce qui m’est reproché si ce n’est le fait que je me bats pour récupérer mes enfants et m’oppose à leur placement.

S.V.P signez cette pétition, aidez-moi à sauver ma famille, à sortir NOAH de Foyer, et à réunir mes 2 enfants près de moi qui ne cessent de demander leur maman et leur frère.

Aidez-nous à retrouver une vie normale et heureuse.

Ma famille, comme des dizaines de milliers d’autres en France, est victime d’un système de « Protection de l’Enfance » défaillant et maltraitant, comme reconnu et dénoncé par plusieurs instances (Cour des Comptes, Inspecteur Général des Affaires Sociales), associations (Comité CEDIF, Violette Justice, Thermouthis, Rendeznounosenfants), journalistes (article de « Marianne » en janvier 2020 sur la « spirale des placements abusifs, reportage sur les Foyers en janvier 2019 et 2020), quelques députés (Jean LASSALLE notamment), avocats (Maître Michel AMAS voir ses vidéos “coup de geule Amas” sur internet ), et nombreux parents et enfants en détresse.

Pour plus d’informations sur notre histoire et sur les placements abusifs, voir site internet www.samuel3ansnoah8ans.fr . 

Pétition rédigée et mise en ligne le 27 janvier 2020

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