Prudence, réfléchissons, ils sortent leurs dernières cartouches… Des poulets à qui on a coupé la tête, désespérés… Ils veulent détruire nos sites avec des millions de requêtes ou en mentant, car nos sites ne sont pas dangereux pour la Vérité, au contraire, sic , par exemple www.agoratv.ch ou http://www.agoratvnews.com/ , notamment nos vidéos https://www.youtube.com/@siebenthal7 , nous censurer, nous attaquer par des mensonges, des calomnies, des diffamations, des amalgames, des qualificatifs infamants, complotistes, conspirationnistes alors que nous posons de vraies questions entre personnes adultes de bonne volonté. Ils n’ont aucun argument, ils font de la réduction ad hitlerum, ils sortent juste de leur caniveau d’immondices. Ils sont les esclaves de leurs passions coupables et dépravées. Père, pardonne leur car ils ne savent vraiment pas ce qu’ils font. Ils me nomment antéchrist numéro 2.0 mais quel honneur de me prouver que nous sommes efficaces et qu’ils sont énervés de nos résistances… ce sont eux l’antéchrist numéro 1.0 ! https://desiebenthal.blogspot.com/ https://desiebenthal.blogspot.com/

Remphen, baal, moloch, satan, satanas, lucifer, antéchrist, Belzébul le seigneur des mouches, djinns, , c’est toi qui l’a dit, c’est toi qui l’est…

Remphen, baal, moloch, satan, satanas, lucifer, antéchrist, Belzébul le seigneur des mouches, djinns, , c’est toi qui l’a dit, c’est toi qui l’est…

l y a des articles dans les mass-merdia et sur certains réseaux qui sont des amalgames peu sérieux, tissus de mensonges, d’insinuations, de calomnies et de diffamations. L’auteur en est parfois M. Grégoire Barbey, un criminel notoire, accusé notamment de viol, de contrainte, etc… et condamné à 6 mois de prison par le Tribunal fédéral, employé par l’officine de M. Serge Michel ( retenez ce nom de famille Michel, qui n’est pas là par hasard…). Ne payez surtout pas pour lire ce torchon Heidi news, alias ID news, sic , soutenu notamment par des criminels franc-maçons et pédo satanistes , les preuves et plus notamment sur  https://1291.one/bravo/

René Osterwalder le tortionnaire de bébé – YouTube

Le pédophile René Osterwalder reste interné à Zurich – rts.ch – Autres cantons

Prudence” la bête est blessée à mort elle en devient extrêmement dangereuse. Les jeux sont faits. L’humanité est maintenant placée là où elle doit être , il n’y a pas de retour en arrière ni de fuite en avant car tout arrive dans l’instant présent. Nous sommes les masses. Nous sommes des milliards de personnes. Levons nous et disons : Arrêtez. STOP

Nous ne nous conformerons pas … nous sommes les gardiens de l’humanité et notre lumière effacent toujours les ténèbres du mal. Il faut qu’un maximum de personnes de cette humanité soit capable de projeter le nouveau monde, de projeter l’espoir, la lumière, l’amour, la bonté, la paix surtout la paix surtout la paix. On va y arriver tous ensemble 🥰

Nous cherchons toutes les informations utiles, notamment sur leur fer de lance, le journaliste très douteux et controversé, accusé et condamné, inculpé notamment de viol, sic, M. Grégoire Barbey.

Témoignage: Une jeune Romande a été victime de ce “journaliste”. Le Tribunal fédéral a confirmé que son ex compagnon devra passer 6 mois en prison.

Source: Le Matin dimanche du 11 février 2018.

pages_14_15_Le_Matin_Dimanche_2018-02-11 (2)

Pour votre information et vos commentaires, voir le lien ci-dessous. Merci:

https://docs.google.com/document/d/196KuNmwhbKJ8P3BBzc2Dx0OWx8Vw0XmXWbp1D5x8GG0/edit?usp=sharing

Attention, les remarques sur ce document qui semblent venir de moi sont des usurpations d’identité sous mon nom et une adresse 1291.one@gmail.com. Si vous recevez un mail de cette adresse, ce n’est pas moi….

 

Heidi news, alias ID news.

M. Grégoire Barbey  a répondu de voies de fait qualifiées, d’injures, de menaces, de contrainte et de viol devant le tribunal de Lausanne et été condamné à 6 mois de prison par le Tribunal fédéral !.

Nous cherchons toutes autres informations utiles, notamment sur son fer de lance, le journaliste très douteux et controversé, accusé et condamné notamment pour viol, sic, M. Grégoire Barbey.

Le Matin Dimanche:

Témoignage: Une jeune Romande a été victime de ce “journaliste”. Le Tribunal fédéral a confirmé que son ex-compagnon devra passer 6 mois en prison.

Source: Le Matin dimanche du 11 février 2018.

pages_14_15_Le_Matin_Dimanche_2018-02-11 (2)

«Mon ancien petit ami m’envoyait

jusqu’à 300 messages par jour»

Témoignage Une jeune Romande a été victime de harcèlement obsessionnel. Elle se confie alors que le Tribunal fédéral a confirmé que son ex-compagnon devra passer 6 mois en prison pour contrainte.

Le 14 février 2013, vous portez plainte contre votre ex-compagnon. Pourquoi?

J’avais compris que c’était le

seul moyen pour qu’il cesse

de me harceler. Je l’avais

bloqué sur WhatsApp et Facebook, mais je

ne pouvais pas l’empêcher de m’envoyer des

e-mails et des SMS. Il disait qu’il allait tout

faire sauter chez moi, actionner son réseau

pour que je n’obtienne pas mon diplôme, me

mettre aux poursuites, me dénoncer pour

maltraitance du chat ou parce que je ne

payais pas mes impôts. C’était n’importe

quoi, mais ses menaces m’effrayaient.

Il vous envoyait beaucoup de messages?

Jusqu’à 300 par jour. Un flot incessant. Du

délire. Il me demandait 20 000 francs pour

se taire et répétait qu’il avait des relations.

Un an plus tôt, vous aviez pourtant été

séduite par ce jeune Suisse de 21 ans…

C’est vrai. J’avais 23 ans. Il m’avait écrit plu-

sieurs fois sur Facebook, où nous avions des

amis en commun. J’ai accepté de boire un

café. Je l’ai trouvé intéressant et cultivé.

Qu’est-ce qui vous a plu chez lui?

Il m’a tout de suite dit qu’il était très amou-

reux de moi, que c’était comme une évi-

dence, que j’étais son soleil. Il m’offrait des

fleurs, il me dédicaçait des poèmes. Il était

très romantique dans son approche.

Quand commence-t-il à se montrer

envahissant?

Quatre mois après notre rencontre. Nous

sommes alors en couple depuis trois semai-

nes. Chaque fois qu’on se quitte, il dit qu’il

veut me revoir, que je lui manque. Il insiste et

je cède. Finalement, on se voit presque tous

les jours. Je me dis que c’est le début, qu’il a

besoin d’être rassuré. Je lui explique malgré

tout que j’ai besoin de temps pour moi, pour

mes amis, pour faire du sport.

Il le comprend?

Non. Il est oppressant. Il me bombarde de

SMS et des messages Facebook. Si je ne suis

pas disponible, il m’écrit: «Je suis triste»,

«Tu me manques», «Je ne me sens pas

bien», «J’ai besoin de toi», «Il faut qu’on

parle». Je lui demande d’être patient, mais

son angoisse augmente. Il m’écrit encore

plus. Alors, je cède, encore une fois.

Pourquoi?

Je culpabilise. Je me dis qu’il n’est pas assez

en confiance avec moi, que je n’arrive pas à le

rassurer.

Rapidement, vous décidez pourtant

d’emménager avec lui. Pourquoi?

Il dit qu’il n’a pas de solution de logement. Je

lui réponds que je vis dans un deux-pièces,

mais que je veux bien le dépanner. Il débar-

que avec quelques cartons. Les problèmes

commencent.

C’est-à-dire?

Il ne travaille pas, alors il vient me voir presque

 tous les jours à midi avec des fleurs. Il dit

que ça le réjouit, mais ça m’oppresse. Le soir,

il m’attend à la sortie du travail. Entre deux, il

m’écrit tout le temps. Ce sont des kilomètres

de messages Facebook, e-mails, WhatsApp,

SMS, peut-être une centaine par jour à cette

époque. Il veut des réponses immédiates,

mais je ne peux pas. Il déprime: «Je ne le sup-

porte plus», «Tu ne m’aimes plus», «Je me

sens mal», «Au secours», «Tu veux que je

me suicide?» «Je vois bien que je ne compte

pas pour toi», «Tu me délaisses», «Pourquoi

tu m’infliges ça?» «T’es sans cœur.»

Il fait aussi des crises d’angoisse…

Il casse ses lunettes ou balance des œufs sur

le sol de la cuisine. Je lui dis qu’il n’est plus un

enfant et qu’il ne doit pas faire ça. Il pleure,

dit qu’il est désolé, qu’il ne le fera plus.

Vous êtes alors avec lui depuis quelques

mois. Songez-vous à le quitter?

Non, j’ai encore l’espoir qu’il change. Et j’ai à

l’esprit qu’il est quand même attentionné. Il

m’écrit des poèmes et des déclarations

d’amour. Tous les hommes ne font pas cela…

Vous vous voilez alors la face?

Non, j’essaie d’identifier les facteurs expli-

quant son attitude: la relation débute, donc il

stresse; on cohabite dans un petit logement,

ce n’est pas facile; il n’a pas de boulot, donc il

peut mal le vivre; il est jeune, donc tourmenté.

J’aurais peut-être dû déjà voir les signaux…

En automne, il trouve un travail à

Lausanne. Vous emménagez ensemble.

Pourquoi?

Je veux garder espoir et me donner une der-

nière chance. Des amis me disent que son at-

titude est insupportable et qu’il faut le quitter,

mais d’autres assurent qu’il faut relativiser.

Mais là, on est à 300 messages par jour.

Autant?

Oui. Le travail est une source d’angoisse sup-

plémentaire pour lui. Il n’arrive pas à gérer son

stress. Il devient de plus en plus possessif. Je

vois de moins en moins mes amis parce qu’il

me fait chaque fois une scène. À peine je pars

au travail, il m’écrit: «Ça va chérie?» «J’étais si

content d’être avec toi», «Tu vas me manquer

aujourd’hui», «J’espère que t’es bien arrivée

au travail», «Tu me manques.» Je réponds

une fois par heure, mais ce n’est pas assez.

«Pourquoi tu ne réponds plus?» «Je suis mal-

heureux, c’est de ta faute», «Tu sais que je me

fais du souci», «Tu pourrais quand même me

répondre», «Je te déteste», «Je ne t’aime

plus», «Tu ne peux pas me faire ça.»

Vous songez alors à rompre?

Oui, mais j’ai encore une lueur d’espoir qui

me permet d’accomplir les actes basiques de

la relation. Pour qu’il comprenne bien le pro-

blème, je lui envoie des e-mails intitulés

«Mise au point». J’écris qu’il doit respecter

mes besoins, que je dois dormir huit heures

par nuit, et que j’ai besoin de deux heures de

temps libre par jour.

La situation s’améliore?

Non, elle se dégrade. Il y a toujours ce flot

ininterrompu de messages, mais il n’y a plus

de petites marques d’attention. La violence

arrive. Toutes les deux semaines, chaque se-

maine, tous les deux jours. Il s’en prend aux

meubles, il casse de la vaisselle, il tape contre

les murs en hurlant. Je comprends que la rela-

tion ne pourra pas continuer. Et j’ai peur pour

mon intégrité physique.

Vous le lui dites?

Oui. Je lui dis qu’il est violent. Alors, il m’écrit

qu’il s’est emporté et qu’il ne recommencera

plus. Mais il récidive. C’est cyclique. Je suis

patiente parce que je sais que ce sera plus

simple s’il part de lui-même. Je veux aussi

me concentrer sur mes examens, que je dois

alors bientôt passer.

L’épisode du 30 janvier 2013, un an

après votre rencontre, est décisif…

Je me rends à Berne pour un entretien d’em-

bauche. Je lui écris que je ne serai pas dispo-

nible le soir. Il m’insulte par messages. À la

maison, il m’attend avec un couteau de

30 cm qu’il pointe dans ma direction. Il me

menace de mort. J’ai peur de mourir. Plus

tard, il va se coucher. Je peine à fermer l’œil.

Le lendemain, vous vous rendez

au centre LAVI, qui défend les victimes

d’infractions, et vous le quittez

par e-mail. Comment réagit-il?

Comme je l’imaginais. Il devient fou. Il

m’écrit plein de messages de menace. Il me

dit que je n’aurai jamais mon diplôme et qu’il

va bouter le feu à mon appartement. Il me dit

qu’il est devant chez moi, mais aussi qu’il va

dormir dans ma cave.

Que faites-vous?

Je ne mets plus du tout les pieds chez moi, je

dors chez des contacts. Le soir, je quitte le

travail en même temps qu’une collègue vi-

gile pour qu’elle me protège s’il est là. Je reste

cloîtrée chez elle.

Les menaces ne cessent pas…

Non. Je lui dis de me laisser tranquille, que je

ne veux plus entendre parler de lui et que je

porterai plainte s’il n’arrête pas. Mais il conti-

nue de me harceler. Je me rends alors à la po-

lice deux semaines après l’avoir quitté. Une

première fois le 10 février, puis j’ai pu dépo-

ser une plainte le 14.

Cela porte-t-il ses fruits?

Oui. Je crois que la police a été le chercher au

travail. Depuis lors, il est sorti de ma vie.

Cette histoire a-t-elle laissé des traces?

Pendant près d’un an, je ne voulais plus voir

personne. Je me méfiais même de mes pro-

pres amis. Je me disais que si je m’étais trom-

pée sur lui, je pouvais me tromper sur eux.

J’étais hyperstressée de le croiser dans la rue,

je me retournais tout le temps. J’ai fait des

cauchemars toutes les nuits, durant six mois.

Quand avez-vous tourné la page?

Je pensais le faire quand il me présenterait

ses excuses. Mais il ne m’a jamais rien dit. J’y

ai pensé tous les jours durant trois ans. Après

quatre ans, j’ai plus ou moins tourné la page.

Je ne me disais plus qu’une fois par mois que

j’avais eu de la chance de ne pas mourir. J’ai

été soulagée que le Tribunal fédéral con-

firme sa condamnation à de la prison ferme.

J’espère qu’il prendra enfin conscience des

actes qu’il a commis.

Quels conseils donner aux femmes

victimes de violences domestiques

et de harcèlement obsessionnel?

De collecter les preuves et porter plainte.

Cette affaire a-t-elle modifié votre

rapport aux hommes? 

«J’ai  fréquenté  deux  hommes  depuis.  

Je leur ai  d’emblée  demandé un extrait de casier  judiciaire» 

Source: Le Matin dimanche du 11 février 2018. 

Fabiano Citroni fabiano.citroni@lematindimanche.ch

Nous cherchons le plus d’info possibles sur un journaliste nommé Grégoire Barbey de Heidi alias ID news qui vient de contribuer au licenciement du patron d’Opeo SA . https://1291.one/bravo/   et qui a aussi probablement fait de faux témoignages, notamment contre Darius Rochebin—- 

Autre exemple d’article de journal, source ci-dessous…

” La face cachée d’un journaliste le conduit au tribunal

G.B. doit répondre de voies de fait qualifiées, d’injures, de menaces, de contrainte et de viol devant le tribunal de Lausanne.

Personnage public donnant son avis intensément illustré sur tous les sujets à travers les réseaux sociaux, dans un blog politique, le jeune journaliste d’un quotidien économique, G. B., 24 ans, a vu son autre face, bien plus sombre, étalée jeudi devant le tribunal correctionnel de Lausanne.

Il doit y répondre de faits graves, qu’il conteste en grande partie avec une arrogance qui laisse pantois ou qu’il met sur le compte de son «immaturité». A noter que l’histoire qui suit a aussi été racontée par ses protagonistes sur Facebook, d’une manière plus édulcorée.

VIVE L’HYPOCRISIE

On me reproche de mentionner le nom d’un journaliste qui ne se cache pas, bien au contraire, sur les réseaux sociaux. Les critiques les plus virulentes proviennent surtout des confrères, au nom de la présomption d’innocence qu’ils sont les premiers à violer. Les mêmes n’ont d’ailleurs semble-t-il pas lu l’article jusqu’au bout. Il repose sur les neuf points qu’un procureur a retenus  contre G.B. Il rend compte de ces accusations et des explications du prévenu. Etonnante l’absence de réaction de ces mêmes détracteurs lorsqu’est annoncée la simple interpellation d’un individu, sitôt mis au pilori. Donc soyons hypocrites, comme ces journalistes effarouchés au moindre égratignement : floutons la photo et réduisons le nom du prévenu – de faits très graves soutenus avec ardeur par la plaignante – à ses initiales. Il ne mérite peut-être pas plus que ce dédain. CHU

Voies de fait qualifiées, dommages à la propriété, injures, menaces qualifiées, contraintes, contraintes sexuelles et viol sont reprochés au journaliste. Une procureure a dressé cet inventaire au terme d’une enquête lancée en février 2013 à la suite de la plainte d’une des ex-amies de B. rencontrée sur … Facebook.

«Il était sans formation, sans travail, au service social, sans logement». C’est ainsi que la plaignante décrit celui qu’elle a logé. Or le bonhomme à l’enfance marquée par les coups est viscéralement jaloux. «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre», poursuit la jeune femme en pleurs. La relation ne s’améliore pas lors d’un déménagement de Genève à Lausanne où le futur journaliste a trouvé de l’embauche.

«J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur», selon ses dires. G. B. se disait amoureux fou d’elle et craignait qu’elle s’en aille ou qu’elle entretienne une autre relation. Elle insiste sur ses crises de nerfs, qu’il qualifie lui de crises d’angoisse.

Il l’aurait avertie qu’il allait s’immoler et qu’elle brûlerait avec lui. Dix mois d’enfer donc avant que la situation, déjà fortement compromise puisqu’elle voulait le quitter malgré ses craintes, a encore plus dérapé le 30 janvier 2013 lorsque la femme rentre tardivement chez elle. Furieux, il la laisse d’abord devant la porte de leur logement, l’insulte, l’empoigne tout en pointant un couteau avec une lame de 30 centimètres en proférant des menaces de mort. Il veut ensuite se suicider avec l’arme blanche ou enjamber le balcon (2ème étage).

«J’ai cru que j’allais mourir. Je voyais le couteau et je sentais la fin.» La victime dit «stop» et réagit le lendemain: elle change les serrures et lui annonce une séparation définitive, ce qui rendra le journaliste d’autant plus furieux et menaçant. Des centaines de sms et de courriels, avec des bombes ou des couteaux dessinés, ont été envoyés et ne laissent pas de doutes sur la tension du couple et le dérangement psychique de G. B., selon son ex-amie.

Ce dernier, plutôt que de faire profil bas, se montre d’emblée très sûr de lui. Pas question de consulter un psy. Il a préféré «parler avec des amis». S’il reconnaît être «jaloux», il nie quasiment tout ce qui lui est reproché: «Une vision unilatérale des choses. Je n’ai jamais cassé du matériel, levé la main sur elle. Je ne l’ai pas empêché de voir des amis ou sa famille. On en discutait avant. Je n’ai jamais abusé d’elle. Il n’y a pas eu de chantage au suicide».

Il ne se démonte pas lorsque la présidente démontre le contraire et puise sans chercher des sms menaçants ou insultants dans des kilobits d’envois, jusqu’à 15 en 15 minutes: «C’était immature de ma part. J’ai réfléchi à gérer mes émotions. Je me rendais compte que cette relation était vouée à l’échec», note-t-il.

Il reconnaît «des insultes réciproques». Les positions demeurent figées. Ces scènes, malgré une intervention policière, sont demeurées le plus souvent sans témoin. Une proche de G. B. a cependant rapporté la menace de dépôt de plainte pour viol s’il réclamait l’avance sur le loyer de février payé peu avant la séparation. «Il y a plein de choses que je ne m’explique pas dans ses réactions d’après», dit le prévenu en parlant de la plaignante.

Une collègue du journaliste a rapporté qu’il est tellement connu sur les réseaux qu’il s’en occupe désormais pour son journal. Elle le décrit comme «taquin, joueur, alors très amoureux».

Face à ce qu’elle qualifie de «possible déni» de la part du prévenu, la présidente du tribunal s’est demandé si le dossier ne devrait pas s’enrichir d’une expertise psychiatrique, vu aussi le poids de la responsabilité pénale dans une condamnation éventuelle. G. B. en a finalement accepté le principe après discussion avec son avocat. Le procès a été suspendu. Il reprendra au mieux cet automne.

CHRISTIAN HUMBERT

janvier 22, 2015

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et Rediffusion et MàJ 5.4.2017 : Journaliste ou diffamateur obsessionnel ? « Suisse : Pourquoi le journaliste Grégoire Barbey rêve de devenir musulman »

Article publié le 05.04.2017

Le même journaliste (photo ci-dessus) Grégoire Barbey s’en prend maintenant à  l’homme politique Yvan Perrin de manière odieuse et scandaleuse et diffame par la même occasion notre site LesObservateurs.ch qu’il ne cite pas nommément- par lâcheté?- en nous désignant comme “site notoirement raciste et xénophobe”. Nous ne sommes en rien raciste, cela fait des années que nous luttons contre ce phénomène, et le racisme étant condamnable nous allons dorénavant systématiquement faire appel à la justice et exiger de très importants dommages et intérêts car la volonté de nuire à notre site est ici encore plus évidente.

Le plus simple aurait été d’ignorer ce journaliste accusé publiquement de faits d’une gravité extrême  dont il a dû répondre. Pour rappel : le détail de ces accusations figure dans l’article complet repris ci-dessous, en juin 2015,  et publié en premier par un autre site à l’occasion d’une attaque tout aussi scandaleuse et indigne de sa part contre une autre journaliste.

Pour son professionnalisme ne manquez surtout pas la vidéo (seulement 2′) de l’une de ses interventions télévisuelles. Ce n’est pas un montage!

Extraits de l’article de juin 2015 repris en totalité ci-dessous:

“Ce pauvre garçon a dû répondre d’accusations graves, comme voies de fait qualifiées, injures, menaces, contraintes sexuelles et viol. Concrètement, la plaignante, son ancienne compagne, affirme que «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre»….

…”La compagne continue de décrire son calvaire : «J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur»… La rédaction

Voici son texte relative à la diffamation d’Yvan Perrin et de notre site Lesobservateurs.ch paru dans la Tribune de Genève, le 4.avril 2017, qui lui offre un blog :

Yvan Perrin, le glas de l’amertume

4 avril 2017  Grégoire Barbey  Politique locale

Défaite historique de l’UDC dans le canton de Neuchâtel ce dimanche 2 avril 2017. La section cantonale a perdu onze sièges sur les vingt qu’elle possédait au sein du Grand Conseil. Une députation qui soudain se réduit de moitié, et un président de parti qui se liquéfie littéralement, affirmant ne pas comprendre les raisons d’un si cuisant échec. Et pourtant, Yvan Perrin ne manque pas d’éléments pour expliquer ce désaveu cinglant de sa stratégie et de sa politique.

Yvan Perrin est, sur le plan humain, une personnalité courageuse. Atteint dans sa santé psychique, il démissionne en 2014 du Conseil d’Etat, où il avait obtenu un siège historique. Il ne s’en est jamais caché, et cela l’honore, car les maladies psychiques, dont la dépression, sont souvent considérées comme honteuses par ceux qui en sont victimes. Bref, Yvan Perrin a traversé le désert comme cela peut arriver à tout un chacun, et est revenu sous les feux des projecteurs l’an dernier, reprenant les rênes d’une section neuchâteloise bien mal en point.

Malheureusement, Yvan Perrin a signé son retour avec un certain esprit de revanche. Son discours, déjà franchement marqué très à droite à l’époque, s’est largement radicalisé. Pour preuve, les nombreux articles qu’il a publiés sur un site notoirement raciste et xénophobe ces derniers mois. Des mots très durs à l’endroit de ses adversaires politiques, une posture rigide, une attitude qui trahissait bien souvent une grande amertume ont transformé l’image d’un homme autrefois touchant par son humanité en un idéologue d’extrême droite infréquentable.

Les flots d’une haine mal contenue se sont déversés pendant plusieurs mois sur les réseaux sociaux, dans la presse et plus largement sur internet. Yvan Perrin s’est particulièrement illustré fin janvier à l’annonce de la fermeture du magazine romand L’Hebdo en se réjouissant de ce sort funeste. Et il n’a pas caché sa fierté de n’avoir pour ce journal et les gens qui le composaient que du mépris et de l’intolérance. Le président de l’UDC neuchâteloise a imprimé sa marque sur sa section, allant jusqu’à déposer récemment une initiative au titre malheureux «Les nôtres avant les autres» pour lutter contre l’afflux de frontaliers venant travailler dans le canton.

L’aventure politique d’Yvan Perrin trouve dans cette défaite historique une fin tragique. C’est la triste illustration que l’esprit de revanche est rédhibitoire. Cet homme qui avait su trouver les mots justes et touchants pour décrire son propre malheur se tait désormais, sans doute de peur de devoir exprimer la réalité: son retour en politique n’aura été que de courte durée.

Grégoire Barbey

Ci-dessous : L’article publié en premier sur Riposte laïque et repris sur notre  site Lesobservateurs.ch en juin 2015 dans lequel ce même individu, Grégoire Barbey, s’en prenait à une autre journaliste, M. Vallette :

Ci-dessus, Grégoire Barbey

Notre amie Mireille Vallette nous informait, hier, de la création de l’Association Suisse Vigilance Islam, dont elle est la présidente. Elle nous apprenait surtout que, dans les heures qui ont suivi l’annonce de la naissance de l’ASVI, les réseaux sociaux s’étaient quelque peu enflammés.

http://ripostelaique.com/suisse-journaliste-gregoire-barbey-veut-interdire-vigilance-islam.html

Un jeune journaliste, Grégoire Barbey, avait même pris la tête de la croisade, réclamant ni plus ni moins l’interdiction politique d’une telle association, ce qui, dans un pays comme la Suisse, étonne quelque peu. Le bougre n’y allait pas avec le dos de la cuillère, parlant ni plus ni moins, au sujet de la création de l’association présidée par Mireille Vallette, « d’un geste terrifiant qui pousse au génocide ». Et ce grand « Je suis Charlie » ne pouvait que conclure : « La création de cette association doit susciter une réponse politique immédiate et ferme. D’autant qu’elle « se révèle probablement anticonstitutionnelle ».

Comme quoi on peut se dire libéral en économie, comme Barbey, et se comporter en parfait stalinien liberticide dans la vie de tous les jours.

http://www.hebdo.ch/les-blogs/barbey-grégoire-irrévérences/vigilance-islam-une-association-inacceptable

L’homme, dont il se dit qu’il aurait un parcours journalistique atypique, n’ayant pas fait les écoles traditionnelles de ce si beau métier, paraît avoir ses entrées sur les plateaux de télévision, même si son élocution, dans cette interview, laisse à désirer. Nous sommes habitués à tous ces bobos du système qui, à la moindre critique contre la religion d’amour, de tolérance et de paix, gémissent, la main sur le cœur : « Touche pas à mon islam ». Mais, concernant Grégoire Barbey, nous avons compris autre chose : cet homme rêve de devenir musulman. Les preuves ? Le malheureux a été traîné devant les tribunaux, dans son pays la Suisse, pour des faits qui, en terre d’islam, n’auraient jamais provoqué la moindre réaction judiciaire. Certes, il n’a pas encore été condamné, et la présomption d’innocence nous impose la prudence, sans toutefois cacher la réalité des faits qui ont été rendus publics par le tribunal de Lausanne, en janvier dernier. http://www.sept.info/club/la-face-cachee-dun-journaliste/

Ce pauvre garçon a dû répondre d’accusations graves, comme voies de fait qualifiées, injures, menaces, contraintes sexuelles et viol. Concrètement, la plaignante, son ancienne compagne, affirme que «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre». Faut-il rappeler qu’en terre d’islam, une femme ne peut sortir dans la rue que si elle est accompagnée du mari ou d’un membre masculin de la famille du conjoint. Mais inutile de se rouler par terre, Grégoire, une bonne dérouillée, et on n’en parle plus… La compagne continue de décrire son calvaire : «J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur».

Alors là c’est le comble. Une femme qui refuse de se soumettre à son mari, en terre d’islam, c’est au mieux la répudiation (même si elle se soumet, d’ailleurs), au pire la mort. Donc, le généreux Grégoire n’a pas été trop méchant, se contentant de la frapper.

« Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les » (verset 34 de la sourate 4).

La suite est au diapason. Il l’aurait avertie qu’il allait s’immoler et qu’elle brûlerait avec lui. « Dix mois d’enfer donc avant que la situation, déjà fortement compromise puisqu’elle voulait le quitter malgré ses craintes, a encore plus dérapé le 30 janvier 2013 lorsque la femme rentre tardivement chez elle. Furieux, il la laisse d’abord devant la porte de leur logement, l’insulte, l’empoigne tout en pointant un couteau avec une lame de 30 centimètres en proférant des menaces de mort. Il veut ensuite se suicider avec l’arme blanche ou enjamber le balcon (2ème étage) ». Là il déconne, Grégoire. S’immoler par le feu parce que sa meuf n’est pas soumise ? Il faut qu’il s’endurcisse, en terre d’islam, on brûle les femmes infidèles, ou irrespectueuses et désobéissante, mais on continue à vivre, on ne crame pas avec ! Par contre, le couteau de 30 centimètres sur la gorge, très bien, il a des dispositions prometteuses, le bougre ! « Les hommes ont autorité sur les femmes, en vertu de la préférence que Dieu leur a accordé sur elles, et à cause des dépenses qu’il font pour assurer leur entretien ». (verset 38 sourate 4).

En plus, il se défend bien, le Grégoire ! «Une vision unilatérale des choses. Je n’ai jamais cassé du matériel, levé la main sur elle. Je ne l’ai pas empêché de voir des amis ou sa famille. On en discutait avant. Je n’ai jamais abusé d’elle. Il n’y a pas eu de chantage au suicide».

Le juge lui montre tout de même qu’il envoyait jusqu’à 15 sms en 15 minutes, avec menaces et insultes, mais il persiste dans un superbe numéro de takkya, et nie l’ensemble. Excellent, Grégoire, ne jamais avouer, toujours mentir et se dire victime…

Les paroles d’un musulman malhonnête ont plus de valeur que celles d’un dhimmi honnête (Sarakhsi, juriste hanafiste mort en 1090).

On résume donc. Voilà un malheureux qui cogne sa compagne, l’insulte, la viole, lui fait subir des fellations, la menace avec un couteau sous la gorge et l’empêche de sortir de chez elle, et qui, même avec des preuves accablantes sous le nez, nie tout. Mais c’est un parfait musulman, et tout cela est permis dans le Coran par des sourates et hadiths opportunes. Et ce petit génie de journaliste, qui, à 24 ans, passe sur les plateaux de télévision, se voit traîné devant les tribunaux comme un malfrat !

Les femmes sont pour vous un labour. Allez à votre labour à votre guise, et travaillez d’avance pour votre salut (sourate 2, verset 223).

On comprend mieux sa réaction sanguine, à la création de l’ASVI, pour deux raisons. Mireille est d’abord féministe, ce que ne doit pas trop aimer ce jeune homme. Et surtout, en attaquant l’islam, elle sape les fondements d’un texte-alibi qui autorise tous les comportements barbares avec les femmes, d’abord de les voiler, avant de les violer. Donc, sus à Mireille, sus à l’ASVI, il faut que le gouvernement interdise une association qui, en attaquant l’islam, pourrait blesser les musulmans… et les lèche-babouches européens fascinés par la barbarie islamique qui cautionne leurs plus bas instincts.

Finalement, il ne reste plus qu’une chose à faire, pour le valeureux Grégoire Barbey : se convertir à l’islam, jouir des avantages du Coran, et devenir un chef musulman en Suisse. Seul problème, le créneau est déjà pris, avec l’inimitable converti Blancho, qui, lui, défend la lapidation.

http://ripostelaique.com/naissance-dun-mythe-suisse-le-converti-nicolas-blancho-lislamiste-qui-monte.html

Mais finalement, un tandem Blancho-Barbey sur les plateaux de télévision, cela pourrait avoir de l’allure, surtout s’il y a Oskar Freysinger et Mireille Vallette en face…

Hans Sutter, collaborateur à Riposte Laïque

Article paru en premier sur Riposte Laïque

Juin 2015

28 commentaires

  1. Posté par bonardo le 13 avril 2017 à 07h38
    Cher Monsieur ,j’aimerais bien boire un café avec vous et discuter ,si je peux vous venir en aide ,merci de me contacter ,je pratique la relation d`aide ,l`écoute active ,et la sophrologie ,et je suis certain que je pourrais vous venir en aide ,de plus gratuitement ,bien à vous.
  2. Posté par Carole le 11 avril 2017 à 22h57
    Et bien voici l’exemple type du journaliste de notre époque … un parfait incapable qui se permet de juger les autres
  3. Posté par rikiki le 6 avril 2017 à 21h45
    Au fait, on remarque surtout un grand professionnalisme, une connaissance parfaite du sujet mais ayant beaucoup de difficulté à formuler son idée. Un orateur à qui l’on ne donne pas 30 secondes, et l’on s’endort !
  4. Posté par Loulou le 6 avril 2017 à 21h01
    On en trouve d’autres en fouillant un peu. C’est un champion, il évolue hors catégorie. Il doit crouler sous les invitations à dîner.
  5. Posté par Amarillys Taylor le 6 avril 2017 à 18h41
    Pitoyable prestation à la TV. Comment peut-on infliger ces balbutiements, idéation ralentie et autres borborygmes au téléspectateur déjà bien abreuvé d’idioties ? Ce sera bientôt un repris de justice s’il y en a une, et on demande aux médias de nous épargner les élucubrations de cet individu, futur converti et espérons, acquéreur de la nationalité saoudienne, qatarie ou autre…
  6. Posté par aldo le 6 avril 2017 à 17h36
    Pour devenir un vrai musulman, il va devoir passer par la circoncision, non ? Nous ne pouvons que lui conseiller un spécialiste bien connu dont l’adresse pourrait lui être communiquée facilement par toutes les bonnes mosquées.. http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/En-voulant-circoncire-un-enfant-un-chirurgien-lui-sectionne-le-gland/story/28026640  Avec un peu de chance le chirurgien n’aura peut être rien à couper. Mais s’il trouve que ce n’est pas le cas, attention à ne pas lui couper le gland. Espérons qu’il n’habite pas Gland. On voit déjà la presse triviale du Matin de Gland titrer à « Gland: un gland perd son gland ». Ce qui serait odieux. Mais pire si ça arrivait réellement à ce kamikaze de l’intelligence. https://ripostelaique.com/musulmans-reflechissez-72-vierges-chacun-dans-le-paradis-eternel-comment-on-fait.html Imaginez la déception des 72 vierges: « Alors, tu nous cache quelque chose ? » « Sors la, bordel ! On a faim! On nous avait mis sur la liste d’attente, on attend que ça depuis le dernier passage de Mahomet le 8 juin 632 après J.-C., et maintenant on est disponibles: le pauvre il avait été loupé. »
  7. Posté par Loulou le 6 avril 2017 à 12h10
    Qu’est-il advenu des accusations proférées contre ce petit génie? Procès? Verdict?
    Il n’est pas gâté par la nature, le pauvre. Cela ne doit pas être facile tous les jours. En ce qui me concerne, j’éprouve passablement de pitié pour lui.
  8. Posté par Aude le 6 avril 2017 à 12h02
    Drôle de zygomar…..à l’équilibre plutôt fragile…..
  9. Posté par Le raisonneur le 6 avril 2017 à 08h24
    Ce type est incroyable ! C’est l’anti-Marc-Bonnant parfait ! Mon rêve : organiser un face à face entre ces deux extrêmes, l’homme de gauche handicapé du langage et l’homme de droite brillant orateur. Le débat serait irréaliste, on pourrait en faire un documentaire ahurissant et concourir pour le Grand Prix du Jury au Festival de Cannes…
  10. Posté par Dominique Schwander le 5 avril 2017 à 21h36
    C’est ce genre de prostituée intellectuelle (comme les appelait le rédacteur en chef du NY Times) et de pauvre couillon que nous payons avec l’argent que nous extorque Bilag?
    Cet extrême gauchiste raciste qui milite contre la démocratie et la liberté d’expression aurait dû être mis à la porte.
  11. Posté par Jacques Beckie le 5 avril 2017 à 18h51
    C’est vraiment vous Barbey Claude qui avez posté en majuscule ci-dessous ?….Mdr
  12. Posté par Vengeur le 5 avril 2017 à 18h40
    Celui qui menace de porter plainte doit faire attention à ce qu’il dit et dira, fait et fera car ses menaces peuvent très bien se retourner contre lui. Si il est correct de ne pas dire n’importe quoi c’est valable aussi pour celui qu’il défend et par la même occasion, lui-même.
  13. Posté par P. le 5 avril 2017 à 12h29
    Est-ce que ce brave homme a déjà été jugé ? Il a été condamné ? Acquitté ?
  14. Posté par bobpholos le 5 avril 2017 à 11h55
    Ce monsieur devrait consulter car je crains une schizophrénie avérée.
  15. Posté par Témoin le 8 février 2017 à 06h42
    Je suis stupéfaite que des personnes continuent à s’extasier sur le soi- disant talent de ce petit chose. Il n’en a aucun, et je sais que tout ce que son ex compagne raconte est vrai. […]
  16. Posté par BARBEY CLAUDE le 26 novembre 2016 à 15h58
    LES DOMMAGES CO LATERAUX SONTS GRAVE VEUILLER PRENDRE CONTACTE AVEC MOI SINON PLAINTE SERAS DEPOSEE CECI EST IMPRIMER CA PERMET PAS DE SALIR LES FAMILLES MEME JOURNALISTE QUE VOUS ETES .
  17. Posté par BARBEY CLAUDE le 26 novembre 2016 à 12h15
    IL EST TRES POLIS ET JUSTE …..
  18. Posté par Paul Emile le 29 février 2016 à 22h07
    Il devrait mieux lire la posologie avant d’aller s’enterrer à la télévision.
  19. Posté par Alfonse Dupuis le 25 juin 2015 à 13h04
    Malheureusement , à sa demande , le lien a été supprimé. Mais il était cocasse d’entendre Barbey s’auto-proclamé leader des Indignés de Genève. Que nous réserve la suite ?
    https://m.facebook.com/onefm.ch/posts/10150537308496951
  20. Posté par John Simpson le 23 juin 2015 à 23h55
    @Dominique Baettig. Très juste d’autant plus que c’est ce petit Barbey qui avait dénoncé le politicien Denis Menoud à la cicad pour un simple jeu de mots…
  21. Posté par Hotch le 23 juin 2015 à 23h22
    Si c’est une réclame pour le diagnostic préimplantatoire, elle arrive trop tard : 10 jours pour la loi, et -malheureusement- une vingtaine d’années pour lui.
  22. Posté par Sentinelle le 23 juin 2015 à 23h07
    On a eu droit aux élucubrations des jeunes socialistes suisses – p.ex au sujet des drapeaux du 1er Août ou de l’abolition du mariage -, voici un jeune « journaliste », avec sa tête de poupon et un tout petit dossier juridique, qui monte sur ses grands chevaux en attaquant l’ASVI : « La création de cette association (…) se révèle probablement anticonstitutionnelle ».
    Merci à Hans Sutter d’avoir mouché ce petit morveux !
  23. Posté par Aude le 23 juin 2015 à 16h59
    Oh la la…si ce personnage est journaliste, je suis la reine d’Angleterre…..
  24. Posté par Popeye le 23 juin 2015 à 16h33
    « La Télé » est une chaîne infâme. Elle ne se contente pas de donner la parole à ce minus mais passe son temps à faire l’éloge de l’immigration. Il est même difficile de zapper sans tomber sur une émission (passée en boucle) qui ne vante pas le multiculturalisme, l’immigration/invasion, la diversité, les merveilleux Kosovars, etc. . Même la RTSocialiste n’en est pas (encore) à un tel niveau de propagande xenophile, ce qui n’est pas peu dire !
  25. Posté par Le pragmatique le 23 juin 2015 à 13h50
    Magnifique, je n’ai pu résister à lire l’article jusqu’au bout.
    Belle plume et ondes positives. Le caillassage de socialauts dans l’allégresse s’impose comme un nectar.
  26. Posté par D. Baettig le 23 juin 2015 à 10h51
    Le style inquisitorial, hystérique, intrusif, dénonciateur et moraliste de ce personnage qui a des relais médiatiques, ne relève pas de la défense ou de la fascination par l’islam mais plutôt des méthodes de la CICAD ou/et de la mentalité de la gauche socialiste ( style Valls ou Taubira).
    Liberté d’opinion, de pensée, de critique, d’aimer ou pas un phénomène, une religion, voilà les valeurs pour lesquelles il est vital de se battre.
  27. Posté par Andrea le 23 juin 2015 à 10h40
    Qu’il est content de sa petite formule  » à défaut de faire couler de l’alcool ».
    Si j’avais été la journaliste, j’aurais prolongé le silence jusqu’à l’inacceptable…
    Journaliste, gauchiste, sans rien avoir à dire, juste l’envie d’exister. Pour cela, il est bon de se mettre contre quelque chose, « s’ériger », « militer », « se battre », même sans avoir quelque chose à proposer.
    C’est une triste race, et elle n’est pas près de l’extinction, malheureusement.
  28. Posté par Sekeleno le 23 juin 2015 à 10h07
    Je pense que le jour où il sera dépucelé et que le lait derrière ses oreilles aura fini de couler, il bafouillera moins.

Bonjour

MERCI BEAUCOUP ! 

à voir les chapeaux blancs et plus en Suisse https://1291.one/victoires/

https://www.twitch.tv/videos/1137072406 et plus de vérités notamment dès 1h52

YouTube supprime des vidéos : https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/Lancement-de-la-UNE-TV:8

YouTube, Facebook violent les libertés   https://youtu.be/KkDP31oSYK0

Trump attaque en justice. Aidons-le avec nos signatures https://1291.one/stop-youtube-facebook-qui-violent-les-libertes-et-de-presse/

Abaissement sexuel à 12 ans sur ordre de qui ?  https://1291.one/corruptions/ 

Votations volées ?. https://1291.one/fraudes/ 

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