La manifestation immense, appelée par Donald Trump devant le Capitole se déroulait dans une ambiance bon enfant. Le contexte était particulier, après l’élection en Géorgie, à nouveau marquée par d’énormes fraudes, qui permettaient aux démocrates de ravir les deux sièges, et d’envoyer par ailleurs au Sénat un pasteur noir antisémite, un nommé Warnock. Tommy Robinson s’étonnait, dans un tweet que les candidats Démocrates aient gagné 170 000 voix pour l’un et 200 000 voix pour l’autre, en l’espace de 35 minutes !
Donald Trump avait tenu un de ces formidables discours dont il a le secret, rappelant le vol électoral dont le peuple américain avait été victime. Il avait mis la pression sur Mike Pence, l’appelant à faire respecter le vote populaire, et à faire ce qu’il fallait pour cela. “Vous êtes le vrai peuple qui a construit cette nation. Les démocrates veulent la détruire”. “J’ai gagné l’élection avec 75 millions de voix, soit 12 de plus qu’en 2016.”
Avec ce qui s’est passé en Géorgie la veille, le vote du Congrès devient encore plus important pour barrer la route aux Démocrates. Comme prévu, des sénateurs républicains ont contesté les grands électeurs des six États concernés par les fraudes massives des démocrates. Et comme on pouvait le craindre, Mike Pence et le président du groupe républicain du Sénat, Mitch McConnell, n’ont pas donné suite à cette demande, trahissant ouvertement Donald Trump. Notre ami Jacques Guillemain a parfaitement expliqué cela hier.
Mike Pence venait de trahir Trump… et le peuple est intervenu !
Partout a circulé la thèse de supporters de Trump, qui, excédés par ce hold-up électoral, auraient pris d’assaut le Capitole. Ce qui, par ailleurs, aurait été parfaitement compréhensible, devant l’énormité du scandale. Naturellement, tous les médias ont hurlé au putsch, au coup d’État trumpiste, et ont condamné le Président américain et ses supporters.
Pourtant, s’il est possible que des supporters de Donald Trump aient fait partie des Américains qui ont envahi le Capitole, il s’avère, et les preuves commencent à tomber des États-Unis, que ce sont des milices antifas qui ont infiltré le cortège, et qui, avec la complicité de la police, ont pu entrer dans la place, et interrompre le travail des parlementaires, qui, terrorisés, se seraient réfugiés dans les sous-sols.
Quelques documents troublants confirment cette thèse. D’abord, les antifas avaient ouvertement appelé leurs militants à infiltrer les manifestations des Républicains, dès le lendemain de l’élection.
La technique était parfaitement mise au point : “ma superviseuse antifa dit que ceux qui vont à DC (Washington) vont porter un camouflage et tout un attirail pro-Trump, mais qu’il tourneront leurs casquettes vers l’arrière pour se reconnaître dans la foule”.
Certains supporters de Trump dénonçaient d’ailleurs, devant le Capitole, l’attitude de certains casseurs antifas.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-0&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1347181346419052547&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
Ensuite, on peut s’interroger sur la facilité avec laquelle quelques centaines de manifestants ont pu forcer les grilles et entrer dans le Capitole. Mais tout s’explique.
Regardez, la police du Capitole a laissé les Antifas entrer en ouvrant les barrières censées les empêcher d’approcher.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1346955808853139461&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
A l’intérieur, ce fut encore plus étonnant.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-2&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1346977048456175620&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
D’autre part, certains avaient des masques à gaz, d’autres des cordes pour escalader la façade… bref, pas des pro-Trump, qui sont bon enfant…https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-3&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1346980780489248768&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
Ainsi, on a remarqué particulièrement un homme qui porte une peau de bête avec des cornes et un drapeau américain. Il a participé à des manifs de BLM ! Il s’appelle Jake Angeli et prétend être “shaman”. Voici une photo prise en juin dernier, en Arizona, lors d’une manif de BLM (voir le signe “Fuck la police” derrière). Il n’est pas dans l’habitude des supporters de Donald Trump d’insulter les forces de l’ordre.
À côté du “shaman” Jake Angeli, dans la salle du capitole, se trouve un gros gars… qui porte le symbole de la faucille et du marteau sur le dos d’une de ses mains. C’est un communiste :
Le gros gars qui porte une faucille et un marteau tatoués sur le dos de sa main, ainsi qu’un gars qui est à côté de lui, dans la salle du Capitole, sont en fait des Antifas de Philadelphie. (ils ont été reconnus par des habitants de la ville). Ils s’appellent Matthew Heimbach et Steve Smith.
Voici à gauche leur photo dans la salle du Capitole, et à droite une photo tirée du site “phillyantifa.org”, qui coordonne les activités des Antifas de Philadelphie :
Le “Washington Times” confirme l’information. La firme XRVision a utilisé son logiciel de reconnaissance faciale et confirme que les 2 gars dans la salle du Capitole sont des Antifas de Philadelphie :
Facial recognition firm claims antifa infiltrated Trump protesters who stormed Capitol
Par ailleurs, certains supporters de Trump ont pu se laisser entraîner, scandalisés par le vol de l’élection, cela est possible. Ainsi, la jeune femme tuée par un policier sans sommation alors qu’elle était non armée, dans le Capitole, est une vétéran de l’US Air Force.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-4&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1347076676342185984&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
Elle s’appelait Ashli Babbitt. Ce n’est pas le profil antifa.
La police, par contre, n’a jamais tiré sur les émeutiers de BLM ni sur les terroristes Antifas, en mai 2020…
De même, pour rester objectif, on peut penser que ce manifestant, dans le bureau de la chef démocrate Pelosi, est peut-être un sympathisant de Donald Trump…
Bien sûr, toute la pourriture médiatique et toute la pourriture démocrate, dans un parfait mouvement d’inversion accusatoire, jouent les grands défenseurs de la démocratie, et reprochent à Trump d’avoir voulu faire un coup d’État, et d’avoir attisé la violence.
Ainsi, l’islamiste démocrate Ilhan Omar demande-t-elle ni plus ni moins que la destitution de Donald Trump ! Et pourquoi pas son arrestation ? « Donald Trump devrait être destitué par la Chambre des représentants et démis de ses fonctions par le Sénat des États-Unis. Nous ne pouvons pas lui permettre de rester en fonction, il s’agit de préserver notre République et nous devons tenir notre serment ».
Faut-il rappeler que ces mêmes démocrates n’ont jamais eu un mot pour condamner les émeutes orchestrées par les Black Lives Matter, souvent dans les quartiers noirs, ni les morts qu’elles ont engendrés ?
Encore plus énorme, Twitter a supprimé 3 tweets de Trump et bloqué son compte pour 12 heures, avec la menace de supprimer totalement son compte ! (un des tweets contenait la vidéo dans laquelle Trump appelait ses supporters à rentrer paisiblement chez eux, sans violence… mais comme il répétait que l’élection avait été frauduleuse, Twitter l’a classé comme “incitant à la violence” !) Facebook a bloqué le compte de Trump. Instagram aussi.
Les milliardaires totalitaires pro-Démocrates pro-Antifas de la Silicon Valley accroissent la censure !
Bien évidemment, le mondialiste Macron, qui a reconnu parmi les premiers la victoire de Biden, donne des leçons à Trump (qui avait dit que tout ce qu’il touchait se transformait en merde) avec un argument étonnant, quand on connaît l’ampleur de la fraude : « Quand, dans une des plus vieilles démocraties du monde, des partisans d’un Président sortant remettent en cause, par les armes, les résultats légitimes d’une élection, c’est une idée universelle – celle d’un homme, une voix – qui est battue en brèche ». Venant de celui qui a fait tirer sur les Gilets jaunes, ces leçons sont savoureuses.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-5&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1346997796180643840&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
Parmi les bons donneurs de leçons, soulignons également Boris Johnson, qui avait fait partie des premiers à reconnaître la victoire de Biden, et à le féliciter.
« Les États-Unis sont partisans de la démocratie dans le monde et il est désormais vital qu’il y ait un transfert de pouvoir pacifique et ordonné ».
Les Allemands ont rajouté leur grain de sel, par la voie du ministre des Affaires étrangères, Heiko Maas. « Trump et ses partisans devraient en fin de compte accepter la décision des électeurs américains et cesser de piétiner la démocratie ». « les paroles incendiaires se muent en actions violentes ».
Mais c’est le fraudeur corrompu Biden qui aura été le meilleur, dénonçant laborieusement une violation sans précédent de la démocratie.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=1ripostelaique&dnt=true&embedId=twitter-widget-6&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1346926053462319114&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fcapitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html&siteScreenName=1ripostelaique&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=500px
Les vieux cons, ça ose tout !
Il est bien évident que cette attaque a bouleversé la stratégie de Donald Trump, l’obligeant à demander à ses supporters de rentrer chez eux dans le calme, pour éviter toute provocation. Comment le formidable combattant qu’est le président des États-Unis réagira-t-il, ce jour, à cette nouvelle provocation du camp adverse ? Il nous étonnerait, connaissant le personnage, que la riposte ne soit pas à la hauteur du coup monté.
Jeanne Bourdillon
Georgie, le peuple a parlé, mais qu’a-t-il dit ?
PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 6 JANVIER 2021
Au moment d’écrire ces lignes, l’antisémite révérend Warnock a gagné de peu sur Kelly Loeffler et siégera au Sénat américain.
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L’autre élection n’est pas terminée, mais le Démocrate Ossoff est légèrement en tête avec très peu de votes par correspondance, de bulletins de l’armée et les bulletins provisoirement rejetés encore à dépouiller et valider – environ 28 000.
Cette élection si essentielle me semble extrêmement intéressante et elle mérite réflexion.
Les électeurs Républicains de Georgie, le peuple donc, a parlé.
Ils connaissaient l’importance de cette élection mieux que quiconque, ayant eu les oreilles rebattues depuis deux mois, du danger de perdre le sénat.
Ils étaient conscients que les yeux du monde sont tournés vers eux.
Ils étaient très au fait des conséquences d’une défaite de leurs sénateurs pour leur parti, pour leurs idées, pour leurs convictions politiques, pour leur vision de l’Amérique, pour leurs droits fondamentaux, pour leurs impôts, pour leur économie, leur métier, leur emploi.
Ils sont parfaitement au courant de la fraude massive, et bien entendu de la perte de la présidence de Donald Trump.
Et parce qu’ils le connaissent parfaitement, ils détestent Warnock, qu’ils savent être un extrémiste de gauche, un antisémite, un apologiste du nazi noir Farrakhan, un homme radicalement hostile à tout ce qui fait la grandeur de l’Amérique.
Ils savent que les deux candidats républicains ont déclaré qu’ils se joindraient à la contestation des listes des Etats contestés, dont le leur, aujourd’hui 6 janvier, au Congrès.
Et ils aiment Donald Trump.
Et ils savent que tout ce qu’il a accompli pour eux, pour l’Amérique, pour MAGA, pour leurs valeurs, pour la défense de la religion sous attaque, sera balayé d’un coup si les Démocrates ont la majorité dans les deux chambres du Congrès et la présidence.
Et ils n’ont pas donné la victoire à leurs sénateurs.
Gouverneur et secrétaire d’Etat aux abonnés absents
Quant aux deux responsables de l’Etat, deux Républicains, le gouverneur Kemp et le secrétaire d’Etat Raffensperger, c’est encore pire je dois dire.
Sachant comment la fraude s’est organisée il y a deux mois ;
Sachant comment les observateurs Républicains ont été écartés des tables de dépouillement et d’arriération ;
Sachant comment les machines Dominion sont suspectes de pouvoir changer les résultats ;
Sachant comment le vote par correspondance permet la fraude massive – il est interdit en France depuis 1975 pour cette raison précise.
Sachant tout cela, ils ont encore laissé des employés électoraux Démocrates dépouiller les bulletins de vote par anticipation sans que les observateurs Républicains soient juste à côté d’eux pour vérifier ce qu’ils faisaient. Encore.
Sauf erreur, ils n’ont pas même cherché à rencontrer le comité électoral pour s’assurer que le barrage des observateurs Républicains ne se reproduirait pas. Et ils n’ont pris aucune mesure pour l’éviter.
Sauf erreur, alors que le président Trump a noté qu’une fois encore le dépouillement s’est arrêté pendant plusieurs heures de manière suspecte pendant la nuit, personne chez les Républicains – dans un Etat dirigé par une majorité républicaine – ne s’est assuré de la présence de Républicains dans les salles où les dépouillements sont faits afin de savoir comment, pourquoi, à quelle fin, les dépouillements se sont arrêtés : même le président est dans le brouillard.
GOP de Georgie, quel GOP de Georgie ?
A supposer que la direction du parti Républicain, après la fuite au Washington Post de la conversation téléphonique entre le président Trump et le secrétaire d’Etat Raffensperger par ce dernier ou son entourage, ait soupçonné les dirigeants de l’Etat d’être corrompus, ils n’ont pas eux-mêmes pris l’initiative et organisé une riposte massive face au danger de fraude ?
Sauf erreur, ils n’ont pas rencontré les dirigeants des bureaux électoraux de chaque comté, recruté de multiples observateurs, obtenu des assurances que cette fois les observateurs seraient derrière chaque table, pu vérifier que les machines Dominion n’étaient pas connectées à internet, obtenu la sécurisation parfaite et vérifiable de tous les documents, bulletins, enveloppes afin de permettre un recomptage qui fasse sens.
Conclusion
Le peuple Républicain a parlé, les élus Républicains ont parlé. Le parti Républicain a parlé. Et j’ai un immense respect pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. L’enjeu était immense et les électeurs l’ont bien compris. Voilà mon analyse, dites-moi ce que vous en pensez.
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