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Canada France ?? 
Martinique France France France 
Belgium France France France France France France France ?? France France ?? France ?? France France Switzerland 
Swaziland Switzerland France France Switzerland ?? Switzerland Switzerland Pétition de soutien à Juliette et des ses amis. lançeurs d’alerte menacés par les gransa inconnus et l’état profond.
https://campinfors.heb3.org/
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Dans le cadre de ma vie Cauchemardesque que m’a fait subir les institutions françaises et ceci sur preuve depuis 2015, j’ai croisé énormément de lanceurs d’alertes sur le sol Français qui gèrent des dossiers de corruption sur le sol Français…La plupart subissent également des pressions énormes sur le sol Français…. Face à cette situation, j’ai déposé plainte au parquet de Lyon Procureur général: Mobbing institutionnel sur des personnes qui gèrent des dossiers de corruption sur le sol français… Mobb en englais signifiant foule… ( C’est à -dire acculés par les institutions).
A titre personnel j’ai géré un dossier de corruption que nous avons fait diffuser sur preuves chez les élus français depuis 2016, pour en arriver à une thèse que j’ai mis en place du titre : Génocide économique des nations. Thèse et plainte téléchargeable sur ce site dans onglet plainte… https://campinfors.heb3.org/indexPlaintes.html?fbclid=IwAR3goPYrYwsMNII_YUXmlMcITzHsFJMW77b6E5MC3hkhfl7KeD6Dsb2fSdY
Ce dossier que nous avons mis en place pour le génocide organisé de la population Française via les finances internationales et nationales.
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Nous avons lancé un appel à tous les lanceurs d’alertes sur le sol Français, ainsi que les personnes incarcérées de façon illégale ou mise en Hôpital psychiatrique, ou subissant un mobbing institutionnel. Nous sommes suivis dans le cadre du dossier que je gère amenant à une plainte contre les pays Européens et internationaux pour crime contre l’humanité et système d’esclavage. Nous sommes suivis par des diplomaties et des mandats ont été fais a l’international si la moindre merde devaient nous arriver sur le sol français, disparition, mise en HP. Mandat qui stipulent que dans ce cas les plaintes seront portées par des diplomates et Personnes à l’international.
Si vous voulez vous porter sur cette plainte avec nous , vous êtes la bienvenue . Dans ce cas, faites le moi savoir… Et transmettez-moi les preuves nécessaires.
Cette plainte a été faite au départ pour moi, mais aux vues du nombre de personnes que je connais dans mon cas sur le sol français, elle a été ouverte pour toutes les personnes d’une façon générique qui détiennent des dossiers de corruption ou dénoncent des vérités. ( Pédophilie, mise en hp etc…. Je vous laisse lire sur la plainte).
Lors de cette convocation ce jour du 22 nous avertissons les gilets jaunes et beaucoup seront présents sur place ce jour là, associations de lutte pour les victimes de la psychiatrie, et nous sommes en train de rechercher des association sur lutte contre la pédophilie.
https://campinfors.heb3.org/indexVideos.html
https://drive.google.com/drive/folders/1jpYZBq25AqdblGn62dGsetkv1rHwCHU-?usp=sharing
Les Supérieurs Inconnus
Les théories du complot qui enquêtent sur le mal absolu représenté par la mondialisation font partie d’une longue tradition qui part de l’abbé Barruel, à la fin du XVIIIe siècle, jusqu’aux plans de globalisation actuels.
Les études que René Guénon a dédié à ce sujet, en publiant des articles dans la presse antimaçonnique, représentent un carrefour très important dans la formulation de ces théories. Les lecteurs peuvent, encore aujourd’hui, lire ces articles dans une réimpression: La polémique sur les “Supérieurs Inconnus” (Archè, Milano 2003, p.208). Le volume comprend également les textes d’autres auteurs qui ont traité le thème des ‘Supérieurs Inconnus’: Louis Dasté, Gustave Bord, Benjamin Fabre, Charles Nicoullaud, Papus, Paul Copin-Albancelli.
De plus, il existe une étude colossale de Louis de Maistre sur le sujet: L’Énigme René Guénon et les “Supérieurs Inconnus” (Louis de Maistre, L’Énigme René Guénon et les “Supérieurs Inconnus”. Contribution à l’étude de l’histoire mondiale “souterraine”, Archè, Milano 2004, p.960). L’auteur a effectué un travail de recherche sur les sources qui ont été utilisées par les auteurs antimaçonniques. Les revues qui en France menaient cette respectable bataille civile étaient: La Bastille, La France Antimaçonnique, Mysteria et la Revue Internationale des Sociétés Secrètes. Guénon y écrivait sous le pseudonyme de ‘Le Sphinx’. Le débat sur les thèmes en question était animé principalement par le monde catholique et conservateur, mais y contribuaient aussi des ésotéristes comme Guénon, et même des ex-francs-maçons et des laïcs agacés par l’attitude sectaire des loges.
Les discussions étaient souvent centrées sur l’identification des ‘Supérieurs Inconnus’, c’est-à-dire des personnes qui tiraient les ficelles à l’intérieur de la Franc-maçonnerie, parfois à travers des ‘arrière-loges’. Ces personnages pouvaient être des vraies personnes, comme Cagliostro ou le Comte de Saint Germain, ou parfois être reconnus dans les juifs ou dans le diable lui-même ou, plus vraisemblablement, dans l’ensemble des idées qui inspiraient la subversion démocratique. On supposait aussi que les ‘initiés’ pouvaient se réunir ‘en astral’, c’est-à-dire dans une dimension supraterrestre et non corporelle, de laquelle ils auraient coordonné leur action contre la société.
Le point de départ de cette réflexion est une étude de Benjamin Fabre: Franciscus, Eques a capite galeato. Il s’agit d’un essai publié en 1913 dédié au marquis de Chefdebien, un haut initié qui a commencé sa carrière franc-maçonnique pendant la préparation de la Révolution française et l’a continuée sous l’Empire. L’étude de Fabre montre que Napoléon pensait contrôler la Franc-maçonnerie par l’introduction de ses officiers dans les loges, alors qu’en réalité c’était la Franc-maçonnerie qui contrôlait l’Empereur des Français!
Les recherches mettaient en évidence les liens entre les loges françaises et les ‘Illuminati di Baviera’ de Weishaupt et s’intéressaient aux théories sur l’existence d’un pouvoir central juif qui agissait à travers la Franc-maçonnerie.
C’est à partir de ces informations que se développe l’essai de Louis de Maistre qui enquête sur le problème non-résolu des sources de Guénon. Sources que le philosophe laisse intentionnellement dans l’ombre, soit pour fasciner les lecteurs par son style hermétique, soit parce qu’il était convaincu de communiquer des vérités traditionnelles dont la valeur était indépendante de la personnalité qui les exprimait. Les plus grands partisans de Guénon soutiennent que l’œuvre du penseur de Blois est l’événement intellectuel le plus important depuis la fin du Moyen Age. Et, sans pour autant soutenir cette thèse, il faut admettre que Guénon est un guide influent sur le chemin glissant de l’histoire occulte.
Guénon, dans ces articles, attaquait la Franc-maçonnerie en se conformant au style des revues pour lesquelles il écrivait. Cependant, dans des œuvres successives, il modifia son jugement sur les francs-maçons en critiquant les déviations modernes des loges.
On a pensé aussi que Guénon était une sorte de cheval de Troie à l’intérieur du monde catholique dont la tâche aurait été de rendre les esprits plus favorables à l’occultisme. Mais, selon Louis de Maistre, cette hypothèse serait discutable puisque la critique de la modernité de Guénon est similaire à celle du catholicisme traditionnaliste.
Lorsqu’il collaborait avec La France Antimaçonnique, Guénon était en relation avec un personnage énigmatique, Swami Narad Mani, un indou qui lui aurait procuré de la documentation sur la théosophie que Guénon aurait amplement utilisé dans son essai corrosif sur le mode de pensée de Mme Blavatsky.
Les textes de Narad Mani ne sont pas particulièrement originaux et reportent des informations déjà présentes dans d’autres sources. De plus, Narad Mani était un partisan du spiritisme auquel Guénon, par contre, était opposé. Cependant, certaines idées du chercheur indou pouvaient influencer la culture ésotérique ; en particulier, la thèse sur l’existence de 33 loges dirigées par un ‘Comité occulte’. Il s’agissait d’un concept qu’on trouvait déjà dans Taxil: les 33 loges par lesquelles les lucifériens gouvernaient le monde!
Les sources indiennes parlaient aussi de la Teshu Maru, une organisation initiatique détériorée qui aurait été le fondement de la contre-initiation: cette hypothèse alimentait les élucubrations des complotistes…
C’est à ce moment-là que la recherche s’axe sur la figure de Saint-Yves d’Alveydre qui fournit à Guénon l’occasion d’écrire l’une de ses œuvres les plus réussies: Le Roi du Monde. L’idée d’un royaume souterrain gouverné par des idées utopiques n’est pas neuve, et elle sera reprise par Ossendowski dans son célèbre livre Bêtes, hommes et dieux. Ossendowski qualifiait, dans certains de ses écrits, la figure mystérieuse du ‘Roi du Monde’ de ‘Grand Inconnu’, une appellation inquiétante qui prenait presque des apparences d’Antéchrist.
De son côté, Saint-Yves s’inspire de Hardjji Scharipf Bagwandas, un indou dont le style ressemble à celui de Narad Mani. Le rapport entre Saint-Yves et Scharipf est documenté à partir de 1885, l’année pendant laquelle éclate l’affaire Taxil: un concours de circonstances singulier…
Dans l’œuvre de Saint-Yves, apparaissent des villes infernales et des comités secrets qui dirigent les événements mondiaux ; les éléments du système de pouvoir mondialiste commençaient à entrer dans l’imaginaire du monde intellectuel. De plus, Scharipf était vraisemblablement un expert de la « voie de la main gauche », la pratique tantrique qui utilisait sorcellerie, nécromancie et magie sexuelle comme méthodes pour affaiblir la personnalité. Ces idées étaient similaires à certains courants de la Kabbale juive et elles auront beaucoup d’influence sur la classe dirigeante franc-maçonnique.
Louis de Maistre repère d’autres sources qui ont influencé la mystérieuse légende de l’Agartha: le peintre autrichien Alfred Kubin (1877-1959) peignait des personnages de l’enfer qui évoquaient la vision d’un monde en cours de dissolution et en proie à la violence. Kubin écrivit le roman Die Andere Seite dans lequel il décrit un royaume mystérieux situé au Turkestan et cerné par une ‘Grande Muraille’: il s’agit de thèmes analogues à ceux traités par Guénon et Ossendowski. Dans Le Roi du Monde, Guénon affirme que le satanisme consistait en l’identification du ‘Roi du Monde’ comme le princeps huius mundi, c’est-à-dire associé à la confusion entre l’aspect lumineux et l’aspect ténébreux. Il s’agit évidemment d’idées répandues dans le milieu culturel, liées aux sentiments d’égarement qui tenaillaient l’opinion publique, à une époque caractérisée par le début de grands changements sociaux, changements qui, aujourd’hui, sont élevés à l’énième puissance par la mondialisation.
Guénon participa aussi aux activités du groupe des ‘Polaires’, une association ésotérique qui s’inspirait des oracles de ‘Padre Giuliano’, un ermite qui vivait à Bagnaia, près de Viterbo en Italie, au début du XXe siècle. On lui associait une série de faits remplis d’imagination et invérifiables qui présentaient toutefois des points communs avec ceux traités par Saint-Yves et Guénon.
L’étude de Louis de Maistre cherche aussi à approfondir l’éternel dilemme qui alimente encore de nos jours les débats des complotistes: la Franc-maçonnerie est-elle née de manière autonome ou est-elle une création de la communauté juive? La question est probablement destinée à rester sans réponse. S’il est vrai que l’on retrouve des influences juives dans l’entourage de Cromwell au XVIIe siècle, les juifs ne sont présents qu’en nombre très limité dans les loges au début du XVIIIe siècle, et il est fort probable que les juifs francs-maçons de cette époque étaient vus de manière suspecte par leurs propres frères de foi.
Ce que l’on peut documenter, c’est la diffusion des idées nées dans les milieux juifs, inspirées des théories de Sabbatai Tsevi et de Jakob Frank, qui indiquaient la ‘voie de la main gauche’ dans laquelle vice et péché étaient les éléments clés pour atteindre le salut. Les partisans de ces théories étaient vraisemblablement organisés en structures secrètes, similaires à celles des francs-maçons; leur intention commune était d’offrir aux masses l’illusion de la liberté, ayant comme but réel de les asservir à un pouvoir bien plus cynique et despotique que celui duquel ils affirmaient les libérer.
Dans la Kabbale, les contacts avec les forces diaboliques s’intensifiaient de plus en plus au fil du temps. Les chercheurs de cette discipline étaient spécialisés dans la manipulation de résidus psychiques et l’application de ces théories dans le monde maçonnique se retrouve dans le système des ‘Elus Coen’ fondé par Martinez de Pasqually en 1754. Cagliostro, lui-même, eut des contacts à Londres avec Ba’al Chem, l’un des disciples de Tsevi.
Les partisans de Tsevi et de Frank opéraient comme de véritables missionnaires de la subversion, en s’infiltrant dans les loges franc-maçonniques plus ou moins discrètement, mais en influençant les doctrines de manière décisive. Jakob Frank imaginait l’avènement d’un ‘monde nouveau’ caractérisé par un ‘Grand Frère’ et par un ‘messie féminin’: des conceptions qui manifestent d’affreuses similitudes avec la réalité contemporaine…
Durant la longue marche de la subversion, les théories théosophiques de Mme Blavatsky eurent la plus grande importance, en particulier la conception des Mahatma qui rappelle celle de Supérieurs Inconnus. Le théosophisme influença les milieux du Risorgimento italien, principalement Mazzini et la Franc-maçonnerie italienne appelée Carboneria. Parmi les italiens qui eurent des contacts avec le théosophisme, on retrouve Giacinto Bruzzesi, Adriano Lemmi, Marco Antonio Canini, personnages qualifiés pour mener discrètement des opérations occultes.
Djamal ad-Din al Afghani s’inspira aussi des idées théosophiques et se fit connaître dans le monde islamique grâce à une réforme religieuse inspirée des conceptions protestantes et à la diffusion d’idées modernistes et socialistes.
Cette période fut donc caractérisée par toute une série de bourrages de crâne et de manipulations psychiques dissimulés qui s’étendaient à travers les nations et les continents, une œuvre dont la Société Théosophique était en quelque sorte l’aspect visible et institutionnel. Le plan, préparé avec le plus grand soin, balayait des consciences toute trace d’un ordre positif, exécutant les directives spirituelles purement destructrices de Jakob Frank. Par conséquent, un mécanisme de robotisation sociale dont les masses n’étaient pas du tout conscientes prit forme ; un système où les maîtres étaient les ‘initiés’ qui gouvernaient les nations en véritables missi dominici de la contre-initiation. Au XXIe siècle, l’humanité assiste aux derniers développements angoissants de ce système largement éprouvé…
Les complotistes cherchaient également à localiser les centres de la contre-initiation, souvent présents en Orient, dans des endroits plus ou moins isolés. On pensait aussi que la Mongolie était l’un des principaux centres d’irradiation des influences malignes et la diffusion du manichéisme parmi certains peuples orientaux semblait confirmer cette hypothèse. De plus, Guénon lui-même avait évoqué l’existence de tours du diable, dont certaines seraient situées dans les steppes de la Russie centrale.
L’instauration du régime communiste en Russie confirmait les thèses complotistes et la littérature sur la conspiration identifiait des personnages considérés comme mineurs par la grande histoire mais qui avaient joué un rôle important dans la diffusion des ‘idées nouvelles’. Dans le milieu russe, entre le XIXe et le XXe siècle, était actif Agwan Dorjiev, un lama bouddhiste qui avait quelques influences à la cour du czar et qui était sans doute impliqué dans des activités d’espionnage dont les intentions n’étaient pas claires. Dorjiev sera, par la suite, victime des épurations de Staline et mourra en prison en 1938. Dans ce cas-ci aussi, il parait que, derrière le masque du Bouddhisme, il y avait des idées progressistes et universalistes d’origine théosophique.
Les théories sur la provenance orientale des agents de la contre-initiation se nourrissaient aussi de la peur répandue d’une invasion asiatique imminente en Europe. Au début du XXe siècle, la littérature reprenait souvent ce genre d’hypothèses.
De plus, il est possible que Guénon fût en relation avec des personnes qui travaillaient pour les services secrets britanniques, et l’ésotériste français voyait justement dans l’impérialisme anglais un puissant moyen de diffusion de la subversion démocratique. A cette époque, l’homme des trames britanniques était Sir Basil Zaharoff, un marchand d’armes cynique qui était l’un des dirigeants de la Vickers, colosse industriel de l’armement. Il semble que Zaharoff joua un rôle dans l’embrasement des nationalismes balkaniques qui allumeront l’étincelle de la Grande Guerre.
La jeunesse de Zaharoff baigne dans le mystère et sa montée soudaine dans le monde cosmopolitique des affaires nous fait soupçonner qu’il fût introduit dans les milieux les plus exclusifs des forces occultes…
L’intellectuel fasciste Giovanni Preziosi, dans un article de 1934, définissait Zaharoff comme l’homme le plus mystérieux du monde.
La vie de Zaharoff se mêle à celle de Giuseppe Volpi, un homme d’affaires italien, célèbre pour avoir créé le festival du cinéma de Venise. Volpi, en s’appuyant sur la Banca Commerciale Italiana, gérait un commerce florissant aux Balkans, principalement en Serbie.
Ces personnages semblent avoir opéré selon des plans précis, en utilisant à la fois le nationalisme et l’internationalisme pour déstabiliser l’ancien ordre social et conduire l’humanité dans l’ère messianique du mondialisme.
Ce genre d’idées étaient élaborées dans les milieux franc-maçonniques, et Louis de Maistre cite aussi l’œuvre de l’auteur italien Benedetto Musolino qui a théorisé un état fondé sur des principes mosaïques et talmudiques: une véritable préfiguration du sionisme…
Enfin, l’étude de Louis de Maistre s’arrête sur l’importance de l’œuvre de Guénon à l’égard de l’ésotérisme et de l’histoire occulte. Le maître du traditionalisme en général n’est pas pris en considération dans le milieu académique, mais Guénon lui-même détestait l’université. Toutefois, l’œuvre du penseur de Blois nous donne encore de nos jours un point de vue très original sur l’histoire occulte et offre plusieurs possibilités d’approfondissements. L’imposant essai de Louis de Maistre est une remarquable contribution dans ce sens.
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