L’ivermectine est efficace, notamment au Mexique.

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« S’il y a des traitements qui marchent, pourquoi ne nous en parle-t-on pas ? »

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Récemment, sur la chaîne CNews, Nicolas Dupont-Aignan a publiquement accusé le gouvernement d’avoir freiné les recherches sur les traitements peu coûteux qui auraient pu sauver des vies contre la Covid-19.

Réponse cinglante de la chroniqueuse de l’émission (ex-membre du parti Les Républicains) :

« Ce que vous essayez d’insinuer, c’est que le gouvernement français aurait volontairement fait en sorte qu’on ne trouve pas de traitement, et ça c’est très grave ».

La porte-parole du parti macroniste LREM, présente sur le plateau, s’est également étranglée d’indignation :

« Vous accusez le président de la République et le gouvernement d’avoir laissé mourir des gens, c’est masterclass de la théorie du complot » (…)

Il faut reconnaître que les accusations de Mr Dupont-Aignan sont graves.

Mais il a raison.

Toute personne de bonne foi qui a examiné les études scientifiques sait qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 [1] .

Les faits sont là : 

  • Des dizaines d’études scientifiques ont prouvé l’efficacité du protocole Raoult [2], de la vitamine D [3], de l’ivermectine [4] et d’autres traitements encore ;
  • Face à cela, le gouvernement a interdit l’hydroxychloroquine au printemps dernier et n’a jamais recommandé la vitamine D ou l’ivermectine ;
  • En février dernier, le Ministère de la Santé a même refusé à l’Institut Pasteur de Lille d’accélérer ses travaux sur une vieille molécule très efficace contre la Covid-19 in vitro.

Si vous n’en entendez pas davantage parler dans les médias, c’est à cause de la censure.

Les médecins qui osent défendre ces traitements précoces sont censurés par l’Ordre des médecins.

Et sur les réseaux sociaux, la censure est même admise au grand jour !

Lisez les règles d’utilisation de YouTube, c’est terrifiant : « interdiction de recommander l’utilisation de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine comme traitement de la Covid-19 ». [5]

C’est d’autant plus choquant que des sommités médicales du monde entier ont décrit l’efficacité de ces traitements.

Dans l’Union européenne, la République tchèque et la Slovaquie ont approuvé l’utilisation de l’ivermectine contre la Covid-19, avec un succès éclatant contre l’épidémie ! 

D’où la « question qui tue » : si ces traitements sont efficaces, pourquoi ne sont-ils pas prescrits massivement en France et en Occident ?

Pourquoi l’Agence française du médicament, l’Agence européenne du médicament et même l’Organisation mondiale de la Santé ont-elles refusé d’approuver des traitements aussi sûrs et efficaces que l’ivermectine ?

La réponse est que ces organisations ne sont pas « neutres » :

Les autorités sanitaires ne sont pas des « anges » impartiaux et raisonnables

Il ne faut pas croire que les autorités sanitaires sont des comités de « grands sages », dénués de tout conflit d’intérêts et protégés de toute influence politique.

Je voudrais vous en donner la preuve, avec plusieurs exemples.

Prenez l’épidémie de choléra qui a sévi en Haïti, juste après le terrible tremblement de terre de 2010.

C’est une histoire peu connue, mais édifiante (si vous avez 1h30 devant vous, regardez l’incroyable interview de l’infectiologue Renaud Piarroux sur ce sujet).

Aujourd’hui, on sait que ce sont des soldats népalais de l’ONU, arrivés en Haïti pour des raisons humanitaires, qui ont importé l’épidémie de choléra dans ce pays. 

Cela a été une catastrophe médicale, avec plus de 10 000 morts… et une catastrophe pour la réputation de l’ONU !

Résultat : l’ONU a nié sa responsabilité, et a tout fait pour essayer de la cacher.

Cette grande organisation n’a pas hésité à manipuler la science en rassemblant des experts triés sur le volet, choisis pour établir une fausse vérité scientifique. 

Et dans le même temps, l’Organisation mondiale de la Santé n’a pas bougé le petit doigt pour rétablir les faits sur la véritable origine de cette épidémie. 

Il a fallu l’acharnement d’experts indépendants pour que la vérité éclate au grand jour… et que le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon finisse par s’excuser platement auprès d’Haïti.

Vous voyez comment ces « grandes organisations » peuvent se comporter.

Et ce n’est pas un cas isolé.

La crise du coronavirus ressemble beaucoup à cette affaire de choléra !

Depuis le début, les faits et le bon sens s’accordent sur le fait que le Sars-CoV-2 s’est manifestement échappé du laboratoire de recherche virologique de Wuhan [6].

Je rappelle qu’il n’y a que 2 ou 3 laboratoires dans le monde entier qui sont aussi spécialisés dans l’étude des coronavirus que l’Institut de virologie de Wuhan.

Les laboratoires de Wuhan contenaient le plus grand nombre d’échantillons de coronavirus de chauve-souris au monde (plusieurs milliers !) [7] ; des experts étaient envoyés dans la Chine profonde pour prélever des coronavirus sur des chauves-souris et les ramener à Wuhan [8].

Qu’une pandémie de coronavirus de chauve-souris se déclenche juste à côté de ces laboratoires-là ne peut pas être une coïncidence – en tout cas, c’est très peu probable.

Je l’ai écrit dès le mois de février 2020 [9], mais à l’époque, c’était présenté par tous les médias comme une « théorie du complot », sur la base de quelques publications scientifiques.

Mais là encore, le consensus scientifique et médiatique était entièrement bidonné.

On a appris par la suite que l’article scientifique de référence contre la thèse de l’accident de laboratoire [10], avait été rédigé par un expert en conflit d’intérêts flagrant, l’américain Peter Daszak.

Figurez-vous que cet expert avait accordé des financements au laboratoire de virologie de Wuhan pour qu’il réalise des expériences de manipulation des coronavirus ! 

C’est donc la dernière personne que l’on devrait écouter sur l’origine de la crise ! 

Et pourtant, savez-vous qui l’Organisation Mondiale de la Santé a missionné récemment pour aller « enquêter » en Chine sur les origines du coronavirus ? Le même Peter Daszak !

Vous voyez comme on peut « fausser » la vérité et le consensus scientifique en choisissant bien ses experts.

Aujourd’hui, la thèse de l’accident de laboratoire est de plus en plus reconnue comme éminemment probable – y compris par les services secrets américains [11].

Donc il ne faut pas croire sur parole l’OMS quand elle se prononce sur l’origine « naturelle » du coronavirus (sous pression de la Chine)…

Et il ne faut pas croire l’OMS quand elle déconseille l’ivermectine comme traitement de la Covid-19 (sous pressions de son financeur le plus important, la fondation de Bill Gates).

Et c’est la même chose avec les autorités de santé françaises, européennes et américaines.

Elles s’appuient fréquemment sur des experts en conflit d’intérêts, donc biaisés.

La preuve avec deux exemples frappants :

Hydroxychloroquine vs AstraZeneca : le Pr Raoult en prison !?

Prenez l’affaire du vaccin AstraZeneca.

Je rappelle que les autorités de santé européennes et françaises l’ont autorisé précipitamment, sur la base de données fragiles.

Côté efficacité, il n’y avait aucune preuve scientifique définitive que ce vaccin permettait d’éviter les morts ou les formes sévères de la Covid-19 (les essais cliniques ne rassemblaient que 200 personnes infectées, avec trop peu de formes graves pour qu’on puisse en conclure quoi que ce soit avec certitude). 

Côté risque, il s’agissait d’une technologie expérimentale (un « OGM » créé à partir d’un adénovirus de chimpanzé), jamais testée à grande échelle et dont le fonctionnement était plus proche d’une « thérapie génique » que de la vaccination traditionnelle. 

On n’avait donc pas la moindre preuve que ce vaccin était inoffensif – les essais cliniques n’étaient pas conçus pour détecter le risque d’1 accident grave sur 10 000 vaccinations.

Malgré toutes ces incertitudes, ce vaccin a été autorisé à être injecté sur des jeunes gens bien portants, par toutes les agences de santé occidentales.

Et quand les premières morts causées par ce vaccin ont eu lieu (liées à des thromboses), ces morts ont d’abord été minimisées par les autorités de santé.

Et même après avoir eu la preuve formelle que ces morts étaient bien causées par le vaccin… les autorités de santé en France se sont contentées de restreindre ce vaccin aux plus de 55 ans !

Le « bénéfice – risque » est favorable, disent-ils, vous avez plus de risques de mourir de la Covid-19 que du vaccin.

C’est très discutable, mais cela pose une question-clé : 

Pourquoi n’ont-ils pas conclu la même chose sur l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ?

Le « deux poids, deux mesures » est criant !

Sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine, il y avait plus d’éléments probants que pour le vaccin AstraZeneca.

Quant au risque de l’hydroxychloroquine, il était minuscule : on parle d’un risque de « troubles cardiaques » dans 1 cas sur 10 000 – et ce risque était facile à éviter, il suffisait de faire un électrocardiogramme.

Globalement, le risque était beaucoup moins élevé que celui du vaccin AstraZeneca, car l’hydroxychloroquine n’était pas un médicament « expérimental » ; c’était un médicament parfaitement connu, donné des milliards de fois au cours de dizaines d’années.

Et en plus, il n’était pas question de donner ce médicament à des gens en bonne santé, contrairement aux vaccins.

L’hydroxychloroquine était réservée aux malades, ce qui rendait son bénéfice-risque beaucoup plus acceptable. 

A l’inverse, on sait qu’un étudiant en médecine de 24 ans, en pleine santé, a été tué par le vaccin AstraZeneca (et il n’est pas le seul, hélas).

Maintenant, imaginez que l’hydroxychloroquine ait tué un jeune homme en France, en avril dernier. 

Je pense sérieusement qu’ils auraient essayé de mettre le Pr Raoult en prison.

Vous voyez la différence de traitement ? La différence d’appréciation du « bénéfice-risque » entre l’hydroxychloroquine et AstraZeneca ?

Et c’est encore plus flagrant pour l’ivermectine, qui est plus sûre encore que l’hydroxychloroquine et dont l’efficacité contre la Covid-19 a été mieux prouvée.

D’un côté, l’Agence du médicament accepte qu’on vaccine des bien-portants avec un produit expérimental…. dont on sait qu’il cause des morts… et dont l’efficacité pour éviter des formes graves n’est pas prouvée formellement… 

…et de l’autre, la même autorité refuse de reconnaître un « bénéfice-risque » favorable à l’ivermectine, alors que c’est un traitement donné à des malades, sans le moindre effet indésirable sérieux et dont plus de 20 études randomisées réalisées au total sur plus de 3 000 malades ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon raisonnable.

Cela ne vous paraît-il pas choquant ? Le biais ne vous paraît-il pas évident ?

On oublie un peu vite le scandale du remdésivir !

Et bien sûr, l’autre « deux poids, deux mesures » flagrant a concerné le remdésivir, le médicament « innovant » à 2 000 euros de Gilead.

On sait depuis le printemps 2020 que ce médicament est toxique et globalement inefficace.

Et pourtant, le remdésivir a obtenu des autorisations des Agences française et européenne du médicament à l’été dernier… et est encore recommandé aux États-Unis au moment où je vous écris ! 

En janvier 2021, le patron de Gilead a même annoncé fièrement que le remdésivir était donné à la moitié des personnes hospitalisées aux Etats-Unis [12] !

Au total, grâce au lobbying effréné de Gilead et de ses relais dans les autorités sanitaires de tous les pays occidentaux, Gilead a vendu pour 3 milliards de dollars de son remdésivir en 2020… et prévoit d’en vendre autant en 2021 !

Pour un médicament, qui, je le répète, a été reconnu comme inefficace dans les grands essais cliniques [13] !

Et comme l’a montré le Pr Raoult, ce médicament a de surcroît le défaut de provoquer des mutations du virus, et pourrait donc créer des nouveaux variants dangereux !

Comment expliquer qu’il soit encore recommandé aux États-Unis ? Et comment expliquer les autorisations données au remdésivir en Europe et en France jusqu’à l’automne dernier, si ce n’est par la puissance du lobbying de Gilead ?

N’est-il pas évident que les autorités subissent des biais de décision ? CONTRE les vieilles molécules génériquées (hydroxychloroquine, ivermectine)… et POUR les nouveaux vaccins ou médicaments hyper rentables pour Big Pharma !

Comme l’ONU, comme l’OMS, nos « autorités de santé » sont soumises à des pressions et des influences qui n’ont rien à voir avec la science et la raison.

Or les gouvernements s’appuient beaucoup sur ces autorités pour décider.

Il n’y a donc aucun besoin d’imaginer qu’Emmanuel Macron ou Olivier Véran laissent les Français mourir volontairement.

Il est probable qu’ils suivent aveuglément les recommandations des « experts » officiels, sans se douter que leur avis est faussé par des intérêts puissants.

Cela ne les excuse pas – à leur niveau de responsabilité, ils devraient connaître la puissance de Big Pharma – mais cela permet de mieux comprendre ce qui se passe, sans « masterclass de théorie du complot ».

Bonne santé, 

Xavier Bazin

PS : VOICI COMMENT POUVEZ AGIR POUR DIFFUSER CES VÉRITÉS AUTOUR DE VOUS !

Je viens de publier un livre explosif aux Éditions Trédaniel, qui révèle TOUT !

Il s’appelle BIG PHARMA DÉMASQUÉ – de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.

Je ne touche pas un centime sur ce livre (droits d’auteurs reversés à la Fondation Hippocrate), et c’est pourquoi j’ose vous demander de vous le procurer dès que possible, pour vous ou pour l’un de vos proches.

Pour ceux qui n’ont pas de librairie indépendante à côté de chez eux, commandez-le sur Fnac ou Amazon dès maintenant et écrivez un commentaire sur le site après l’avoir reçu !

Je n’aime pas beaucoup ces entreprises mais la situation est trop grave pour faire la fine bouche.

Il faut savoir qu’acheter sur Fnac ou Amazon est un des meilleurs moyens de donner une grande visibilité à ce livre: si nous réussissons à le placer dans les meilleures ventes de ce site, énormément de gens découvriront qu’il existe et cela permettra de diffuser nos idées très largement ! 

Ce qui est en jeu, ce sont des vies humaines. Il y a une partie entière du livre sur les solutions naturelles (vitamine D, zinc, quercétine…) que tout le monde devrait prendre en prévention des formes graves de la Covid-19. 

Je compte sur vous ! 

Xavier Bazin

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