Genève (3) – Liberté – Liste N° 21, avec Chloé Frammery, Gerard Scheller et liste Résistance populaire avec Philippe Oberson, https://www.re-po.ch/, avec apparentement avec not. les listes chrétiennes.

Soutenez Lynn Dardenne le 28.09.2023 Au restaurant Le Territet and CO. Av.de Chillon 70 Territet tel 0219631097.

Vaud

Liste des indépendants vaudois

François Meylan

Sur le Jura
Liste HelvEthica – Pascal Prince et Alec Schaerer

Tessin
Liste HelvEthica avec 8 personnes au Conseil National et une aux Etat.

Zürich

Aargau

Basel-Stadt

Bern

Luzern

Schaffhausen

Schwyz

Solothurn

St. Gallen

Thurgau

Tessin

90% des vaccinés dans le canton de Vaud ne veulent pas faire de 3eme ou 4eme dose. Chiffres officiels du TJ de 19.30 du 13.11.2022. Il existe des médicaments qui fonctionnent très bien, Ivermectine, Plaquénile , Quinine, Artemisia etc Quant on voit que seulement 600 000 vaccins ont été faits jusqu’en 2022 sur les 8 ou 9 mio d habitants que comporte la Suisse, on peut estimer que nous avons pleinement réussi notre mission. La population n acceptera certainement plus de se soumettre au régime d un pass sanitaire. Bravo pour la liberté dans ce pays. (Petite dose de rappel pour les provax : Pfizer n a jamais testé l efficacité de son vaccin à transmettre le virus. La règle “légale” a donc permis aux vaccinés de répandre socialement le COVID, ce pass fut donc la plus grande fumisterie de ces deux dernières années et a divisé la société avec des affirmations erronés. )

Nous vous prions de profiter des prochaines élections et de changer les politiciens avec des élus qui partagent nos valeurs de résistances aux forces des ténèbres. Lors de l’introduction du Certificat COVID, Alain Berset avait déclaré : “Le Certificat COVID garantit que la personne qui le détient n’est PAS CONTAGIEUSE.” (RTS Forum, 19 mai 2021). Alors qu’une directrice de Pfizer (Janine Small) a déclaré que leur vaccin n’avait jamais été testé sur la transmission (12.10.22). Dans quel camp se trouve le mensonge? 🤔 La plainte contre M. Alain Berset se poursuit …. ainsi que d’autres à venir…

On invite la population à regarder notamment les séances au Parlement Européen sur la Commission d’Enquêtes Covid-19 notamment en français sur la chaîne à la députée Virginie Joron

Posez des questions à tous les candidats et ne soutenez que des personnes courageuses. Au pire, tracez les premiers de listes et panachez les fins de listes ( écrivez 2 fois leur nom )

Les premiers seront ainsi les derniers….

Les grandes question à poser, stop à la perte de nos libertés démocratiques par de fausses urgence covid, masques, injections, protections concrètes des petits enfants et des bébés, stopper la pédocriminalité, comment juger les juges, lutter contre les sociétés secrètes, distribuer les bénéfices des créations et flux monétaires ( www.microtaxe.ch avec vrai revenu de base inconditionnel et automatique en monnaie pleine ) , respect de la constitution, notamment de la distribution des bénéfices et des créations monétaires, sortie de l’Oms totalitaire, des cours d’éducation sexuelle aux plus jeunes, drag queen dans les médiathèques payées Fr 500.- de l’ heure par nos impôts, wokisme et LGBTQ+, lourds impôts, dettes infinies etc

Elections nationales 2023

Genève (3) – Liberté – Liste N° 21, avec Chloé Frammery, Gerard Scheller et liste Résistance populaire avec Philippe Oberson, https://www.re-po.ch/, avec apparentement avec not. les listes chrétiennes.

Août 23, 2023 | PolitiqueTous les articles | 0 commentaires

BIO de Chloé Flammery – Après avoir suivi le cursus de 4 ans à l’école hôtelière de Lausanne, obtenu le diplôme de hautes études en hôtellerie et restauration, après 3 ans de vie active dans la gestion hôtelière, Chloé Frammery a obtenu le Master de mathématiques à l’Université de Genève et a été enseignante de mathématiques au cycle d’orientation à Genève pendant 16 ans, également élue par ses pairs co-présidente du groupe de maths pour le canton pendant 3 ans, jusqu’à sa mise à l’écart et son licenciement politique en septembre 2022. Elle a lancé en juin 2023 la liste LIBERTÉ avec Gérard Scheller, enseignant de mathématiques lui aussi, à la retraite. Chloé et Gérard militent ensemble depuis 2014 pour préserver la souveraineté du peuple, les droits fondamentaux et la dignité humaine. Ils ont notamment co-animé le Comité Stop TiSA (Accord de libreéchange sur le commerce des services, négocié à Genève) pendant 8 ans, dénoncé l’impunité des multinationales et les investissement troubles de la BNS. Ils soutiennent la défense des enfants, placés abusivement par les services de « protection » des mineurs. Gérard et Chloé ont été candidats à l’élection 2018 du Grand Conseil, sur la liste « égalité & équité », qu’ils ont fondée.

Chloé a été licenciée le 30 septembre 2022 pour ses interventions publiques non conformes à la doxa gouvernementale (un “manque de fidélité à l’Etat” lui a été reproché). Son recours a été rejeté en février 2023 mais elle fait appel au Tribunal Fédéral et a adressé une requête à la Cour européenne des droits de l’homme.

Elle fait des conférences, des publications écrites et des vidéos, des enquêtes, des émissions, YouTube a supprimé sa chaîne après sa vidéo sur le Carnaval des Libertés de Annecy, en mars 2021 mais ses publications sont accessibles sur Telegram (Chloé F. – canal info officiel), Odysee, Crowdbunker, Rumble et sur son site chloeframmery.ch.

Elle a notamment fait une vidéo sur les lois iniques en Suisse et sur l’Alliance vaccinale Gavi (créée par la Fondation Bill & Melinda Gates en janvier 2000 et liée à ID2020 pour l’identité numérique), qui est située à quelques pas de chez elle à Genève, au tout début de la crise du Covid-19. Cette vidéo a été vue plus de 2,5 millions de fois.

Chloé n’a de cesse de décortiquer les accords, les liens d’intérêt et les manipulations des principaux acteurs des crises qui se succèdent, liés très souvent aux organisations internationales comme le Forum économique mondial, l’OMS, l’Alliance vaccinale Gavi ou l’ONU, basées à Genève, sa ville d’origine

Elle a participé à la quasi-totalité des manifestations en Suisse pour défendre nos droits fondamentaux bafoués en période de Covid, elle a co-animé pendant presque 2 ans (juin 2020 à avril 2022) l’émission Web hebdomadaire « L’info en QuestionS » et a lancé en juin 2022 l’émission mensuelle « Libérez l’info » sur les canaux vidéo indépendants, un jeudi par mois.

L’interview de Chloé Flammery

Perspective catholique – Vous êtes principalement connue pour avoir dénoncé la gestion de crise sanitaire par les autorités politiques. En quelques mots, quelles sont vos principaux reproches quant aux mesures prises?
Chloé Frammery – Les principaux reproches que j’adresse à nos autorités durant cette récente période de Covid-19 sont (et j’ai toutes les preuves de ce que j’avance):
– L’alarmisme dont elles ont fait preuve en décrivant le Covid-19 comme une maladie ultra-mortelle lors de leurs conférences de presse quasi-quotidiennes alors que le nombre de morts lié au Covid est resté inférieur à celui dû au tabac, au sucre et à l’obésité, et que le premier semestre accusait un nombre de morts inférieur à celui des 8 années précédentes;
– L’incohérence des fermetures d’école, des restaurants et des clubs de sport face au maintien des commerces dits « essentiels » comme les bureaux de tabac (et d’alcool), les fast food et les clubs échangistes ;
– Le manque de transparence avec des choix de producteurs de « vaccins Covid » dont on ne sait s’ils sont le résultat de copinage ou d’un réel appel d’offres et avec l’interdiction pour le public, malgré les demandes de l’organe officiel de la transparence, d’avoir accès aux contrats qui lient la Confédération et les fabricants Pfizer, Moderna ou Jonhson & Johnson (les version publiées sont caviardées);
– La mauvaise foi quand Mauro Poggia, conseiller d’état en charge de la santé, parle d’ « erreur de casting » en parlant des soignants non vaccinés ou incite publiquement à dénoncer les restaurateurs qui ne contrôlent pas le certificat covid de ses clients, alors que lui-même et sa famille ne sont pas vaccinés, et qu’il ne respecte pas les mesures Covid (port du masque en public, distanciation, etc), ou quand Alain Berset préconise de voter OUI à la loi Covid-19 le 13.06.21 pour que les aides financières puissent perdurer… mais que la Conseil fédéral refuse de traiter et même de parler de la motion 21.3402 qui a été déposée le 19.03.21 par un parlementaire UDC (Pirmin Schwander) et qui propose de déplacer ces aides financière vers une loi à part;
– L’absence de proportionnalité des mesures avec ces fermetures d’écoles et de commerces indépendants, ce qui a perturbé l’apprentissage des enfants et accéléré la faillite des indépendants, les séparations avec des vitres, des masques obligatoires et même des discriminations avec le pass obligatoire pour accéder aux lieux de loisir, de voyage et de restauration, des limitations du nombre autorisé de personnes à table ou dans les foyers, l’interdiction de chanter ou d’exercer son culte pour un virus qui a fait 0,03% de morts, qui plus est uniquement chez des personnes de plus de 80 ans, avec 97% de comorbidités;
– La malhonnêteté quand le texte de loi présenté dans le livret de vote pour la votation du 13.6.21, lors du 1er référendum sur le Loi Covid-19, n’est pas le bon ! La bonne version contient l’art. 6a qui permet l’instauration du certificat Covid, mais le livret de vote montre une version antérieure, qui ne contient pas le certificat Covid. Et rien, ni dans la communication officielle ni dans les médias ne permet aux citoyens de savoir que ce certificat Covid s’y trouve;
– Le mensonge quand Alain Berset a par exemple affirmé le 27.10.21 sur la SRF que détenir le certificat Covid permettait d’être sûr qu’on n’est pas contagieux alors que Virginie Masserey avait averti, le 3.08.21, donc 2 mois et demi plus tôt que le risque de transmission était analogue chez une personne vaccinée à chez une personne non vaccinée et que Janine Small, directrice chez Pfizer, avait déclaré devant le Parlement européen le 10.10.21 que le vaccin n’avait pas été testé sur la transmission du virus;
– L’irresponsabilité quand Aglaé Tardin, médecin cantonal genevois, préconise la vaccination des femmes enceintes alors même que les 3 principaux fabricants de « vaccin Covid » indiquent dans leur notice que leur produit n’a pas été testé sur les femmes enceintes;
– La violation des droits fondamentaux lorsque sous prétexte d’une pandémie dont l’OFSP (Office fédéral de Santé publique) écrit le 17 mars 2020 qu’elle montre les mêmes symptômes que ceux d’une grippe, que pour cela, « les rapports sur la grippe seront interrompus avec effet immédiat », les libertés fondamentales inscrites dans la Constitution fédérale ont été bafouées pendant 2 ans (15 articles en tout);
– La mise en danger de la vie d’autrui quand Aglaé Tardin menace les médecins et les pharmaciens de sanctions administratives s’ils ont le malheur de soigner leurs patients et clients atteints du Covid avec de l’hydroxychloroquine ou de l’ivermectine, dans un courrier du 17.08.21, ou encore quand Alain Berset, Mauro Poggia et leurs homologues cantonaux engagent une campagne de vaccination agressive pour un produit qui est encore en phase de test;
– L’abus de pouvoir quand le Conseil fédéral édicte des ordonnances (non attaquables au Tribunal Fédéral en vertu de l’art. 189 de la Constitution) qui bafouent la Constitution, portent atteinte à nos droits fondamentaux et ne respectent pas le principe de subsidiarité propre à notre Etat fédéral helvétique (communes d’abord, cantons ensuite et fédéral en tout dernier lieu).

Et je passe sur:
– La suppression de la moitié des lits dans les hôpitaux suisses, en soins intensifs, entre avril 2020 et août 2021, en temps de « grave pandémie »;
– La fermeture des boîtes de nuit le 31 juillet 2021, dont l’OFSP dit 2 jours plus tard qu’elles ne favorisent finalement pas spécialement la contagion du Covid, mais les boîtes resteront fermées encore 4 mois;
– Le fait que tous les morts ayant un test PCR positif soient déclarés « morts du Covid », y compris quand ils sont morts dans un accident de voiture (déclaration de Ignazio Cassis le 7.01.22 sur la SRF), ce qui permet de gonfler artificiellement les chiffres du Covid…

J’adresse aussi des reproches aux journalistes pour complicité, pour occultation des faits importants, pour dévoiement de la vérité, pour non respect de leur code de déontologie (la déclaration des droits et devoirs du journaliste), pour leurs campagnes de calomnie et de diffamation exercées sur les personnes qui ont alerté sur les dangers des mesures anticovid, et pour les multiples manquements qu’ils partagent avec nos autorités.

La liberté est un beau mot. Vous l’avez choisi pour votre parti. L’on comprend que vous parlez de liberté citoyenne. A part la gestion de la récente crise sanitaire, voyezvous d’autres entorses à la liberté telle que vous la concevez?
Oui, j’en vois d’autres. La liberté d’expression s’est depuis 3 ans nettement restreinte, la liberté d’opinion, la liberté des médias, qui parlent tous d’une seule voix, celle du gouvernement, la liberté de l’art, avec censure des artistes qui ne prônent pas la pensée officielle (woke, climatiste « carbono-centrée », sanitaire, technologique, transhumaniste, « zelenskyste »), liberté démocratique avec des lois d’urgence liberticides (comme la loi Covid-19 et la loi « anti-terroriste) décidées sans le consentement des citoyens suisses et non soumis au référendum obligatoire.

Quelles seront les actions que vous comptez entreprendre sous la coupole fédérale si vous êtes élue?
Mes principales actions seront de lancer des projets de loi (23 projets pour l’instant) sans devoir passer par la récolte fastidieuse des habituelles 100’000 signatures, et de garder un œil sur les prises de décision du Conseil fédéral. Ces projets de loi concernent nos droits démocratiques (pour accroître le pouvoir des citoyens et diminuer la toute-puissance du Conseil fédéral et des juges fédéraux), le respect des devoirs du journaliste (pour l’intégrité de la fonction et la pluralité des informations diffusées), la fonctionnement de la BNS (avec un contrôle accru de ses pratiques et de son utilisation de l’argent public), l’action des lobbyistes à Berne (pour en limiter l’influence), la suppression des abus liés aux offices des poursuites et aux sociétés de recouvrement, le contrôle des différents services de « protection » des enfants (qui commettent trop de placements abusifs), les investissements de la Suisse dans les armes (rétablir sa neutralité) et dans l’énergie (retrouver l’autonomie), maintenir son indépendance (face à l’Union européenne, face aux organisations internationales, face à l’OTAN et aux forces étrangères).

Si vous n’êtes pas élue, avez-vous songé à l’après-élections ? Continuerez-vous votre combat avec votre nouveau parti et sous quelle forme?
Oui, je songe à l’après-élections, même au cas où je ne serais pas élue. Cela fait maintenant 11 ans que je milite activement (voir ma bio sur le site chloeframmery.ch) et je ne compte pas m’arrêter après le 22 octobre 2023. Quelle que soit l’issue du scrutin, mon action ne faiblira pas. Je continuerai comme je l’ai toujours fait à enquêter, questionner, rechercher, présenter, dénoncer les abus, les corruptions et les dysfonctionnements que j’observe, à interpeller les citoyens, les élus, les journalistes afin de les faire cesser. Je continuerai à donner et organiser des conférences, à enregistrer des vidéos, à transmettre des publications écrites, à participer à des manifestations, à prononcer des discours, à soutenir des initiatives populaires et des référendums pour nos droits, et à engager toutes les autres actions qui me semblent utiles pour éveiller les consciences et faire bouger les lignes.

Êtes-vous opposés à toute idéologie totalitaire, qu’elle soit sanitaire, wokiste, transhumaniste ou climatique?
Oui! Aucune idéologie totalitaire n’a de grâce à mes yeux. Nous avons choisi le nom de notre liste, LIBERTÉ, avec l’intention de la faire respecter, pour tous.

Dans votre réflexion politique, quelle place accordez-vous à nos racines chrétiennes – de manière plus générale à la loi naturelle ou encore au Décalogue ? Ou, à l’opposé, est-ce qu’il n’y a d’obligation morale que subjective?
Je ne suis pas religieuse dans le sens où je ne pratique aucune religion, bien que mes racines soient catholiques. Mais je suis spirituelle et j’accorde une grande importance au droit naturel (qui contrairement au droit positif, respecte le vivant), à la vérité, au Bien, aux valeurs chrétiennes de respect d’autrui, de charité et d’humilité. J’écoute mon cœur et reste empathique en toutes circonstances. Pour moi, les fêtes religieuses chrétiennes sont importantes car chargées de notre Histoire et de notre culture. Il est important de les maintenir.

En Suisse comme ailleurs, l’avortement est un sujet politique controversé. En 2002, ce droit a été partiellement dépénalisé et le régime du délai a été introduit (avorter librement durant les 12 premières semaines de grossesse). De nombreuses voix s’élèvent aujourd’hui en faveur d’une suppression de l’article de loi sur l’avortement dans le Code pénal. Si vous êtes à Berne, soutiendrez-vous la décriminalisation de l’avortement
Non, je ne soutiendrai pas la décriminalisation de l’avortement après 12 semaines. J’ai moi-même avorté il y a 11 ans, à 4 semaines. Je suis contre les projets eugénistes d’avortement au-delà de 12 semaines, qui versent vers une possibilité de tuer un enfant jusqu’au jour de sa naissance, comme il est possible de le faire en France (dans certaines circonstances avec la loi bio-éthique).

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Newsletter N° 150 – 23 août 2023 | Source : Perspective catholique

6 minutes avec Chloé Frammery, candidate de Liberté au NationalPublié Il y a 8 heures le 5 septembre 2023De Béatrice Rul
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Chloé Frammery se présente au Conseil national sous la bannière de “Liberté”. Liberté déclinée en intégrité, bienveillance, engagement, recherche, transparence, équité. Chloé Frammery était invitée de Béatrice Rul, à 7h35, sur Radio Lac

La liste s’appelle Liberté. Liberté que Chloé Frammery compte porter au cœur du Conseil national Nous ne sommes donc pas libre, en 2023, en Suisse?

“En Suisse, en 2023, nous avons beaucoup de choses à changer. Les gens ne se sentent pas à l’aise ni dans leur porte-monnaie, ni dans leurs libertés fondamentales qui ont été largement bafouées pendant les trois années que nous venons de vivre. 15 droits fondamentaux ont été bafoués donc je compte bien remettre les 7 valeurs qui composent cette liberté, au Conseil national, pour que le monde aille mieux”.

Chloé Frammery souhaite porter un projet de loi pour que les journalistes respectent le code de déontologie.

“J’aime bien donner leur chance aux gens, j’ai une capacité de résilience assez forte. Je suis prête à redonner ma confiance aux journalistes qui m’ont fait beaucoup de mal pendant trois ans. La contradiction est très importante mais il faut avoir un contradicteur mais je n’ai pas été présente sur les plateaux”.

Parmi les points que souhaitent défendre Chloé Frammery, au National, la défense des enfants et la dénonciation des placements abusifs. Service de Protection des Mineurs ou encore la BNS qui ne reverse pas ses bénéfices aux cantons:

“On s’intéresse, aussi, au traité pandémique actuellement en discussion à l’OMS dont les médias ne parlent pas assez. On a également des projets pour étendre nos droits démocratiques (…) pour que les citoyens puissent lancer des initiatives fédérales législatives (…) et que l’on soit consulté sur les lois d’urgence comme la loi COVID ou les traités internationaux”

7 COMMENTS
Annie Thomas5 septembre 2023 à 9 h 36 min
Félicitations Chloé ! Très agréable échange ! Je vous souhaite beaucoup de succès et je suis sure que vous arriverez à convaincre le peuple de changements nessecaires .
Annie

RÉPONDRE
moha5 septembre 2023 à 12 h 37 min
Bravo Chloé ! Bravo aussi à la journaliste , qui était amicale ! L’essentiel dans ce genre d’échange, c’est , comme vous l’aviez déjà dit, Chloé, c’est d’informer les gens d’un autre son de cloche. Néanmoins, j’espère que vous réussirez à “arracher” au moins un siège au Conseil national.

RÉPONDRE
Victoria5 septembre 2023 à 12 h 42 min
Oui, il y a censure en Suisse dans certains domaines.
Oui, il y a beaucoup de sujets dont il faut débattre.
Un immense merci à Chloé Frammery pour son intégrité et son engagement pour la clarté et la préservation des droits fondamentaux!

RÉPONDRE
Pascal Prince5 septembre 2023 à 12 h 57 min
Chloé a tellement de courage face à des accusateurs qui se prétendent intègres. Triste paysage politique de cette Suisse qui avait pourtant porté haut le drapeau de la liberté et des responsabilités que cela implique…

RÉPONDRE
Mike Brugger5 septembre 2023 à 13 h 21 min
Chloé Frammery, enfin une candidature qui place l’humanité au centre! Nous n’en pouvons plus de ces vieux partis politiques qui pantouflent, le PS n’est plus une valeur crédible, c’est terminé, le vent tourne et des idées neuves sont bienvenues, LIBERTÉ!

https://www.radiolac.ch/podcasts/6-minutes-avec-05-09-2023-0730-075223

Soutien infirmier à l’égard de Chloé Frammery en date du 3 février 2021:

Philippe Oberson – Candidat au conseil d’Etat genevois.

https://www.re-po.ch/
Tous le programme sur le site Résistance Populaire, vous pouvez aussi le soutenir financièrement.

Tout jeune retraité, Philippe Oberson se lance pour la première fois dans la course au Conseil d’État sur la liste «Résistance populaire». Hors de tout parti, n’ayant effectué aucun mandat politique auparavant, cet ancien mécanicien électronicien compte sur son pragmatisme et sa capacité d’analyse. «J’ai une expérience de vie que mes concurrents n’ont pas. J’ai travaillé longtemps dans l’industrie, un secteur qui impose une obligation de résultat», expliquait-il avant le premier tour.

Il avait fait parler de lui lors de l’élection complémentaire au Conseil d’État de 2021, en faisant recours contre la candidature de Delphine Bachmann au second tour. Un scrutin que le candidat, muni d’un diplôme de droit suisse, juge «illicite». Ce combat l’a mené jusqu’à Strasbourg mais la Cour européenne n’est pas entrée en matière.

Ce qui motive la «résistance populaire» de Philippe Oberson, ce sont les «atteintes aux droits fondamentaux» qu’il juge plus nombreuses depuis quelques années et notamment depuis la crise du Covid. Il a d’ailleurs participé à plusieurs manifestations contre les restrictions sanitaires à Genève ou à Berne.

S’il est élu, Philippe Oberson souhaiterait reprendre la tête du Département de l’instruction publique. Il ambitionne de démanteler le Service de protection des mineurs (SPMI) qu’il juge hautement dysfonctionnel, notamment depuis qu’il y a été confronté à titre personnel. Mais pour ce faire, il faudra remonter un très large retard, le candidat n’étant arrivé qu’en 22e position avec 4,35% des voix au premier tour.

https://www.lemanbleu.ch/20230215135165-Course-au-Conseil-d-Etat-2023-entretien-avec-Philippe-Oberson.html

https://www.tdg.ch/philippe-oberson-un-electron-libre-dans-la-course-303272253447

https://www.tdg.ch/voici-les-douze-pretendants-encore-en-lice-dans-la-course-au-conseil-detat-908809719336

https://www.youtube.com/watch?v=s49pVx3qxAw

https://www.youtube.com/watch?v=xex2sFFCB3M

Elections nationales 2023 (2) – L’Alliance Chrétienne pour Genève (PEV – UDF) – Liste N° 19

Août 21, 2023 | PolitiqueTous les articles | 0 commentaires

Sylvie Ruffieux-Guignard est née à Genève et préside l’UDF-EDU Genève depuis 2022. Mariée à Jean-Luc Ruffieux. Nurse-éducatrice puis secrétaire médicale, elle est mère 2 enfants aujourd’hui adultes. 

Perspective catholique – Quelle différence entre le PEV et l’UDF ? 
Sylvie Ruffieux – Les deux partis sont au centre, centre-droite pour UDF et centre-gauche pour le PEV. Du point de vue éthique, ils sont identiques : la base sont les Dix commandements et la Grâce de Jésus-Christ cités dans la Bible. Pour des questions plus politiques, je pense que nous sommes complémentaires. Nous faisons une alliance et sommes multiculturels, comme beaucoup d’Eglises à Genève, sous le nom : “Alliance Chrétienne Pour Genève (PEV-UDF)”.

Quels sont vos atouts pour séduire l’électorat genevois ? 
Nous prenons clairement la place des Centristes depuis que ce parti a voulu enlever le «C»de chrétien ! Nous préparons une initiative pour baisser les coûts de l’accès a la santé. Depuis des années les primes ne cessent d’augmenter, tout comme le pouvoir d’achat, alors que les salaires n’augmentent pas ! Les subsides pour l’assurance-maladie péjorent les finances cantonales. Nous avons l’objectif de baisser les primes genevoises de 25% sur les prestations des spécialistes, sur l’assurance de base et les prix des médicaments. La santé est prise en otage par les puissants laboratoires pharmaceutiques… ça suffit ! Nous défendons la famille traditionnelle attaquée par les mouvements wokes et progressistes extrêmes. Ceux-là même qui veulent ruiner le pays.

A Genève, vous êtes un petit parti, non représenté au niveau communal ou cantonal. Le PEV,quant à lui, est absent de la scène genevoise. La place semble être prise par l’UDC et le MCG : pourquoi voter pour vous ? 
L’UDF a récolté les 50’000 signatures nécessaires à son référendum contre la révision de la norme antiraciste qui sanctionne l’homophobie. Nous avons été présent lors de la campagne contre le mariage pour tous. Nous avons soutenu le référendum contre les lois COVID et celles sur des thèmes comme l’avortement telles les initiatives «24h de réflexion avant l’avortement» et «préservez les bébés viables». Malgré nos critiques envers Le Centre, nous soutenons également, avec le PEV, l’initiative contre la pénalisation du mariage. Nous sommes certes un petit parti mais nous sommes en prise avec les débats de société, avec notre fidélité évangélique.

Êtes-vous opposés à toute idéologie totalitaire, qu’elle soit sanitaire, wokiste, transhumaniste ou climatique ?
Oui ! Ce qui nous classe aux yeux des médias comme un parti conservateur.

La laïcité est utilisée à Genève pour lutter contre les poussées islamistes, mais c’est en s’en revendiquant que le Pouvoir judiciaire interdit la célébration de la messe (en période covid), la procession de la Fête-Dieu ou encore le baptême protestant dans le lac de Genève. Est-ce que nos fondements religieux, loi naturelle ou encore le Décalogue, sont importants dans votre combat politique ? 
Et même très importants ! Il faut se battre pour garder la liberté de culte et veiller sur les extrêmes.

En Suisse comme ailleurs, l’avortement est un sujet politique controversé. En 2002, ce droit a été partiellement dépénalisé et le régime du délai (avorter librement durant les 12 premières semaines de grossesse) a été introduit. De nombreuses voix s’élèvent aujourd’hui en faveur d’une suppression de l’article de loi sur l’avortement dans le Code pénal. Si vous êtes à Berne, soutiendrez-vous la décriminalisation de l’avortement ?
Pour l’UDF, le fœtus est un être vivant et par conséquent l’avortement ne peut être toléré. Nous avons soutenus, en 2011, l’initiative contre le remboursement des IVG. L’avortement reste évidemment un sujet douloureux pour les femmes et leur santé doit être préservée (risque de collement de l’utérus, stérilité, dépressions, etc.). La loi existe, le peuple en a décidé ainsi mais cela n’interdit pas que des améliorations puissent êtres apportées comme par exemple aider les mères et pères. Ces possibilités ne sont pas proposées dans “Le planning familial des hôpitaux”.

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Newsletter N° 149 – 21 août 2023 | Source : Perspective catholique

Informations complémentaires:

https://abus-suisses.blogspot.com/2019/06/7-propositions.html?m=1

https://t.me/chloefinfosofficiel

https://chloeframmery.ch

http://gerardscheller.ch/

https://chloeframmery.ch/wp-content/uploads/Flyer-LIBERTE-4-pages.pdf

Vive les justes! ❤️🙏

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