https://www.reddit.com/r/GreenAndEXTREME/comments/su4z9z/


Il faut parler de Nicole Junkermann
Si vous ne suivez pas Operation Cupcake sur twitter, je vous recommande vivement de le faire, je
vais copier et coller son fil de discussion sur ce sujet pertinent (je suis conscient que cela date de
près d’un an) ;
1/13. Elle s’est infiltrée dans le NHS par l’intermédiaire du ministère de la Santé et des Affaires
sociales avec l’aide de Matt Hancock (CFI). Sa présence représente une menace majeure pour la
sécurité des données de tous les citoyens du Royaume-Uni. Keir Starmer et son personnel sont
connectés
2/13. Nicole Junkermann semble être un agent des services de renseignement de l’État d’Israël basé
à Londres. Un ancien mannequin dont le nom est apparu dans les Panama Papers, l’exemple le plus
proche que l’on puisse trouver d’une “Bond Girl” de la vie réelle. Pourtant, elle est pratiquement
inconnue de la majorité d’entre nous.
3/13. Matt Hancock a enfreint la loi sur les contrats EPI Il doit démissionner. S’il ne le fait pas, il
doit être licencié.
Mais Keir Starmer a déclaré que le public ne souhaitait pas que Matt Hancock démissionne après
que le ministère de la santé a été reconnu coupable d’avoir agi de manière illégale.
4/13. Toutes les données vous concernant, vos problèmes de santé, votre groupe sanguin, le modèle
du stimulateur cardiaque sans fil qui vous maintient en vie, sont entre les mains de l’appareil d’État
israélien et peuvent être vendues au plus offrant.
5/13. Le big data est la ruée vers l’or moderne. Les psychologues et les agents de marketing sont
passés maîtres dans l’art de vous faire acheter des choses ; la prochaine étape est de réussir à vous
faire faire des choses, et pour ce genre de contrôle sur les gens, ils ont besoin des données de tout le
monde.
6/13. Junkermann a voyagé à trois reprises à bord du “Lolita Express” de Jeffrey Epstein. Peter
Mandelson, Tony Blair et Alastair Campbell apparaissent tous dans le “Petit livre noir” du collègue
de Keir Starmer, Jeffrey Epstein. Epstein, Mandelson, Starmer et David Miliband sont tous
membres de la Trilatérale.
7/13. Nicole Junkermann est l’un des directeurs de Carbyne. Le président du conseil
d’administration est Ehud Barak, ancien Premier ministre d’Israël, ancien chef d’état-major des
Forces de défense israéliennes et ancien chef des services de renseignement militaire d’Israël. Le
même parti pour lequel Assaf Kaplan a travaillé, le parti frère israélien du Labour.
8/13. Ehud Barak était un grand nom de l’IDF, il a mené de nombreuses opérations, notamment en
se déguisant en femme pour tuer des membres de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine).
Il a déjà été lié à Epstein et à Benjamin Netanyahou pour son propre profit politique.
9/13. Un autre directeur et membre du conseil d’administration de Carbyne est le brigadier Pinchas
Buchris, ancien commandant adjoint d’une unité d’opérations d’élite de l’armée israélienne et ancien

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commandant de l’unité de cyberespionnage 8200 de l’armée israélienne. La même unité pour
laquelle Assaf Kaplan de Starmer a travaillé.
10/13. Amir Elichai est le fondateur et le PDG de Carbyne, il est également un ancien officier de
l’armée israélienne. Alex Dizengof est le cofondateur et le directeur technique de Carbyne. Il est
décrit comme un architecte logiciel et un développeur d’algorithmes. Dizengof a précédemment
développé un logiciel de cybersécurité pour Netanyahu.
11/13. Le site web NJF holdings de Nicole Junkerman publie un article intitulé “London Hospital’s
Could Offer Patient Data to Google-backed AI Startup in a Bid to Develop Better Drugs” (L’hôpital
de Londres pourrait offrir des données de patients à une entreprise d’IA soutenue par Google dans le
but de développer de meilleurs médicaments), célébrant le fait qu’OWKIN s’était déjà vu promettre
des données de patients du NHS.
12/13. L’infiltration de Junkermann dans le NHS et ses Big Data ; Le Healthtech Advisory Board est
un ensemble de cliniciens, d’universitaires et d’experts en informatique. Il ne mentionne pas
pourquoi il a besoin d’un investisseur en capital-risque lié au renseignement israélien qui a été
impliqué dans de multiples scandales.
13/13. Nous devons demander à Matt Hancock de retirer Nicole Junkermann du Healthtech
Advisory Board avec effet immédiat et nous devons mener une enquête sur la façon dont les
données du NHS peuvent être protégées des agences de renseignement étrangères hostiles. Ensuite,
il faudra démettre Matt Hancock de ses fonctions.

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https://saidit.net/s/conspiracy/comments/upc/the_epstein_associate_nobodys_talking_about_the/.m
https://saidit.net/s/conspiracy/comments/upc/the_epstein_associate_nobodys_talking_about_the/
J’ai une histoire à vous raconter. Une histoire qui fait battre mon cœur et monter ma tension
artérielle au fur et à mesure que je tape chaque mot. L’histoire vraie d’une femme très riche et
puissante, qui a voyagé à plusieurs reprises dans le jet privé “Lolita Express” de Jeffrey Epstein. Il
semble qu’il s’agisse d’un agent des services secrets israéliens né en Allemagne et basé à Londres.
Un ancien mannequin dont le nom est apparu dans les Panama Papers, issus des fuites de Mossack
Fonseca, et qui s’est retrouvé mêlé à un scandale de corruption de la FIFA avec Sepp Blatter et sa
famille. Elle est peut-être l’exemple le plus proche que l’on puisse trouver d’une “Bond Girl” de la
vie réelle. Pourtant, elle est presque totalement inconnue de la majorité d’entre nous.
Cette femme a récemment infiltré le NHS par l’intermédiaire du ministère britannique de la santé et
des affaires sociales, avec l’aide du député Matt Hancock, et sa présence représente une menace
majeure pour la sécurité des données de tous les citoyens du Royaume-Uni. Chaque donnée vous
concernant, vos problèmes de santé, votre groupe sanguin, le modèle du stimulateur cardiaque sans
fil qui vous maintient en vie, chaque détail de chaque problème médical embarrassant entre les
mains de l’appareil d’État israélien et potentiellement vendu au plus offrant. Vous pensez peut-être
que cela ne vous concerne pas. Pourquoi devriez-vous vous inquiéter d’un gouvernement étranger
d’extrême droite dont il est prouvé qu’il s’ingère dans les affaires de notre pays ? Vos données ne
leur serviraient à rien, n’est-ce pas ? Mais ce n’est plus le monde dans lequel nous vivons. Le big
data est la ruée vers l’or moderne. Les psychologues et les agents de marketing sont passés maîtres
dans l’art de vous faire acheter des choses ; l’étape suivante consiste à réussir à vous faire faire des
choses, et pour ce genre de contrôle sur les gens, ils ont besoin des données de tout le monde.
Lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur l’affaire Jeffrey Epstein, j’ai parcouru tous les
documents officiels disponibles. Je savais ce que je cherchais et à quel point c’était dangereux.
J’avais commencé à essayer d’identifier les biens de l’État à travers leurs mouvements, leurs actions,
leurs associations et par le biais d’un bon vieux travail de détective. Je souhaitais identifier les
agents du MI5 ou du MI6, du Mossad israélien, de la CIA ou de tout autre élément de l’appareil
d’espionnage d’un État-nation. La chasse aux espions est probablement l’un des passe-temps les plus
dangereux au monde et, pour être honnête, je ne suis même pas sûr de savoir pourquoi je m’y
adonne. Quoi qu’il en soit, l’accord de faveur de Jeffrey Epstein était probablement ce qu’ils auraient
donné à un agent de renseignement étranger. Epstein était l’endroit idéal pour commencer à pêcher
des espions potentiels.
Une fois que j’ai trouvé quelqu’un que je soupçonne d’être impliqué dans l’espionnage, je recherche
toutes les informations existantes sur cette personne et je construis l’histoire de sa vie du mieux que
je peux. J’apprends toutes ses habitudes connues et, au lieu d’écrire immédiatement un article à son
sujet, je continue à noter ses activités avec intérêt. J’ai observé de nombreux acteurs étatiques
potentiels pendant quelques années. J’ai également raté quelques bonnes histoires en attendant trop
longtemps. Mais je ne veux pas me contenter de vous montrer le passé, je veux vous montrer le
présent, et peut-être même l’avenir.

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Manifeste d’enquête
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Dans l’affaire Epstein, l’un des meilleurs éléments de preuve dont disposaient les chercheurs était le
manifeste de vol de sa machine à abuser des enfants. La documentation officielle comportait de
nombreuses initiales codées et quelques noms célèbres. Comme vous le savez probablement déjà,
Bill Clinton et ses agents des services secrets ont emprunté le tristement célèbre “Lolita Express” à
de nombreuses reprises. Naomi Campbell, Kevin Spacey, Alan Dershowitz et Chris Tucker ont
également pris l’avion avec le délinquant sexuel milliardaire.
Au fil du temps, nous développons tous des schémas de comportement reconnaissables. Lorsque
vous enquêtez sur quelqu’un, vous commencez généralement par identifier ces schémas, puis vous
recherchez les divergences par rapport aux résultats escomptés. Dans le manifeste de vol de l’avion
d’Epstein, un schéma qui ressort des informations disponibles est l’utilisation qu’il faisait de son jet
privé. Il utilisait l’avion pour deux raisons principales. Le plus souvent, il se rendait à une
destination avec un certain nombre de personnes de son entourage, ou bien il emmenait des gens le
rencontrer. Le cas le plus rare est celui où Epstein prend l’avion sans son entourage habituel, avec
un seul autre passager. Un seul nom ressort du manifeste de vol comme un bon exemple de cas où
Epstein s’est écarté de sa routine. Il s’agit de sa deuxième rencontre avec Nicole Junkermann.
En 2019, le portefeuille d’activités de Nicole Junkermann est très impressionnant. Elle est souvent
décrite comme une ex-mannequin, une entrepreneuse et une investisseuse, mais Mme Junkermann
est bien plus que ce que l’on voit au premier coup d’œil. Née à Düsseldorf, en Allemagne, le 27 avril
1975, Nicole Junkermann a étudié l’administration des affaires à l’Université internationale de

Monaco, puis le développement de la gestion à la prestigieuse Harvard Business School, aux États-
Unis. Parmi ses nombreux talents, elle est multilingue et peut parler l’allemand, l’anglais, le français,

l’italien et l’espagnol. En 1998, après avoir obtenu son diplôme à l’université de Monaco, elle a
cofondé “Winamax”, une plateforme de jeux en ligne qui existait avant que la réglementation des
jeux en ligne ne devienne une priorité pour les autorités. Winamax a été vendue en 2001 et Mme
Junkermann a ensuite investi dans une société de droits médiatiques récemment créée, “Infront
Sports and Media AG”, dont elle est devenue la vice-présidente du conseil d’administration.

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^ ^ ^ Le président et directeur général d’Infront Sports and Media de l’époque, Phillipe Blatter.
En 2002, Mme Junkermann a acquis les droits de la Coupe du monde de la FIFA 2006 en
Allemagne avec sa toute nouvelle société Infront Sports and Media. À cette époque, la société est
surtout connue pour son président-directeur général, Philippe Blatter, neveu de Sepp Blatter, alors
président de la FIFA. Cette corruption népotique manifeste a fait d’Infront Sports and Media de
Junkermann la société chargée de commercialiser les droits de retransmission télévisée des
principaux tournois de la FIFA. Elle a ensuite acquis les droits de toutes les Coupes du monde de la
FIFA et, bien que cet accord ait été édulcoré en 2006, en 2011, la FIFA a de nouveau autorisé
Infront à vendre les droits de télévision, sur les marchés asiatiques, pour les Coupes du monde de
2018 et de 2022.
Pendant qu’elle travaillait pour Infront Sports and Media, Junkermann a été surprise à trois reprises
à bord du “Lolita Express” de Jeffrey Epstein. Le premier vol enregistré, le 22 mars 2002, elle le
partage avec Epstein, Sean Koo et un autre passager, mais c’est son deuxième voyage qui est
vraiment remarquable. Le samedi 31 août 2002, Jeffrey Epstein et Nicole Junkermann s’envolent
seuls de l’aéroport du Bourget à l’aéroport de Birmingham, au Royaume-Uni. Ils reviennent à Paris,
par le même itinéraire, le lundi 2 septembre 2002. Il est très inhabituel que Jeffrey Epstein prenne

l’avion sans aucun membre de son entourage normalement présent. Que s’est-il donc passé ce week-
end-là ? J’ai fait beaucoup de recherches sur ces dates, mais je n’ai pas encore de réponse.

À l’époque, Junkermann avait 27 ans, il est donc très peu probable qu’ils sortaient ensemble, car tout
le monde sait que Jeffrey Epstein ne s’intéresse pas à des adultes au développement sexuel complet.
La découverte de cette anomalie sur le manifeste de l’avion d’Epstein m’a incité à examiner de plus
près la vie de Nicole Junkermann et, entre autres, à me demander si elle avait ou non des liens avec
une agence de renseignement de l’État. Junkermann et Epstein se rencontraient-ils seuls pour des
raisons innocentes ? Même si Junkerman avait déjà réalisé de nombreux investissements, elle aurait
pu essayer d’obtenir davantage de fonds de la part d’un investisseur avide comme Epstein. La
manière dont Epstein a accumulé ses milliards reste un sujet assez obscur en soi.
Quelle que soit la raison pour laquelle ces deux personnes incroyablement riches se sont retrouvées,
cette rencontre était très privée. Junkermann venait également de terminer le Program for
Management Development de l’université de Harvard, et Jeffrey Epstein entretenait une relation très
médiatisée avec Harvard qui, en 2003, l’a conduit à faire un don de 30 000 000 $ à l’université de la
Ivy League. Epstein utilisait-il la célèbre université américaine pour recruter pour ses propres
affaires ou d’autres intérêts ?
Nous reviendrons plus tard sur Epstein, mais tout d’abord, pour poursuivre la carrière de
Junkermann, elle a fondé en 2005 un fonds d’investissement privé axé sur les investissements dans

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les médias et le sport en Asie et en Europe, appelé “United in Sports”, et a réussi à lever 242,2
millions d’euros pour l’entreprise en 2007. Son autre projet, Infront Sports and Media, a finalement
été vendu à une société européenne de capital-investissement, Bridgepoint, pour 600 millions
d’euros en 2011. Cette année-là, Nicole Junkermann est officiellement devenue l’un des
investisseurs les plus en vue au monde. Depuis ses toutes premières acquisitions, dont j’ai déjà
parlé, Nicole Junkermann a investi ou acheté : Shanghai Really Sports, Ziggurat, Thousand-Child,
Aloha, Jobbio, Emoticast, Elvie, Auctionata, Coindrum, Spoon Guru, Optiopay, Grabyo, Magnum
Global Ventures, Songza, tausendkind, Revolut, Sentient Technologies, Here be Dragons,
Soundtrack Your Brand, Groq, Catapult, Delivery Club, Relate IQ, DollarShaveClub, Bruhouse
Brewery, Cage Warriors, Eagle Alpha, Gokixx, Rebuy. de, Travelbird, Healthtech Digital, OWKIN,
Reporty Homeland Security et Carbyne911. Les quatre dernières de ces entreprises présentent un
intérêt significatif.

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Le lien avec les services de renseignement israélien
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Le lien entre Nicole Junkermann, les services de renseignement de l’État d’Israël et les forces de
défense israéliennes n’est pas ténu. Le “Reporty Homeland Security”, au nom inquiétant, était la
première incarnation de ce qui s’appelle aujourd’hui “Carbyne911” et qui est désigné simplement
comme “Carbyne”. Décrit comme un “leader mondial de la technologie de sécurité publique”,
Carbyne est une application de plateforme de traitement des appels qui vous permet, entre autres, de
transmettre toute urgence en cours directement aux services d’urgence compétents. Dans la section
information d’une vidéo promotionnelle sur YouTube intitulée “Nicole Junkermann présente
Carbyne”, l’entreprise affirme qu’elle va :
fournir une solution prête à l’emploi qui permet aux personnes appelant le 911 de connecter les
fonctions de leur smartphone à l’opérateur d’urgence afin que ce dernier puisse mieux évaluer
l’urgence. Les données de localisation, l’accès audio, la caméra et la vidéo peuvent être partagés, ce
qui permet à l’opérateur d’obtenir plus de détails sur la situation. L’utilisation de la solution de
Carbyne permettra aux équipes de gestion des urgences de mieux trier les cas et d’améliorer
l’utilisation des services d’urgence en aval.
Ils promettent de combiner l’utilisation de données personnelles, de données de localisation, de
vidéos en direct, de données provenant de technologies portables environnantes et même
d’informations provenant de voitures intelligentes en stationnement, afin de fournir davantage
d’informations aux services d’urgence qui devraient intervenir. Ils peuvent localiser votre
emplacement, même à l’intérieur, à un mètre près, et ils affirment qu’ils peuvent même collecter des
données sur les appels perdus. Toutefois, ils ne précisent pas comment ils obtiendront l’autorisation
d’utiliser de telles masses de données disponibles. Qui sont ces anges derrière cette technologie
révolutionnaire qui vise à s’interposer entre une victime et les services d’urgence ?
L’un des directeurs de Carbyne est Nicole Junkermann. Le président du conseil d’administration est
Ehud Barak, 10e Premier ministre d’Israël, 14e chef d’état-major des forces de défense israéliennes,
ancien ministre de la défense et ancien chef des services de renseignement militaire d’Israël. Ehud
Barak est depuis longtemps l’un des visages les plus publics des opérations secrètes israéliennes.

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Avant d’être Premier ministre, Ehud Barak était un grand nom de l’armée israélienne. Dans les
années 1970, il a dirigé de nombreuses opérations, notamment en se déguisant en femme pour tuer
des membres de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine). Ehud Barak a déjà été associé à
Epstein, et Benjamin Netanyahu a contribué à mettre en évidence ces liens pour son propre bénéfice
politique.
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Un autre des directeurs et membres du conseil d’administration de Carbyne est le brigadier Pinchas
Buchris, ancien commandant adjoint d’une unité d’opérations d’élite de l’armée israélienne et ancien
commandant de l’unité de cyberespionnage 8200 de l’armée israélienne. Amir Elichai est le
fondateur et le PDG de Carbyne. Il est également un ancien officier de l’armée israélienne qui a
occupé divers postes dans les forces spéciales d’élite et les services de renseignement. Alex
Dizengof est le cofondateur et le directeur technique de Carbyne. Il est décrit comme un architecte
logiciel et un développeur d’algorithmes. Dizengof a précédemment développé des algorithmes
d’apprentissage automatique pour des robots et des plateformes mobiles, ainsi que des logiciels de
cybersécurité pour le bureau du Premier ministre israélien.
Ces personnes ont toujours été de sérieux atouts pour l’État israélien et il serait naïf de penser que
les choses ont changé. Il semble que Nicole Junkermann ait des partenaires sérieux, et je me
demande si la première rencontre de Jeffrey Epstein avec Nicole Junkermann, alors fraîchement
diplômée, n’était pas un recrutement pour le Mossad.

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L’infiltration de Junkermann dans le NHS britannique et ses Big Data
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J’ai observé attentivement Nicole Junkermann alors qu’elle rachetait de nombreuses start-up
technologiques et, fin 2018, ma pire crainte possible s’est réalisée. Matt Hancock, député de West
Suffolk et secrétaire d’État à la santé et aux soins sociaux au Royaume-Uni, a nommé Nicole
Junkermann au conseil consultatif des technologies de la santé. Pour la grande majorité des
personnes vivant au Royaume-Uni, le NHS est une institution que nous chérissons et adorons.
Beaucoup d’entre nous protégerons le National Health Service au péril de leur vie, car c’est ce qu’il a
fait pour nous dans les jours les plus sombres.
Le Conseil consultatif sur les technologies de la santé est décrit comme un ensemble de cliniciens,
d’universitaires et d’experts en technologies de l’information. Le site officiel du gouvernement
indique que “le conseil examinera comment le NHS peut exploiter le potentiel de la technologie et
créer une culture de l’innovation, dans le but d’améliorer les résultats pour les patients et de réduire
la charge de travail du personnel du NHS”. Il ne précise pas pourquoi il a besoin d’un investisseur
en capital-risque lié aux services de renseignement israéliens, qui a été impliqué dans de nombreux
scandales. Leur première réunion officielle a eu lieu le 19 novembre 2018-voir l’annexe I pour les
autres membres du Conseil consultatif sur les technologies de la santé.
Les deux membres les plus importants sont Nicole Junkermann et Parker Moss, ce dernier étant le
Chief Business Officer d’OWKIN, l’une des nombreuses entreprises du vaste portefeuille de Mme
Junkermann. OWKIN est une startup spécialisée dans l’IA qui utilise l’apprentissage automatique
pour améliorer la recherche médicale et biologique. En soi, l’entreprise serait probablement
parfaitement adaptée à l’avenir du NHS, mais en raison de ses liens avec Nicole Junkermann et les
services de renseignement israéliens, OWKIN devrait être considérée comme un risque trop
important pour la protection des données des utilisateurs du NHS.

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Le 16 juin 2019, le site NJF holdings de Nicole Junkerman a publié un article sous le titre “London
Hospital’s Could Offer Patient Data to Google-backed AI Startup in a Bid to Develop Better Drugs”
(L’hôpital londonien pourrait offrir des données sur les patients à une startup d’IA soutenue par
Google dans le but de développer de meilleurs médicaments). C’était exactement ce à quoi je
m’attendais. Le titre alambiqué célébrait le fait qu’OWKIN s’était déjà vu promettre des données de
patients du NHS, et qu’ils l’annonçaient déjà avec confiance à leurs investisseurs et à leurs autres
associés. Nous devons demander à Matt Hancock de retirer Nicole Junkermann du Healthtech
Advisory Board avec effet immédiat, et nous devons mener une enquête sur la façon dont les
données du NHS peuvent être protégées des agences de renseignement étrangères hostiles.

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Junkermann et Epstein – Conclusions
Je pense que la révélation future de preuves précédemment cachées confirmera que Jeffrey Epstein
a travaillé pour de multiples agences de renseignement. Mais il est très probable qu’il ait été recruté
par l’État israélien. Mme Junkermann a réussi à éviter que ses liens avec Epstein ne soient révélés
au grand jour, jusqu’à présent. Mais elle est douée pour contrôler son profil public. Nicole
Junkermann est devenue plus puissante au cours des huit dernières années, et j’ai vu des
informations négatives relatives à ses scandales précédents être supprimées des résultats de
recherche. Vérifiez vous-même. Tapez Nicole Junkermann sur Google et parcourez tous les articles
qui apparaissent. Ils sont très majoritairement positifs ou concernent simplement l’une de ses
entreprises, ce qui est très différent de ce que vous auriez trouvé il y a seulement quelques années.
Lorsque j’ai commencé à enquêter sur Nicole Junkermann, il y avait de nombreux articles négatifs
qui ont pratiquement disparu. Je ne suis même pas sûr que cette histoire survive.
Je vous demande donc à tous de partager cette histoire et de la publier sur vos blogs et sites web, et
de faire connaître le nom de Nicole Junkermann au public.
De plus, si je disparais bientôt, rappelez-vous. C’est probablement le Mossad.
Annexe I
Les autres membres du comité consultatif sur les technologies de la santé sont Rachel Dunscombe,
qui était PDG de la NHS Digital Academy et directrice du numérique pour le Salford Royal NHS
Group, mais qui, depuis sa nomination au comité consultatif sur les technologies de la santé, a
également rejoint KLAS Arch Collaborative en tant que responsable mondial (hors États-Unis) et
évangéliste principal en matière de technologie. Manoj Badale OBE, décrit comme un “Digital

Venture Builder” et ayant des liens d’affaires avec la famille Murdoch. David Gann CBE, vice-
président de l’innovation à l’Imperial College de Londres. Sir Mark Walport, scientifique médical

anglais et ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement conservateur britannique de 2013
à 2017. Nicola Blackwood, baronne de North Oxford et membre de la Chambre des Lords. Roger
Taylor, président du Centre pour l’éthique et l’innovation en matière de données. Jeni Tennison
OBE, directrice générale de l’Open Data Institute et développeuse principale de legistlation.gov.uk.
Dan Sheldon, directeur de Well Digital. Daniel Korski CBE, ancien conseiller des gouvernements
de David Cameron et de Hamid Karzai, et qui mérite son propre article. Michelle Brennan,
présidente de Johnson and Johnson, l’un des poids lourds de l’industrie pharmaceutique.
Traduction avec Deepl.com

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