Plainte pour abus psy sur Gaia https://docs.google.com/document/d/1xjm27pcvwzOJ__-v7fWTuSky6rgn7EYQ6-SWZyInnUE/edit?usp=sharing https://docs.google.com/document/d/1xjm27pcvwzOJ__-v7fWTuSky6rgn7EYQ6-SWZyInnUE/edit?usp=sharing
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Signez pour soutenir une femme battue enfermée à tort dans un hôpital psychiatrique contre sa volonté. Merci
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Déclaration sur l’honneur,
Je soussignée Mme Rosfelder Gaïa, née le 8 novembre 1982, atteste sur l’honneur la véracité de ce témoignage.
En 2004, je rencontre Mr Selmi Nabil , lorsque ma fille Lola Rosfelder venait de fêter sa première année. Je tombe en ceinte assez rapidement de ma seconde fille Selmi Kenza.
Les violences conjugales commencent à l’annonce de ma grossesse. En 2005, Mr Selmi me casse le nez suite à un passage à tabac. Une première plainte est déposée. Mr Selmi est incarcéré en détention provisoire en attente de sa comparution immédiate. Il est condamné avec sursis.
Il revient à notre domicile, les violences continuent en me promettant de se faire soigner. En 2007, je suis à nouveau passée à tabac. Et, subit suite à ce passage à tabac, un traumatisme crânien pour lequel je ne porte pas plainte de suite. Car Mr Nabil fait pression sur moi et n’a pas envie d’aller en prison.
En 2008, je rencontre de grosses difficultés avec le maire de la commune ( Mirabeau 04 ) où je réside. En effet, je suis locataire d’un logement qui par la suite a été classé insalubre. Suite à une dispute avec le maire concernant un problème de cumulus cassé depuis plus de 15 jours, je n’avais plus d’eau chaude malgré les réclamations faites.
Le maire prend un arrêté préfectoral et me fait interner pour la première fois en psychiatrie avec des papiers d’entrée non conformes. Lors de mon hospitalisation, je fais un dépôt de plainte concernant mon traumatisme crânien de 2007. Mes enfants sont confiés à mes parents au départ. En septembre 2008, un premier jugement au tribunal des enfants est rendu : Mr obtient les droit de visite en sortie libre tous les mercredis. Et, mes droits de visite sont réduits à une visite par mois avec une intervenante à domicile. Mr Nabil me promet de me laisser profiter de ses droits de visite à condition que je retire ma plainte ( Traumatisme).
J’écris donc un courrier au procureur pour retirer ma plainte. Les enfants me sont rendus au mois de mai 2009. Nous déménageons sur la commune de Brignoles ( 83 ).
Les violences se poursuivent jusqu’en janvier 2011, où je produis 3 certificats médicaux en moins d’une semaine. Certificats où il est d’ailleurs noté «syndrome anxieux réactionnel». Je suis à nouveau hospitalisée en psychiatrie, et les enfants restent chez le père.
Je dépose une nouvelle plainte pour violence conjugale. Je me retrouve alors dépossédée de tous mes biens, ainsi que de tous les papiers. Mr Nabil ayant réintégré le domicile commun, tout en changeant les verrous du domicile, malgré le bail commun à nos deux noms, et le fait que je paye toutes les factures et la location seule. Ce que je continuerais à faire pendant plus de 6 mois, tout en étant toujours hospitalisée, car les psychiatres ne veulent pas me laisser sortir tant que je n’ai pas de domicile.
Le 30 Août 2011, le tribunal correctionnel de Draguignan condamne Mr Nabil à un an ferme avec mandat de dépôt. Les enfants obtiennent des visites au parloir tous les mercredis avec leur père.
Mr fait alors une visioconférence depuis la prison de Grasse ( 06 ), où il est entendu qu’il obtiendra la garde des enfants. En effet, Mr fait appel et sort au mois de novembre 2011.
En 2012, je rejoins l’association SOS les Mamans qui me demande de fournir un témoignage et de faire des photos avec une photographe en vue d’une exposition «désenfantée» qui aura lieu en Novembre 2012.
Quelques jours avant mon rendez-vous avec la photographe, je suis internée en psychiatrie. Jusqu’au bout l’association n’est pas certaine de pouvoir compter sur moi. Je pense que cet internement a été dans le but de m’empêcher de témoigner.
Suite à cette exposition, Mr Nabil et sa famille font des accusations mensongères et déposent une plainte contre moi ( gendarmerie du Muy 83). La plainte est classée immédiatement sans suite car les gendarmes ont tout de suite relevé des incohérences dans les témoignages. Les services sociaux par contre saisissent le juge, et me font enlever tout droit de visite et d’hébergement au profit de point rencontre ( Association AXIS sur Toulon) à raison de trois heures de visite en lieux commun, une fois tous les 15 jours. Mes enfants sont manipulés et ne souhaitent plus me voir.
En 2013, je rencontre mon deuxième compagnon.
En 2013 à la Motte ( 83 ), je me fais agresser à mon domicile par un homme qui possède un jeux de clefs de ma porte. Cet homme est armé d’un manche de brosse à dent, où un scalpel est accroché au- dessus.
Je réussi à m’enfuir de mon domicile en l’enfermant à clef chez moi. C’est à ce moment là, que je me rends compte qu’il a un double de clef, car il sort rapidement. Je passe ma nuit à errer dans le village en appelant au secours. Un homme ouvre la porte de chez lui et il m’attend. Il me demande de boire une tisane qu’il a déjà préparée d’avance. Je trouve cela étrange. Je lui demande donc un verre d’eau. Il s’énerve très violemment et me dit que je vais être forcée de boire cette tisane. Il me montre une bague à sa main qu’il porte et me dit : « Tu sais qui je suis ». Je le pousse et réussi à sortir en courant. Mon agresseur au scalpel est toujours dans le village et il me poursuit. Il est interpellé le matin, mais sans rapport avec mon agression. Les services sociaux de la Motte, me font monter dans leur bureau pour m’aider. Le docteur Racanau vient avec les pompiers, m’attachent et me font une piqûre. Je me retrouve alors en cellule d’isolement à l’hôpital psychiatrique de Draguignan ( SDRE), avec des papiers non conformes une fois de plus. Je convainc mon psychiatre d’aller déposer une plainte à la gendarmerie du Muy. Sur place à la gendarmerie, il m’est répondu je cite «On ne prend pas les plaintes des folles». Je mettrais plus de 6 mois avant de pouvoir déposer plainte. J’ai demandé à un policier d’interférer auprès de la gendarmerie pour qu’ils acceptent de prendre mon dépôt de plainte et à ce moment , les gendarmes ont récupéré le scalpel que j’avais gardé en ma possession. A savoir que les gendarmes m’ont obligé à passer devant un expert psychiatre à Brignoles pour Savoir si j’étais apte à déposer plainte. L’expert m’a dit être étonné de cette démarche.
En 2014, suite à mon dépôt de plainte ( Agresseur au scalpel) je me fait interner à la demande de la police municipale, avec un réel passage à tabac par la police municipal, où je cite la policière municipale «Tu as failli nous faire avoir des ennuies avec ton dépôt de plainte» ( Voir certificat médical 2014).
En 2015, mon troisième enfant, un garçon naît quelques jours après l’audience sur le jugement AEMO.
Mr Nabil en accord avec les services sociaux, me fait à nouveau restreindre mes droits de visite aux motifs que les cours d’Arabe à la mosquée du Muy sont plus importants que mes visites.
En 2016, il est enfin marqué sur le jugement AEMO ( Juge pour enfant), que mes problèmes psychiatriques sont directement liés aux violences subies. Mes droits sont alors à nouveau ouverts pour un week-end tous les 15 jours et la moitié des vacances. ( Droit que je n’arriverai jamais à faire appliquer et ceci jusqu’à aujourd’hui).
En avril 2017, un article paraît concernant les victimes de violences conjugales et leurs traitements en psychiatrie. A cette période là, mon deuxième compagnon fait un abandon de domicile conjugal que je fait constater en juillet 2017. Mon deuxième compagnon désire voir son fils au bout de deux mois de l’abandon de domicile. Lorsque je lui présente son fils, il me frappe et m’insulte. Je fais un dépôt de plainte le 26 septembre 2017, le père de mon fils me fait interner sois disant pour une tentative de suicide. Je dénonce les faits de violence sur mon fils de la part de son père au services sociaux. Mon fils a été étouffé par Monsieur avec un oreiller pour que celui-ci cesse de pleurer.
Mon fils est placé à la garde du père le 23 novembre 2017. Le 29 novembre 2017 , le père de mon fils disparaît en Algérie avec mon fils et ce jusqu’au mois de Juin 2018. Veuillez prendre note que le père de mon fils a fait le passeport et la carte d’identité français et algérien sans mon accord. A noter que c’est exactement la même chose pour les papiers d’identité de mes deux premières filles. A savoir également que lorsque mes enfants ont eu à changer d’école , il ne m’a jamais été demandé aucun papier malgré le fait que je n’ai jamais perdu l’autorité parentale. A son retour d’Algérie, le père de mon fils a quitté le département du Var, pour Marseille ( 13). Ceci , compliquant les droits de visite. Et, heureusement le père de mon fils a fini par revenir sur Draguignan.
Le 5 novembre 2019, un jugement au tribunal des enfants de Draguignan déclarait non lieu à poursuivre de mesure à échéance et depuis nous avons passé un accord sans tribunal.
Je peux voir mon fils comme je veux. A noter que le père de mon fils reçoit toujours les allocations familiales malgré que j’ai mon fils la moitié du temps.
En octobre 2020, un article me concernant est paru dans le journal Causette . J’ai été internée quelques jours avant la parution de cet article. J’ai fait appel de la décision de placement en psychiatrie. A ce moment-là, mon psychiatre a pris la décision de cesser l’internement et m’a laissé sortir sans programme de soins. Etant donné que je m’étais rendu compte après des recherches sur mon psychiatre ( Mr Fenoy), également directeur de Pôle santé mentale, de CMP etc….. de pas mal d’irrégularités.
Mr travaillant à Draguignan, mais se déclarant au fichier ADELI sur Paris à une adresse: 18/20 rue Louise Emilie de la Tour d’Auvergne à Paris Ce qui correspond à 3 hôpitaux différents. De plus, Mr Fenoy n’était pas déclaré à l’ordre des médecins . Et il se trouve que lorsque j’ai appelé les ressources humaines à l’hôpital de Paris, il m’a été dit qu’ il avait bien plusieurs Mr Fenoy. En effet, Mr Fenoy ayant un nom composé, ce dernier travaille parfois avec le prénom Louis, d’autres fois avec le prénom Louis Richard et enfin avec le prénom Richard.
Mme Rosfelder espère que la justice sera appliquée une bonne fois pour toute et que cette plainte ne lui portera pas préjudice dans l’avenir, ma mettant une fois de plus en situation de mobbing.