Some of these pictures were taken of our family BEFORE they were seized by the SPMi, held at HUG for 4 months and then thrown into Foyer Pierre-Grise many years ago – and some of these pictures were taken during the VERY RARE DVs my sons were permitted to see me.
Geneva DESTROYED MY FAMILY & I will NOT STOP until MY sons are returned to me.
TREES OF SHAME
Les arbres de la honte
[En Anglais]
Film documentaire choc sur la problématique des Services de Protection de l’Enfance (CPS) et les placements forcés d’enfants en Suisse.
Shocking Documentary Film on the problem of Child Protective Services (CPS) and the forced placements of children in Switzerland.
👉 Le film :
https://youtu.be/i8m8UzAnBTc?feature=shared
01 / 34:09
SOS SCREAM OF SILENCE – STILL HAPPENING NOW – THE NIGHTMARE OF THE SUTZ FAMILY IN SWITZERLANDhttps://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0oQQvZYzEiSP98wNtVuyoAT6r2agKCZkA92iTKv76ra4wxLzGFP5KBa7egJuFyYhPl&id=61550343570101
I did this interview with a female French journalist, IN ENGLISH, in the Spring of 2019, when the book that was written about the unjustified seizure of my sons by the SPMi was published. SOS – SCREAM OF SILENCE is the name of the book. It will be given away free online in e-book format later today for anyone who wants to download it and READ AND SEE the TRUTH for yourselves. This book was written by a French-Swiss man who used to work for Pictet Bank, after he did many months of research regarding my family. The book was first written in French, then I translated it into English for the English-speaking world. I was criminally denounced by the SPMi (#CPS) to the Attorney General of #Geneva for this book being published – but they waited 2+ years to denounce me, when the Anti Terrorism Law was put into effect – a law that is NOT about Terrorists alone, but more so about targeting people who speak out, EVEN those who do NOT defame the Government nor incite any kind of violence. ALL the documents in this book and ALL the names are redacted but still the SPMi did all they could to have me imprisoned and for my sons to lose me forever. They did NOT succeed that time, but this time, with all that I have released publicly, STILL with names redacted, word is getting around Geneva and Switzerland that I am not stopping until my sons are immediately and unconditionally released to me. I do NOT want this war between me and the State of Geneva to continue when it is, in FACT, the Foyer that is stopping my sons from coming home, even though the “official people” are saying it is the “Judge” at the SPMi. ————
DESCRIPTION EN FRANCAIS – J’ai réalisé cet INTERVIEW EN VIDEO avec une journaliste française, en anglais, au printemps 2019, à l’occasion de la publication du livre écrit sur la saisie injustifiée de mes fils par le SPMi. SOS – SCREAM OF SILENCE est le nom du livre! Je partage gratuit aujourd’hui ou demain pour TOUTE LE MONDE cet e-book de plus que 220 pages! Je posterais le lien sur mon Facebook pour TOUTE LE MONDE!!! Ce livre a été écrit par un franco-suisse qui travaillait pour la banque Pictet, après avoir effectué de nombreux mois de recherches sur ma famille. Le livre a d’abord été écrit en français, puis je l’ai traduit en anglais pour le monde anglophone. J’ai été dénoncé pénalement par le SPMI au MP pour la publication de ce livre – mais ils ont attendu plus de 2 ans pour me dénoncer, lorsque la loi MPT est entrée en vigueur. TOUS les documents de ce livre avaient TOUS les noms expurgés et le SPMi a fait tout ce qu’il pouvait pour me faire emprisonner et pour que mes fils me perdent pour le reste de leurs vies. Ils n’ont PAS réussi cette fois-là, mais cette fois, avec tout ce que j’ai rendu public, TOUJOURS avec un nom expurgé, la rumeur circule à Genève et en Suisse que je ne m’arrêterai pas jusqu’à ce que mes fils me soit libéré immédiatement et sans condition. Je ne veux PAS que cette guerre entre moi et l’Etat de Genève continue alors que c’est, en FAIT, le Foyer qui empêche mes fils de rentrer à la maison, même si les “gens officiels” disent que c’est le “Juge” du TPAE.
Suite à la réunion genevoise du 30 juillet à l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre la traite d’êtres humains et d’enfants, j’avais décidé de modifier la chronologie de mes articles. Après les introductions du sujet de la pédocriminalité dans les bulletins n°213 et 214, ainsi que le bilan de la réunion dans le n°215, au lieu de poursuivre chronologiquement, avec un tour d’horizon historique des pratiques esclavagistes, du servage, de l’aliénation industrielle, en passant par une analyse de la psychologie humaine et des comportements prédateurs, je vais commencer avec un cas d’étude, celui de Genève, avec les scandales pédophiles à la RTS (dans le présent numéro) et les dysfonctionnements graves du SPMI (dans le prochain bulletin). Je précise qu’il n’y a pas de lien direct entre les deux sujets. Le troisième sujet genevois serait la franc-maçonnerie, mais cela implique aussi de faire un résumé et un bilan sur cette mouvance depuis sa création dans les pays occidentaux au 18e siècle. En prenant Genève à titre d’exemple, on n’est pas sur de grosses affaires monstrueuses ou satanistes, en tous cas pas directement. Mais c’est une première approche permettant d’effleurer le sujet de manière factuelle, sur place chez nous, à titre représentatif d’autres cantons suisses et d’autres lieux en Occident.
Des lectrices et des lecteurs m’ont envoyé des messages / liens sur le sujet de la pédocriminalité. Vous les trouverez tels quels, sans commentaires de ma part, dans la deuxième partie de ce bulletin, de manière anonymisée. Leur diversité témoigne de la complexité du sujet et donc de la difficulté de se faire une image complète de la situation. Cette complexité et cette profusion nuit à une meilleure prise de conscience de la part de grand public ou d’acteurs responsables de bonne volonté. J’espère pouvoir contribuer, au fil des mois, à résumer le sujet de manière efficiente, en tentant de démêler le vrai du faux, avec quelques apports analytiques. La première partie sur les scandales pédophiles à la RTS, je l’ai rédigée sur la base de documents reçus de la part d’une dame bien informée. Vous trouverez ces documents dans un dossier ZIP en pièce jointe et vous pouvez les sauvegarder à toutes fins utiles.
GENÈVE – PARTIE 1 : SCANDALES PÉDOPHILES À LA RTS
Pour des raisons lexicales, j’ai toujours préféré l’expression « pédophagie », donc consommation / abus d’enfants à « pédophilie », signifiant aimer les enfants. Néanmoins, par convention linguistique, j’alterne les deux expressions.
On m’a fait parvenir un dossier contenant quatre articles de la presse alternative, traitant du même sujet, à savoir une série de condamnations prononcées par la Justice, donc avérées et d’autres affaires manifestes, étalées sur près de 20 ans, relatives à des abus pédophiles commis par des employés de la Radio Télévision Suisse (Romande) RTS, en général des cadres de cet établissement, comptant près de 1’500 employés. Il y a le téléchargement, sur les postes de travail, dans les années 1990, de centaines ou de milliers de photos à caractère pédophile. Il y a le cas de l’animateur vedette Patrick Allenbach, qui recevait de nombreux garçons à son domicile dans le pays de Gex pour jouer à des jeux vidéos et qui au passage, pratiquait des attouchements, incluant des fellations avec quatre garçons de 13 à 15 ans. Il a plaidé coupable, a dit regretter ses actes et s’est fait oublier. Un autre cadre avait été condamné pour actes sexuels sur sa fille entre l’âge de 4 et 8 ans. Eloigné un temps à Berne, la RTS avait fini par le réengager… Un autre, recherché par la Justice, s’est réfugié à Haïti, où ça ne manque pas d’enfants pauvres…
La cinquième pièce du dossier concerne le témoignage écrit d’un ex-employé en informatique/régie de la RTS, ayant travaillé sur place de 1989 à 2019, année de son éviction. Il revient en détail sur toutes ces affaires et autres éléments dont il témoigne. Par exemple au début des années 1990, les cadres étaient les premiers à avoir accès à internet et les utilisateurs n’étaient pas conscients des questions de sécurisation et de traces informatiques laissées, retrouvées cependant par les informaticiens de la RTS. On n’a pas les détails, mais un certain pourcentage de ces photos d’enfants devait être de nature très crue, voire très violente. Et le rapport ne parle même pas du téléchargement de photos pornographiques de femmes adultes, pas répréhensible en tant que tel, mais inadmissible sur le poste de travail, payé par les contribuables. Si les affaires son confirmées par la Justice, le témoignage de l’auteur, lui, est crédible de mon point de vue. Il n’y a rien d’abracadabrant. Tout se tient de manière parfaitement plausible, tout correspond à la banale et triste réalité humaine, notamment en entreprise. Vous pouvez vous faire votre avis personnel en consultant ce dossier.
Mis à part la redondance troublante de ces faits avérés, ce qui pause problème, c’est la politique de déni de la RTS, alors que tout le monde était au courant en interne. Au lieu de faire son mea culpa, l’institution a cherché à faire oublier ces affaires, au sens propre du terme : des « effaceurs » furent engagés pour faire disparaître d’internet les photos et autres infos sur les coupables. Les menaces, notamment juridiques, contre ceux qui investiguent font également partie des pratiques de la RTS. Les principaux médias de la presse écrite romande n’ont pas fait leur travail : il s’agissait de ne pas trop se tirer dans les pattes entre journalistes… D’autant que la plupart des journalistes sont de gauche, en particulier à la RTS… Donc au lieu de générer dans l’esprit du public la conscience de la réalité d’une chaîne compromettante d’affaires pédophiles au sein de la TV publique, les médias ont étouffé l’affaire en tant que globalité. Ainsi moi-même, étais-je uniquement au courant de l’affaire Allenbach en 2011. Le reste, je n’en savais rien.
La forme du document reçu n’est pas très bonne, la mise en page devrait être optimisée et le texte présente des lacunes rédactionnelles. Il aurait mérité une bonne relecture par un correcteur (si quelqu’un est volontaire, qu’il ou elle me le fasse savoir, je transmettrai). Le document devient aussi confus sur la fin, partant dans trop de directions. Ces défauts sont typiques dans ce genre de témoignages, ce qui réduit leur crédibilité auprès du public. Mais la première partie est très bien, factuellement parlant. Notre lanceur d’alerte a donc été licencié de la RTS en 2019, par suite d’un signalement d’une Française qui se disait victime de diffamations de sa part, dans des publications sur internet où il dénonçait des cas de pédocriminalité, incluant celui dont est victime sa propre fille. Donc la suite de son rapport ne concerne plus la RTS, mais cette femme dont il décrit les manigances. La toute dernière partie du document n’y a pas sa place. Il n’y a plus aucun lien avec la RTS. L’auteur y dénonce une femme d’affaire internationale, dépeinte comme très riche, ayant aussi créé diverses sociétés en Suisse, se donnant une image clean sur internet mais qui travaillerait pour les services secrets d’un célèbre pays proche-oriental et qui aurait entretenu des rapports d’affaires troubles avec le fameux Jeffrey Epstein, donc suspecte de participation à des réseaux pédocriminels. Mais de mon côté, en lisant cela, il n’y a rien que je puisse étayer en consultant des sites sur internet, qui racontent la même histoire.
Le lanceur d’alerte évoque aussi une situation dans les années 1990, où un cadre de la RTS, profitant des équipements de la télévision, aurait dupliqué une cassette VHS contenant un « brutalo » (ou « snuff movie »), donc ces films créés depuis les années 1970, mettant en scène la mise à mort, supposée réelle, mais la plupart du temps feinte, de femmes ou d’enfants, qui pouvaient se vendre très cher sous le manteau. Quelle que fut la réalité de leur contenu, leur esprit était détestable. Avec l’arrivée d’internet, il y a eu davantage de diffusion de mises à mort réelles, mais pas forcément dans un but pornographique commercial (décapitations réelles et lentes par des islamistes d’ISIS ou par la mafia mexicaine pour effrayer des rivaux). Mais il y a eu aussi le cas en décembre 2018 des deux touristes danoise et norvégienne filmées dans leur tente au Maroc en étant violées, puis égorgées. La Justice marocaine avait jugé une vingtaine de complices de ce réseau, incluant un Genevois de 25 ans converti à l’islam, qui avait montré aux tortionnaires comment diffuser la vidéo sur internet.
Je signale cet épisode « brutalo » du document, car je me souviens qu’autour de 2000, mais je ne sais plus de quand à quand, la RTS diffusait à minuit des films d’horreur, dont « Massacre à la Tronçonneuse » (USA – 1974), un film particulièrement abjecte, avec des femmes sur des crochets de boucher et coupées en morceaux. Cette politique de programmation était autant choquante, inutile, qu’irresponsable (tout le monde à tout âge pouvait tomber dessus par hasard). Donc avec l’esprit qui régnait dans une partie de couloirs de la RTS, le témoignage général de notre lanceur d’alerte revêt le sceau de la crédibilité.
Pour se donner bonne conscience, la RTS diffuse au fil des ans quelques enquêtes mineures sur la pédocriminalité. On va dire, pour simplifier, sur les « petits » poissons, dans une ambiance grandiloquente de « grosses révélations », alors que tout le monde est déjà au courant, ou concernant l’Eglise catholique (France, Espagne, etc.). Et pas un mot bien sûr sur les affaires au sein de la RTS… Derniers exemples :
18 juillet 2023 – Les pédophiles sur internet : https://www.rts.ch/play/tv/yadebat/video/ou-se-cachent-les-pedophiles-sur-internet–yadebat?urn=urn:rts:video:14183120
13 février 2023 – Actes pédophiles massifs dans l’église catholique portugaise (depuis 1950) : https://www.rts.ch/info/monde/13781942-des-milliers-dactes-pedophiles-identifies-dans-leglise-catholique-portugaise.html
La RTS a encore réagi d’une autre manière, discrète toujours, comme je l’avais constaté personnellement en 2018, en essayant de placer l’excellent épisode pilote d’un feuilleton d’aventures créé et produit par un ami français, dans le but de réaliser une première saison de 12 épisodes. Au fil des ans, la quasi-totalité des cadres, en tous cas à la programmation, a été remplacée par des femmes. Elles décident de tout. Avec elles, la RTS ne risque pas, a priori, de nouveaux scandales à caractère pédophile et les programmations trop brutales semblent évincées, tant mieux. En revanche, puisqu’il s’agit de la grande confrérie du féminisme aux tendances pata-wokistes, on sombre dans les excès inverses : censure, promotion à outrance des idéologies sociétales destructrices des valeurs traditionnelles, etc. Ainsi l’épisode pilote de mon ami, réalisé en Italie avec un cinéaste italien et son équipe professionnelle, ainsi que des acteurs français et italiens professionnels, a été rejeté pour des motifs fallacieux : pas « politiquement correct », « sexiste » et tutti quanti… Dans un passage, l’épisode dénonçait même l’idéologie transgenre, donc en 2017 déjà. Mais pour la RTS, l’idéologie transgenre (et ses implications sur les enfants…), c’est génial…
Sur le même sujet :
AGORA TV – La RTS : un nid de pédophiles ? Pourquoi autant d’harcèlements sur Agora TV News ? 31 juillet 2023. Karl Zéro et Idriss Aberkane parlent de la pédophilie à la RTS.
https://youtu.be/v6gafb_SKuA
MESSAGES REÇUS DE LA PART DES ABONNÉS DU COROL :
Message 1
Salut Dino, je te prie de m’excuser, je voulais venir à cette manifestation mais j’ai oublié de marquer la date dans l’agenda et du coup j’ai oublié tout court… Grand merci pour ton résumé, j’y ajouterai l’affaire Kentler qui s’est passé à Berlin pendant des décennies :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Helmut_Kentler
Message 2
Petit complément au film sound of freedom :
https://odysee.com/@Vivresainement:f/suicides:2
Message 3
Bonjour, je reçois régulièrement ta lettre fort intéressante et parfaitement sourcée. Je me permets de t’écrire concernant l’affaire Epstein. Une des meilleures journalistes d’investigation américaine a écrit 2 livres sur le sujet extrêmement sourcé comme d’ailleurs tous ses articles. Je n’ai pas acheté ces 2 livres car situation extrêmement précaire. Je te remets une page de son site. Tu trouveras également toute la série sur Epstein. Il n’était pas seulement prédateur sexuel, mais bien plus comme tu dois le savoir! Il y aurait beaucoup de choses à dire à son sujet.D’autres journalistes indépendants (malheureusement) savaient depuis bien avant 2019 ce qui se passait dans ce gigantesque “network”. Voilà j’espère que tu trouveras quelques petites choses intéressantes. J’ai fait des recherches avec 3 autres personnes sur Epstein. L’une d’elles est décédée en 2021 l’autre est introuvable Revo (je te mets une des seules vidéos qui reste) et la 3ème habite en France et est sur Twitter. Le site de TeamFSociety a été fermé, elle y avait fait un gigantesque organigramme un énorme travail sur tous les continents avec des affaires diffusées même sur des médias “officiels”. Cette personne a repris le travail de Revo, mais inachevé. L’organigramme se trouve en bas de page. Elle avait fait cet organigramme par noms, par pays, par institutions et par affaires (exemple affaire Dutroux, Zandvoort etc.) https://www.lanceurdalerte.info/2019/09/11/epstein-organigramme/
Beaucoup de crimes et de criminels, mais malheureusement beaucoup se baladent dans la nature où sur les plateaux télé.
Revo (TeamFSociety) Ariane Bilheran
https://youtu.be/1KbZTJqR4hcTeamFSociety
https://odysee.com/@DemiMotSuffit:a/Viols-d–039-enfants,-%C3%A0-quand-la-fin-du-silence-:5
Le déni des médias et des criminels/”Le point: Décriminalisation de la pédophilie ; le Mea Culpabilité de Jack Lang” https://youtu.be/7-br_QVKnaEThe Last american vagabond
https://www.thelastamericanvagabond.com/?s=Epstein
James Corbett
https://www.corbettreport.com/?s=Epstein
Whitney Webb (elle fait écrire également des articles par d’autres journalistes indépendants) https://unlimitedhangout.com/2022/06/reports/met-police-invokes-national-security-about-epstein-meeting-with-us-senators-in-the-uk/Message 4
Peut-être que le témoignage de Cathy O’Brien pourrait t’intéresser. Pour moi, la lecture de ses livres a été un réveil brutal. Cathy O’Brien: I am a 35 year US Government Whistleblower on MK Ultra mind control human trafficking, and healing from it. Truth Makes U.S. Free! Check out my website https://trance-formation.com/
Ses deux livres (avec Mark Philips) sont traduits en français: “Pour cause de sécurité nationale” et “L’Amérique en pleine transe-formation. De même que le film qui a été fait sur sa vie: https://trance.movie
Nous avons commencé à aborder ce sujet sur covidhub.ch à l’occasion de la sortie de “Sounds of Freedom” https://www.covidhub.ch/metoo-trafic-enfants-sound-of-freedom/
Message 5
Salut Dino, je t’envoie ce que je trouve au fur à mesure si tu veux. Le carnet noir d’Epstein disponible en ligne :
https://www.coreysdigs.com/wp-content/uploads/2019/07/Jeffrey-Epsteins-Little-Black-Book-unredacted.pdf
La police australienne arrête 19 individus et libère 13 enfants victimes de réseaux pédo-criminels. Entendu aujourd’hui sur infolibre d’Olivier Victor : https://vk.com/infolibre
Message 6
Bonjour Dino, comme convenu, je t’envoie ci-dessous quelques liens au sujet de Ronald Bernard. Il a travaillé avec les auto-proclamées élites et connait donc le système de l’intérieur. Si tu écoutes les 5 interviews tu auras l’aperçu général de son histoire de vie. Interview partie 1/5, censurée sur Youtube pour ‘inicitation à la haine’, il y témoigne sur les rituels sataniques (cliquer suc cc pour traduction en français) :
https://rumble.com/v2rwsj6-ronald-bernard-the-invitation-dutch-with-subs.html
En ce qui concerne plus directement la pédophilie : témoignage devant The International Tribunal of Natural Justice (ITNJ): https://rumble.com/v2v63wj–ronald-bernard.html
GENÈVE – PARTIE 2 : CONDAMNATION DES PRATIQUES DU SPMI ET DU TPAE
Il faut en finir avec la psychiatrisation à outrance de notre société, en particulier celle imposée aux familles, notamment pour enrichir les réseaux psychothérapeutiques. Les expertises psychiatriques sont d’une faible utilité réelle (elles servent même à remettre en liberté des assassins qui vont assassiner encore, c’est un grand classique…). En plus de l’obsession “thérapeutique” du SPMI, il faudra évoquer une autre fois le dossier de la maffia institutionnelle de la psychiatrie freudienne. En persécutant avec des « psychothérapies » douteuses et des rapports psychiatriques stigmatisants les familles déjà soumises à de nombreuses autres pressions qui génèrent la dénatalité dramatique des peuples occidentaux, les institutions liées à la « protection des mineurs » contribuent à la destruction des familles, qui constituent pourtant le socle de notre civilisation avancée. Décortiquons le cas précis de Genève. Nous allons voir que tous les réseaux clientélistes qui entrent en œuvre ont les atours d’une vaste PIEUVRE. Cet article est très long et il m’a fallu beaucoup de temps pour le rédiger, vérifier mes sources, interviewer des témoins. Mais il vaut la peine de le lire et de visionner ses liens, car en quelques minutes seulement, vous en apprendrez énormément. De petites erreurs sont possibles dans ce dossier épineux, vos remarques sont donc les bienvenues. A la fin, vous trouverez une liste de quelques solutions à envisager.
En été 2020, lorsque Chloé Frammery avait lancé un appel à rejoindre une manifestation autorisée contre les pratiques abusives du SPMI, qui avait réuni plus de 200 personnes le 23 juillet, j’étais loin de me douter qu’il puisse exister à Genève une entité étatique aussi délétère que ce Service de Protection des Mineurs. A la base, l’intitulé de ce Service évoque des notions louables. Mais je n’étais pas sans savoir que jusque dans les années 1970 en Suisse, l’organisation Pro Juventute, avec la complicité des autorités fédérales, avait orchestré des traumatismes sur près de 2’000 mineurs placés de force, abusivement arrachés à leurs parents, victimes de violences physiques, exploités comme main d’œuvre, notamment à la campagne. Reportage Tel Quel du 5 octobre 1984 :
https://www.rts.ch/archives/tv/information/tell-quel/5237728-enfance-volee.html https://fr.wikipedia.org/wiki/Pro_Juventute
Le SPMI en chiffres :
Actuellement, plus de 5’000 familles à Genève ont un dossier au SPMI et près de 670 mineurs sont placés en foyer ou dans des familles, soit plus d’un mineur sur dix harponné dans le collimateur de cette machine à broyer les familles, qui compte plus de 100 employés. Sur une année civile donc. Car il y a un taux de rotation : près de 300 nouveaux mineurs sont placés chaque année, pour près de 300 qui sortent d’un placement, par exemple lorsqu’ils atteignent leur majorité. Cela ne signifie pas pour autant la fin des problèmes pour eux et leurs familles. Plus de mille nouveaux dossiers sont constitués chaque année… Cela fait donc près 20’000 familles touchées à Genève en vingt ans… Il y a aussi la problématique de mères qui sortent de la maternité, privées de leur enfant, encore un dossier qu’il faudrait investiguer.
Bien sûr il y a des cas problématiques méritant d’être traités de manière juste et impartiale dans l’intérêt de certains enfants. Mais dans ce dossier, nous ne parlons pas de ces affaires manifestes de maltraitances ou de mise en danger d’enfants. Par contre, la multiplication des témoignages sur les abus du SPMI, main dans la main avec le Tribunal de Protection de l’Adulte et de l’Enfant (TPAE), est le premier indicateur d’un gros souci dans la pratique. Il est question de la majorité de ces milliers de familles qui n’auraient jamais dû se retrouver dans le rouleau-compresseur du SPMI, ainsi que de tous les placements abusifs, qu’il n’est bien sûr pas possible de chiffrer avec précision, tant en raison de l’opacité des dossiers que du fait que chaque cas est particulier. Mais selon un spécialiste, environ la moitié des placements seraient abusifs, l’autre moitié donc justifiée. Ce qui est certain, c’est qu’en 2018, sur 596 placements en foyer, seuls 132 l’étaient en accord avec les parents… En parallèle au placement, une autorité parentale restreinte est maintenue dans de nombreux cas, mais elle ne pèse pas lourd. Le SPMI peut décider de quantité d’affectations des enfants, quelle formation ils doivent poursuivre, etc.
Les abus du SPMI-TPAE ont été corroborés par les enquêtes de la presse locale ces dernières années, notamment de la Tribune de Genève, du Temps, du Courrier et de 20 Minutes. La confirmation définitive et officielle est arrivée en août 2020, à l’occasion de la condamnation des pratiques abusives du SPMI par la Commission des Droits de l’homme du Grand Conseil genevois. On parle donc de Genève, siège de l’ONU et plateforme internationale majeure des Droits humains, pas de Zootemingues-le-Haut. Cette condamnation repose sur le rapport de 267 pages RD 1364 / M 2661 / P 2068-A / P 2070-A, document officiel et public que vous trouverez en pièce jointe PDF.
Le SPMI se trouve sous l’égide du DIP, Département de l’Instruction Publique, dirigé durant dix ans par la tristement connue Anne Emery-Torracinta (parti socialiste). Les médias avaient épinglé Mme Torracinta pour de nombreux dysfonctionnements graves dans la gestion de plusieurs foyers ou le SPMI place des mineurs : celui de Mancy, de Clair-Bois et de Saint-Vincent, avec des enfants maltraités, du personnel malmené, sans parler de sa politique aux relents covidistes dans les écoles (muselières pour les élèves, tentative d’injections pseudo-vaccinales de masse, etc.). Nous avons aussi la valse des directeurs qui se succèdent au SPMI, dont certains ont un profil douteux. Pour un résumé des méthodes délétères de Mme Torracinta au DIP et de sa garde rapprochée, voici un article de la Tribune de Genève qui en dit long :
https://autisme-ge.ch/wp-content/uploads/2022/03/2022-03-12-Tribune-de-Geneve-Gestion-de-lecole-a-Geneve-–-Climat-deletere-au-Departement-de-linstructi.pdf
La condamnation des pratiques du SPMI émanait de représentants, dans la Commission, d’élus de partis politiques tant de gauche que de droite. Donc elle ne peut faire l’objet de suspicion de prise de position partisane. Elle est neutre, objective et factuelle. Cette condamnation pourtant sans appel des abus du SPMI-TPAE n’a donné suite à aucunes mesures et sanctions concrètes. Il s’agissait d’une condamnation purement « morale », sans effet impératif. Les méfaits du SPMI-TPAE se sont donc poursuivis depuis. Selon le témoignage d’un expert que j’ai recueilli, le rapport RD 1364 aurait pu aller encore plus loin dans la dénonciation de faits graves. Il s’agissait quand-même de ménager tout le microcosme politico-institutionnel pourri de la République Bananière de Genève (RBG), avec tous ses réseautages et accointances nauséeux, se couvrant les uns les autres pour maintenir leurs privilèges ou continuer à bénéficier de largesses, comme dans un Paris miniature. Une fois que les membres de la Commission avaient terminé leur rapport et que le défraiement pour ce travail fut encaissé, ils n’ont pas eu à cœur de se battre vraiment pour assurer le suivi de leurs constats et obtenir des résultats concrets pour que cessent les abus. Possiblement les membres de la Commission ont été mis sous pression afin qu’ils ne fassent pas de zèle. Tout le monde ne s’appelle pas Claus von Stauffenberg ou Erwin Rommel, des “complotistes”… A Genève, il n’y a pas d’association de parents assez forte et unitaire qui ait pu s’imposer, capable de faire pression sur la durée, d’organiser des manifestations régulières, etc. Il existe des dissensions au sein des quelques collectifs de parents qui apparaissent et disparaissent au fil des ans.
Témoignages anonymisés & agrégés :
J’ai pu interviewer divers témoins victimes d’abus du SPMI-TPAE et les sources diversifiées sont concordantes. Aucune histoire précise ne sera évoquée, afin de préserver les intérêts des personnes concernées face aux pressions dont elles font l’objet. Pour des exemples concrets, voyez ce que vous pouvez apprendre de votre entourage ou dans des articles sur internet : vous trouverez quelques liens plus bas.
Le point commun qui ressort, outre les méthodes citées de constitution des dossiers souvent iniques à charge, est que plus les victimes résistent pour défendre leurs droits légitimes, plus cela va exciter les agents du système, qui vont enfoncer leurs crocs tels des molosses enragés qui aiment le goût du sang ou de la persécution judiciaire. Dans certains cas, les sommes perdues par les parents en frais d’avocats et autres circonvolutions administrativo-psychiatriques peuvent s’élever à plusieurs dizaines de milliers de francs, voire davantage. Les parents victimes ont tous les profils, des gens de classe modeste, moyenne ou aisée. Ainsi, même avec le soutien d’un avocat, voire de plusieurs avocats, le TPAE ne desserre pas son emprise. Certains parents se résignent et sombrent dans la dépression, ce qui leur vaut des rapports psychiatriques défavorables, d’autres se battent tels des Don Quichotte, ce qui leur vaut également des dossiers psychiatriques défavorables…
Mode de fonctionnement du SPMI-TPAE :
En gros, le doublon SPMI-TPAE agit en miniature comme un système stalinien, orwellien, de la Stasi, etc., sans violence physique directe (torture, exécution), mais avec de la violence psychique et la sourde brutalité juridico-institutionnelle. Dans certains cas (à l’image de ce qui se passe en France), de jeunes enfants sont arrachés de force à leurs familles, avec l’intervention musclée de cinq ou six policiers encadrant les sbires du SPMI et des ambulanciers, également sur place dans leur école. Des policiers ont exprimé leur embarras d’être mobilisés de la sorte. On a le cas d’un garçon de 11 ans arraché à sa famille par la police en 2020, contre son gré et qui en 2022 a fugué du foyer, porté disparu pendant 10 jours… Et s’il était mort ? Quid de la responsabilité pénale de ceux qui ont commandité son placement abusif en foyer ?
En omettant la torture et les bûchers, les ressorts psychologiques des tortionnaires institutionnels et les rouages qu’ils mettent en branle, à divers échelons de gravité ─ de la complicité passive aux persécuteurs les plus acharnés ─ s’apparentent en partie à ceux de l’inquisition catholique ou de la chasse aux sorcières protestante. Les tortionnaires d’il y a trois ou quatre siècles ont eu de la descendance, donc le parallélisme fait sens et s’explique, du point de vue de l’hérédité biologique et de la transmission de tares morales de génération en génération. Ce sont les conditions cadre culturelles et politiques qui ont évolué depuis. Aux rouages du totalitarisme des institutions chrétiennes et féodales de jadis se sont substitués les rouages des institutions de la psychiatrisation à outrance, des lobbies de la prédation capitaliste et du néo-marxisme ambiant (dictature pseudo-féministe, pseudo-anti-raciste, wokiste, etc.).
A la base, des dossiers, souvent incomplets, tendancieux, voire mensongers, sont constitués sur les enfants par les diverses antennes du système. Par exemple les conseillers sociaux, psychologues, infirmières, équipes de direction dans les écoles, des voisins malveillants. Ou encore des policiers intervenant lors d’une dispute conjugale et sortant des rapports partiaux, automatiquement transmis au SPMI. J’ai également appris de source sûre, qu’en cas de divorce ou de séparation, l’information était automatiquement transmise au SPMI… Lorsqu’un divorce ou une séparation ne sont pas prononcés à l’amiable, des expertises psychologiques obligatoires ou autres séances de “thérapie” sont imposés aux enfants dans 90% des cas et l’obligation s’étend en général aux frères et sœurs et aux parents. C’est le début de l’engrenage, qui peut virer au cauchemar. Dans certains cas, cela peut aller à une consultation “thérapeutique” par semaine et par membre de la famille durant deux ou trois ans… A raison de 155.– à 200.– la séance, cela peut faire jusqu’à 3’600 francs pour une famille de quatre enfants, aux frais de la collectivité via l’assurance maladie obligatoire et donc 10% à charge de la famille. Ce n’est pas ainsi que l’on fer abaisser les primes de l’assurance maladie obligatoire… Malgré tout, des enfants qui veulent rester avec l’un de leurs parents sont placés de force en foyer.
« Lorsque le ou les parents contestent une décision du Tribunal ou vont à l’encontre des souhaits du SPMI, le Tribunal, sur suggestion du SPMI, peut ordonner une expertise psychiatrique. L’objectivité de ces expertises doit être questionnée, puisque l’expert prend généralement langue avec le SPMI, voir le tribunal et l’avocat d’une des parties. Elles sont considérées par les observateurs neutres comme arbitraires, stigmatisantes, remplies d’affirmations non vérifiables et contestables, dénuées de bases scientifiques et médicales. Elles posent un diagnostic et proposent un traitement adapté aux demandes et aux pratiques de la Justice, la plupart du temps en contradiction avec les réels besoins de soutien des parents et des enfants. Ainsi, des diagnostics sont posés par des psychiatres de l’Etat, travaillant pour l’Etat, sur des personnes n’ayant jamais eu d’antécédents dans le domaine psychiatrique. Ces expertises peuvent augmenter la souffrance et le désespoir. Les contre-expertises ne sont ni liées aux intérêts de l’Etat, ni aux demandes spécifiques des tribunaux. Elles présentent généralement des diagnostics, des conclusions et des suggestions qui vont dans le sens de l’amélioration du patient, en parfaite opposition avec l’expertise officielle. Elles sont généralement refusées par les Tribunaux. Afin de faciliter la prise de décisions, la Justice civile utilise malheureusement encore ce système inique digne des méthodes de l’ex-URSS. De nombreuses voix s’élèvent pour y mettre un terme. (…) Des juristes relèvent que de nombreuses interventions sont à considérer comme des infractions au code pénal, soit l’art. 181 CP sur la contrainte, l’art. 307 CP sur le faux témoignage et l’art. 312 CP sur l’abus d’autorité, ainsi que d’autres délits. » Collectif du Printemps de l’Egalité Coparentale en Suisse (PECS), extraits du RD 1364, Annexe 8, pages 261 à 267.
A chaque étape de transmission de données partiales, lacunaires, tendancieuses ou malveillantes, des antennes vers le SPMI et, le cas échéant, lors de la transmission du SPMI aux juges du TPAE, les dossiers sont gonflés à charge pour donner une vision de plus en plus décalée des réalités familiales. A la première étape, la case parents est souvent court-circuitée. Cela se passe dans leur dos, par des personnes ne les ayant parfois jamais rencontrés. Comme pour la chasse aux sorcières, comme chez les communistes du 20e siècle, qui inspirèrent Orwell. Parents et/ou enfants apparaissent artificiellement sous un jour de plus en plus sombre et ce sont ces dossiers tronqués, tendancieux et unilatéralement à charge qui atterrissent sur les bureaux des juges du TPAE genevois, qui sont neuf au total : quatre pour les adultes, trois pour les enfants et deux mixtes. Tous ces juges sont tacitement élus au suffrage universel, sur la base des listes restreintes proposées par les partis politiques. Pour être juge à Genève, il faut donc quasi-obligatoirement être membres d’un parti politique… C’est fabuleux pour « l’indépendance de la Justice »… Mais il en va ainsi en RBG. Pour le moment encore.
Les dossiers au sein du Moloch SPMI sont donc constitués à charge uniquement. Tout est fait pour piéger, intimider. Les témoins à décharge, même importants, tels que des maîtres de classe ou des pédiatres, peuvent être carrément ignorés dans les dossiers… A l’inverse, des antennes ne connaissant même pas personnellement une famille viennent parfois se greffer à charge… Les fonctionnaires, pseudo-experts et magistrats qui manipulent ces dossiers ne jouent pas cartes sur table. Ils contreviennent au devoir éthique de franc-jeu, de confiance mutuelle, d’échange constructif, de recherche de solutions commune, de bienveillance, de confiance, de droiture, propre aux valeurs les plus fondamentales de notre civilisation et des bases de son vivre-ensemble. A la place, ils agissent en manipulateurs, fourbes et obséquieux avec leurs relents de réseaux de copinage et d’autocratie propres à nombre de personnes dépositaires de bribes de l’autorité publique. Mais l’autorité suprême, en démocratie, c’est nous, le Peuple souverain, même si cela ne signifie rien pour les échelons inférieurs des castes, ceux qui sont au contact de la population.
Les méthodes d’interrogatoire des familles dans les bureaux du SPMI se font à charge, avec des techniques de manipulation cognitive assortie de menaces juridiques, de prise en défaut et de grossissement de la moindre faille due au stress ou de retournement du sens des propos, comme le faisaient les commissaires politiques sous Staline ou Honecker. Ce qui manque, ce sont les électrodes, les coups de poings au visage ou la tête enfoncée dans la bassine. Certains interrogateurs (nommés intervenants en protection de l’enfant) sont plus coulants que d’autres en surface, mais participent tous à la même finalité. Le système du SPMI est profondément malsain. Au prétexte qu’il existe des cas réels d’enfants en danger, les collaborateurs, avec la complicité de certaines de leurs antennes peu scrupuleuses, sont dressés à pister les familles avec peu ou pas de problèmes pour générer des dossiers parfois extravagants. Ces pisteurs doivent évidemment fournir des « résultats » à la hiérarchie…
Qu’il s’agisse d’employés rémunérés par l’Etat ou de psychologues et psychothérapeutes indépendants, tous les rouages et antennes ont un intérêt financier direct dans le réseau. Plus ils font du zèle, plus ils chargent un dossier, plus ils se renvoient entre eux les « patients » mineurs, plus ils engrangent de chiffre d’affaire ou justifient leur poste de travail. Les prix pour une heure de consultation en psychothérapie sont astronomiques, de 155.– à 200.–, ne justifiant pas l’investissement lors de la formation universitaire. L’activité de psychothérapeute réclame beaucoup moins de compétences et de responsabilités que le métier de chirurgien, les séances sont souvent de piètre qualité, avec du bla-bla et des jeux idiots pour les enfants. Bien sûr cela fait gonfler encore plus le montant des primes d’assurance maladie. On m’a signalé à Genève le cas d’une ex-employée du SPMI, devenue juge assesseur, Laurence Bagnoud-Roth, psychologue et Psychothérapeute FSP, puis ayant fondé THERAPEA, consultations familiales, conjugales et individuelles. Elle y dirige une équipe de huit femmes psychologues, psychiatres, psychothérapeutes, etc. https://www.therapea.ch/les-thérapeutes
Mis à part l’abus en général de ce type de services dans nos sociétés occidentales dégénérées en voie de disparition démographique, là où le bât blesse, c’est que le CURML (Centre universitaire romand de médecine légale), chapeauté par Marina Walter-Menzinger, qui est l’unique l’experte psychiatrique sur laquelle les cinq juges pour mineurs fondent leurs avis (!!), envoie systématiquement les enfants en “thérapie” au centre THERAPEA… La connivence est manifeste et nous reviendrons sur ce fameux CURML plus loin.
Certains praticiens cherchent à être vraiment indépendants et bienveillants pour le bien-être d’enfants en souffrance, mais sans diplôme spécifique en psychothérapie, leurs prestations ne sont pas remboursées par les caisses.
A l’échelle des administrations, comme le SPMI, les demandes d’affectations de nouveaux crédits publics font partie des tares étatiques : on doit toujours épuiser les crédits, faire croire qu’on a besoin encore et toujours de ressources supplémentaires, en générant artificiellement une masse de travail inutile ou nuisible. Genève connaît le taux de fonctionnaires le plus élevé de Suisse : 19’000 fonctionnaires cantonaux pour 520’000 résidants légaux, soit 5% des 15-64 ans, sans compter les fonctionnaires municipaux et fédéraux. Mille par jour en moyenne se font porter malades, soit également le taux le plus élevé de Suisse. Si les enseignants sont extrêmement sollicités et premières victime de burn-out avec les policiers, beaucoup dans les bureaux se la coulent douce, tandis que d’autres se tuent à la tâche. Ainsi on fait gonfler les effectifs des institutions publiques, comme le SPMI, telles des Molochs. Le système s’engrange par lui-même et parasite la société, financièrement parlant. Et pourtant, je ne suis pas un ultralibéral anti-Etat, je suis pour une fonction publique neutre, juste et proportionnée. Bien sûr, les fonctionnaires du SPMI se plaignent de « manque d’effectifs » de « stress » et de « surcharge de travail ». Cela est plausible, tel un organisme étouffant dans son propre vomi. Eh bien il faut réduire de manière drastique le nombre de dossiers traités abusivement… Il faut purger la bête immonde jusqu’aux tréfonds de ses intestins vermoulus ! Il y aurait aussi la métaphore de Mr. Créosote : https://www.youtube.com/watch?v=n_z_mnSSmQgPar la case des juges – Tribunal de Protection de l’Adulte et de l’Enfant (TPAE) :
En résumé, ce sont les intervenants en protection de l’enfant du SPMI et leur hiérarchie qui implémentent le contenu souvent partial des dossiers et le TPAE agit juste comme une chambre d’enregistrement des conclusions, qui tape du marteau pour enfoncer “légalement” le clou de la menace ou des sanctions… En prononçant une ordonnance, le ou la juge n’aura dans bien des cas même pas vu ou entendu personnellement les membres d’une famille… La froideur inhumaine de ce système hors-sol qui vomit ses ordonnances sur les honnêtes citoyens est totale.
Parmi les neuf juges du TPAE, dont cinq en charge complète ou partielle des mineurs, un nom qui revient régulièrement est celui de la juge Isabelle Uehlinger Al Sarahin, ex-avocate, membre (discrète) des Verts depuis 2018. En résumé, les témoins lui reprochent un acharnement particulier dans le traitement des dossiers, qu’elle connaîtrait mal. On lui reproche de ne pas travailler ses dossiers, de prendre des décisions à l’emportée, sans précautions. La juge empêcherait les personnes convoquées d’être accompagnées aux audiences, alors que c’est un droit. La raison serait qu’ils ne veulent pas de témoins, car les PV pourraient s’avérer inexacts, orientés ou incomplets. L’intervention d’avocats s’avérerait inefficace, notamment car la juge ne tiendrait pas compte des expertises externes. L’ensemble de ces procédés aurait les atours d’un Tribunal d’exception, ce qui est pourtant interdit par la loi suisse.
En 2017, suite à un audit de la Cour des Comptes (CdC) et du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM), le président du TPAE, Philippe Gunz (PLR) et la vice-présidente, Isabelle Uehlinger Al Sarahin (Les Verts), ont été destitués de leurs fonctions. Avant d’être élue tacitement juge, Isabelle Uehlinger travaillait comme juriste au Service social international, un lobbie pro-migrants, spécialisé dans les mineurs non accompagnés. Cette institution privée touche 350’000 francs de subventions par an, octroyés par l’Etat de Genève… Cette dame s’avère être une militante pro-immigrationiste très engagée, qui voudrait importer en Europe un maximum d’enfants extra-européens. Ainsi, au colloque national des mineurs non accompagnés en Suisse du 15 février 2006 à l’Université de Berne, elle déclarait : « Car aujourd’hui, à mon sens, les perspectives économiques et démographiques de la Suisse ont changé et laissent de plus en plus entrevoir le besoin, pour notre pays, de s’ouvrir à l’immigration. Force est dès lors de constater que ce n’est pas faire preuve d’angélisme que d’affirmer que l’arrivée de jeunes migrants ne constitue pas nécessairement une charge ou un danger pour notre pays, mais bien plutôt une chance de ralentir, voire d’inverser une tendance. Pour ma part, c’est sur ce gain que représente la migration que je veux parier. »
Comme les autres juges, Isabelle Uehlinger Al Sarahin se baserait uniquement sur les avis de l’experte maison déjà mentionnée, Marina Walter-Menzinger, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie forensique d’enfants et d’adolescents, active au Centre universitaire romand de médecine légale (CURML). Un collectif de parents avait déposé plainte contre cette dernière, car elle produirait des diagnostics tendancieux afin de justifier les placements dans des foyers. Une expertise et un audit avaient été diligentés en 2019 par les HUG (Hôpitaux Universitaires Genevois) et Mauro Poggia, en charge à l’époque du département de l’Emploi et de la santé. Selon le journal Le Temps, elle a été blanchie de ces accusations. Selon le journal Le Courrier en revanche, l’audit révèle de lourdes failles (pièce jointe A1). En conséquence, Mauro Poggia avait institué une procédure de contrôle, à savoir la validation des expertises par un psychiatre pour adultes. Mais on a appris que depuis, Marina Walter-Menzinger fait appel à ces validations par un expert tiers en tant que mandataire. En résumé, c’est son service qui paie les validations, ce qui laisse peu de place à l’indépendance de l’autre expert… Il est aussi reporté que dans certains cas, elle aurait produit des expertises sans signature, donc suspicion de faux. Quant aux deux expertise / audit, ils sont mis en cause par des spécialistes du dossier. Entre autres points, l’expertise émanait d’un contact direct de Marina Walter-Menzinger, à savoir Christian Perler (Université de Bâle). Quant à l’audit effectué par deux Parisiens, le Dr. Pierre Lévy Soussian et le Dr. Gérard Lopez, des suspicions de collusion furent également émises. Vous trouverez ces audits à la fin du fameux rapport RD 1364 en pièce jointe, émanant de la Commission des Droits de l’Homme du Grand Conseil genevois : Annexe 1, pages 139 à 170 et Annexe 2, pages 171 à 254.
Si la portée de l’expertise et l’audit ont été minimisés, c’est selon un témoin, du fait que Bertrand Levrat, le directeur général des HUG, est en très bons termes avec Marina Walter-Menzinger. En effet, il est le parrain de ses deux enfants… Dans le journal Le Courrier, on apprend par ailleurs qu’une plainte pénale est en cours contre Marina Walter-Menzinger, émanant d’un collaborateur des HUG. On en saura peut-être davantage prochainement. La récente augmentation salariale de 70’000 francs accordée à Bertrand Levrat par Mauro Poggia (donc nouveau salaire annuel : 450’000 francs), fait l’objet d’une autre polémique : https://www.rts.ch/info/regions/geneve/14066139-laugmentation-salariale-de-70000-francs-du-directeur-des-hug-suscite-la-controverse.html
On citera à la page 30 du rapport RD 1364 : « Les parents relèvent le fait qu’aucune aide n’est apportée aux familles et aux parents en difficulté, mais que, au contraire, ils sont rabaissés et menacés par le SPMi. M. Ammane souligne que les expertises comportent des copier-coller et présentent constamment les mêmes diagnostics. Il précise que le CURML, plus particulièrement un seul médecin, est l’auteur de toutes les expertises. Il indique qu’une contre-expertise ne peut pas être demandée, car personne n’ose se battre contre le CURML. Il relève que l’expertise est la seule mesure administrative contre laquelle il n’est pas possible de faire recours. Il indique que les expertises recommandent toujours une thérapie au sein du centre Therapea, qui, lorsque les parents se présentent, indique que le trouble de la personnalité mixte est incurable. Il mentionne que les parents ne disposent donc d’aucun moyen de récupérer leurs enfants, étant précisé qu’aucun autre accompagnement ne leur est proposé. »
Mis à part les accusations d’incompétence et d’acharnement judiciaire et son « pari » que l’immigration de masse est une chance pour l’Europe, aucune affaire illicite à notre connaissance ne peut être imputée à la juge Isabelle Uehlinger Al Sarahin, aucune rumeur particulière ne court à son sujet, les témoins la décrivant comme un personnage très discret au plan personnel et public. De prime abord, elle est plutôt d’aspect doux et très gentille, très suisse…
Mais selon les témoignages que j’ai recueillis, Isabelle Uehlinger Al Sarahin ne semble pas être la pire des cinq juges pour mineurs, qui se vaudraient tous : Emmanuelle de Montauzon, Pierre-Alain Chatelan et Silvia Tombesi. Mais c’est Anne-Catherine Bühler (UDC), qui cristallise le plus de critiques. Elle gère tant les dossiers de mineurs que de majeurs, dont de nombreuses personnes âgées. Dans un article du 26 mai 2019, elle nie tout en bloc : https://www.letemps.ch/suisse/geneve/on-ne-suit-aveuglement-expertises-psychiatriques
Anne-Catherine Bühler fait l’objet d’une attention particulière et de lourds ressentiments dans les commentaires sur les réseaux sociaux. Est-ce en raison de son appartenance à l’UDC ? Cela peut être une explication partielle, mais du moment qu’ont connaît les dessous inquiétants du TPAE, on ne s’étonne guère. Voici quelques commentaires que l’on trouve sur les réseaux sociaux, qui ne correspondent pas obligatoirement à la vérité, mais indiquant pour le moins une tendance :
« Anne-Catherine BÜHLER, parti UDC, vice-présidente du Tribunal de Protection de l’Adulte et de l’Enfant depuis plus d’une année. Présidente de la 5ème Chambre mixte adultes et enfants. Une ex-avocate qui a postulé à la fonction publique. Son maître de stage avocat est nommé curateur de personnes qui ont toute leur capacité de discernement et s’accapare leur AVS directement sur le compte de son Étude, en toute impunité. Les dossiers sont nombreux où des justiciables lésés attendent des décisions judiciaires. Pendant les heures de bureau, au Tribunal, elle se prend des selfies tel Narcisse. Pendant ce temps, les justiciables attendent, attendent, attendent… »
https://www.facebook.com/1324441964284331/posts/2855797444482101/
« Elle part du principe que le parent est maltraitant, qu’il est focalisé sur sa propre souffrance. Elle dit être à l’écoute des souffrances de l’enfant. Mais dans une majorité des cas, l’enfant n’est pas entendu. Un enfant placé est par définition un enfant traumatisé, peut-être même à vie. Elle est incapable de se remettre en question. Si elle ne peut changer son mode de fonctionnement, alors c’est elle qui doit être remplacée. » https://www.facebook.com/CuratellesGE/posts/3198816790180163/
« Anne-Catherine Bühler n’est autre que l’ex-stagiaire de l’avocat Mike Hornung, elle le couvre systématiquement dans toutes ses malversations. La loi sur la procédure administrative du canton de Genève (LPA) Art.15 A, lettre f ; précise qu’un magistrat doit se récuser s’il entretien une relation d’amitié ou d’inimitié avec l’une des parties concernées, cela n’empêche pas pour autant Madame la “Présidente” Anne-Catherine Bühler de ne pas tenir compte de la loi et de confier de nombreux mandats de curatelle à son ex-maître de stage. Le nombre de personnes âgées lésées par ce magistrat et son ex-maître de stage ne se comptent plus. Ces deux individus devraient normalement – au regard de toutes les malversations qu’ils commettent – se trouver actuellement en prison. Les témoins et plus particulièrement les personnes âgées qui peuvent le confirmer ne manquent pas. Apparemment, cela ne dérange personne à Genève et surtout pas Monsieur le Procureur général qui pourtant est au courant… »
https://www.facebook.com/CuratellesGE/posts/3264304790298029/
Contextualisation politique :
Les tares systémiques que nous décortiquons ici s’inscrivent bien sûr dans le cadre plus large de la volonté politique de destruction de la famille traditionnelle et des racines des peuples, voulue par l’ultra-libéralisme cosmopolite et son pendant du néo-marxisme culturel. D’un côté, ces prédateurs civilisationnels constatent froidement que les taux de natalité occidentaux sont déficitaires, donc qu’il manquerait de personnel toutes catégories à exploiter, donc qu’il faudrait importer massivement des ressortissants extra-européens, de préférence afro-musulmans, de préférence mineurs. Mais les extrémistes susmentionnés font tout pour casser justement la volonté des adultes occidentaux à avoir des enfants. Et ceux qui en ont quand-même sont écrasés de règlements et de contraintes de plus en plus complexes et chronophages, d’impôts, de pénuries de logements abordables, etc. Le nouveau corpus social occidental tient à s’approprier culturellement et mentalement les enfants, en les gavant d’idéologies dissolvantes (avortements de masse, wokisme et tout le tralala), en partie via l’école, en partie via les autres réseaux sociétaux. Et si cela ne suffit pas, on menace ou persécute encore les parents via des institutions destructrices telles que le SPMI-TPAE.
Le degré d’ingérence du SPMI dans la vie privée est ubuesque et contrevient aux principes de liberté individuelle et de liberté d’éducation qui régissent notre civilisation, notre morale et donc notre Droit. L’autorité parentale se voit ainsi sérieusement remise en question. Les parents tendent à prendre peur d’imposer de justes mesures éducatives. La gifle pédagogique risque bientôt de devenir une infraction pénale en Suisse, comme c’est déjà le cas dans les pays voisins. Certains enfants sont ainsi encouragés à profiter de la situation, voir à pratiquer de la délation abusive contre les parents, comme cela s’est vu aussi dans les dictatures communistes, au sein des Jeunesses hitlériennes ou chez les mollahs. Les jeunes ados sont malins. On oublie trop facilement que ceux des enfants et ados qui se comportent déjà de manière délétère, qui mobbent leurs camarades, qui les tabassent, qui mentent comme ils respirent, ne sont que de futurs adultes pourris en devenir, préparés à assurer le relai dans les rouages qui font de l’humanité l’espèce épouvantable qu’elle est. Des mères seules peuvent aussi subir de la violence psychique et physique de la part de leurs enfants/ados, mais se retrouvent dépourvues, débordées et désespérées face à leurs rejetons tyranniques. En prime, les médias dégénérés offrent aux enfants et ados d’innombrables échos des chemins de la déviance sociétale dans lesquelles ils sont invités à s’engouffrer. Tout cela mis bout à bout ne fera qu’aggraver des problèmes préexistants dans le psychisme de certains jeunes. Pour des raisons parfois communes, parfois divergentes, la gauchiasserie wokiste et toute la superstructure capitalisto-institutionnelle, dont le SPMI est l’un des rouages, feront tout pour « défendre » les enfants contre leurs parents.
Concernant les procédures iniques du TPAE, notamment celles consistant à refuser d’office toute expertise indépendante fournie par la partie civile ou émanant d’un pays étranger et de ne se baser que sur les expertises du CUMRL, elles contreviennent aux principes du Droit fondamental. En Droit véritable, on peut fournir toute preuve ou document utile, c’est une évidence. Alors d’où le TPAE s’arroge-t-il le droit d’instaurer de telles procédures ? Il s’agit probablement d’un système auto-alimenté et clientéliste, avec un manque de contre-pouvoirs légaux, favorisé par les partis politiques se soutenant mutuellement pour préserver des avantages communs et il manque de juristes compétents et autonomes ayant la volonté de se battre pour faire changer la donne. Pourquoi ce scandale n’est-il pas dénoncé à la Cour européenne des Droits de l’Homme ? Il faudrait taper un grand coup dans la fourmilière de la RBG. Berne devrait faire le ménage à Genève, mettre le canton sous tutelle fédérale, dessaisir de nombreux magistrats, hauts fonctionnaires et membres du Conseil d’Etat, poursuivre les anciens.
Aucune rumeur n’accrédite, en ce qui concerne Genève en tous cas, un lien direct entre le SPMI-TPAE et les réseaux pédocriminels. Selon un observateur ayant une formation accréditée en psychologie, la majorité des responsables œuvrant au sein des institutions incriminées (et dans la politique en général) auraient un profil de sociopathes, voire de psychopathes, étant entendu que ces personnes peuvent avoir un comportement normal, voire aimable en surface et en certains contextes publics (ce qui est typiquement suisse d’ailleurs, avec cette espèce de politesse excessive et hypocrite que nous connaissons bien, à l’opposé des requins parisiens tout aussi pourris, mais suintant de la muflerie hautaine adéquate). Mais psychopathe ne signifie pas automatiquement pédophage. En revanche, pour ces psychopathes, si l’affirmation de leurs obsessions carriéristes doit passer par des œufs cassés, en l’occurrence des familles persécutées ou des mineurs enlevés à leur parents, mal placés en foyer ou autres structures et qui vont finir par tomber, indirectement, dans les filets de la grande toile pédocriminelle, alors ils s’en lavent les mains. Les psychopathes de service ne sont pas légalement incriminés pour les dégâts collatéraux qu’ils causent. Ceci-dit, rien ne permet d’assurer que des Services de protection des mineurs (et les cadres du DIP plus globalement), à Genève ou ailleurs, via des individus non-identifiés ayant réussi à cacher leurs manigances, ne sont pas quand-même liés à des réseaux pédocriminels. La probabilité est même très élevée selon les pays, même si ce n’est pas forcément le cas à Genève. La seule chose certaine, au niveau de la France par exemple, est que sur les trente dernières années, les médias nationaux ou locaux ont informé, discrètement, sur l’implication d’au moins sept ou huit juges et magistrats dans des affaires pédocriminelles plus ou moins lourdes, sans lien direct entre elles, moyennant des sanctions relativement légères infligées de la part de leurs collègues magistrats… Ce ne sont donc pas des rumeurs ou des hypothèses de travail, mais des faits.
Liens utiles :
Il existe un groupe Facebook intitulé SPMi/TPAE L’envers du décor. Des mots sur des maux par les familles broyées, que l’on peut rejoindre :
https://www.facebook.com/groups/2242138495829715/
RTS : Séparés de leur enfant suite à une expertise psy, des parents s’alarment. A Genève, un collectif de parents ayant perdu la garde de leur enfant suite à une expertise psychiatrique alerte sur de possibles dysfonctionnements du Centre Universitaire Romand de médecine légale. Une médecin des HUG a fait l’objet d’une enquête. 5 mai 2019. https://www.rts.ch/info/regions/geneve/10411388-separes-de-leur-enfant-suite-a-une-expertise-psy-des-parents-salarment.html
LE TEMPS – Garde d’enfant à Genève : des avocats accusent. Des avocats en droit de la famille s’insurgent contre les méthodes du Service de protection des mineurs et les expertises psychiatriques. Ceux-ci conduiraient trop souvent à priver les enfants d’un de ses parents, par parti pris. 11 juin 2019.
https://www.letemps.ch/suisse/garde-denfant-geneve-avocats-accusent
LE TEMPS – Le SPMI peut être trop facilement instrumentalisé. Le député socialiste Cyril Mizrahi estime que le Service de protection des mineurs est trop radical dans le placement des enfants ou le retrait du droit de garde, lors des séparations conflictuelles. Ses pistes de réflexion pour éviter que la machine étatique ne broie les personnes. 17 juin 2019. https://www.letemps.ch/suisse/geneve/spmi-facilement-instrumentalise
LE TEMPS – Si je dois aller en foyer, je fuguerai. A 16 ans, une Genevoise est menacée de placement, alors qu’elle veut continuer à vivre chez son père. Au motif que celui-ci aurait aliéné la mère aux yeux de ses enfants. Témoignage. 26 février 2020. www.letemps.ch/suisse/geneve/dois-aller-foyer-fuguerai
LÉMAN BLEU TV : La saga du SPMI. Vidéo Les retraits de garde, un dispositif à repenser. 25 août 2020.
https://www.lemanbleu.ch/fr/Actualite/Archives/Retour-sur-la-saga-du-SPMI.html
20 MINUTES – Aide à l’enfance dénoncée pour ses procédés brutaux. Neuf adultes dont quatre policiers ont mené à l’hospitalisation d’un garçon en détresse. Cette violence choque sa mère. 8 octobre 2020.
https://www.20min.ch/fr/story/aide-a-lenfance-denoncee-pour-ses-procedes-brutaux-965042948710
20 MINUTES – Témoignages glaçants sur les enfants maltraités du foyer de Mancy. D’anciens employés racontent le sort réservé aux jeunes autistes par une partie du personnel de l’institution de Collonge-Bellerive. 28 janvier 2022.
https://www.20min.ch/fr/story/temoignages-glacants-sur-les-enfants-maltraites-du-foyer-de-mancy-962528451661
RTS : Après Mancy, le foyer genevois de Clair-Bois est accusé de maltraiter ses résidents. 1er mars 2022.
https://www.rts.ch/info/regions/geneve/12905883-apres-mancy-le-foyer-genevois-de-clairbois-est-accuse-de-maltraiter-ses-residents.html
RTS : Graves dysfonctionnements révélés au sein du foyer genevois Saint-Vincent. Après les cas de maltraitances dans les foyers de Mancy et de Clair-Bois à Genève, d’anciens employés et pensionnaires décrivent une gestion chaotique de l’établissement, gangrenée par la violence. 8 mars 2022.
https://www.rts.ch/info/suisse/12923023-graves-dysfonctionnements-reveles-au-sein-du-foyer-genevois-saintvincent.html
UDC-GENÈVE : Hallucinant. On tombe de sa chaise en écoutant les experts évoquer les conclusions de leur enquête au sujet du Foyer de Mancy, là où de jeunes autistes ont subi diverses maltraitances. 3 mars 2022.
https://www.udc-ge.ch/publication/foyer-de-mancy/
AUTISME-GENÈVE : Compilation de nombreux articles de presse et vidéos utiles et actualisés.
https://autisme-ge.ch/presse-actualite/
LES SOLUTIONS QUE JE PRÉCONISE :
Nos ancêtres ont réussi à faire table rase de la chasse aux sorcières. Alors on peut bien en finir avec les abus du SPMI-TPAE. Nous reprochons aux Italiens du Sud de ne pas savoir se débarrasser de la Maffia, de la Cammora et autre ‘Ndrangheta. Alors montrons que nous pouvons lutter efficacement contre la pieuvre des réseaux psychologistes et de « protection » des mineurs et des adultes, du moment que la mise sous tutelle par Berne du Canton de Genève s’avère être illusoire par rapport au Droit confédéral et Berne étant vermoulue également :
– Remobiliser et unir les collectifs de parents.
– Remobiliser les médias.
– Renforcer les partenariats avec les avocats et juristes défendant la cause des familles.
– Faire du travail de réinformation auprès des députés afin de les mobiliser pour la cause au moment où il s’agira de voter. En effet, le but n’est pas de bouter le feu aux bâtiments concernés ou de défenestrer les responsables, on n’est pas à Prague en 1618.
– Contacter des anciens de feu le Parti Populaire Genevois, à savoir Pascal Spuhler et Dominique Gamberoni, qui avait lancé une pétition intitulée SPMI : Une institution qui doit être revue et corrigée ! qui avait rassemblé 121 signatures manuscrites et 1’269 signatures électroniques, cf RD 1364, pages 135 à 137.
– Convaincre l’UDC et le MCG de se lancer dans cette bataille de reconquête civique et tout autre mouvement ou personnalité politique de gauche ou de droite. L’UDC a les moyens de lancer une pétition de grande ampleur, en partenariat avec d’autres mouvements, notamment ceux issus de la résistance au covidisme. Une initiative pourrait également être lancée, de même que des motions de la part de députés. L’UDC devrait sérieusement se poser la question sur le maintien en tant que membre de la juge Anne-Catherine Bühler. Elle n’est pas une membre active. Elle a juste besoin d’un parti pour pouvoir être élue tacitement juge. Pour être représenté, l’UDC pourrait dénicher à sa place un ou une juge intègre et à défaut, il n’est pas indispensable de se compromettre via un représentant dans l’état actuel du TPAE.
– Le moment venu, dissoudre par voie légale le SPMI, fondé en tant que tel en 2007 par la fusion du Service du tuteur général et du Service de la protection de la jeunesse.
– Transférer une partie des dossiers brûlants et urgents à la Brigade des Mineurs.
– Révoquer la totalité des neuf juges du TPAE et de leurs équipes, engager à leur encontre les poursuites pénales qui s’avèrent justifiées.
– Faire le ménage au sein des HUG et autres services psycho-pédo-pédiatriques affiliés au réseau.
– Au moyen d’une équipe neutre, compétente et indépendante, trier entre les placements de mineurs abusifs et les placements justifiés.
– Libérer les enfants abusivement placés et verser des dommages pour tort moral aux familles victimes.
– Implémenter des poursuites pénales contre tous les acteurs du système où cela se justifie, assorties, le cas échéant, de peines privatives de liberté et calculer des dommages et intérêts qui serviront à indemniser les victimes.
– Casser les liens abusifs avec les réseaux pédopsychiatriques qui s’en mettent plein les poches au détriment de la collectivité.
– Etudier et étendre les dix-sept recommandations formulées par la Commission des Droits de l’Homme du grand Conseil genevois.
– Sur cette base, recréer de toutes pièces un service social neuf, dédié au soutien des familles et des enfants en réelle difficulté, avec de nouvelles têtes, vierges de tout soupçon de collusion avec les équipes précédentes. Le but de ce service sera de permettre le soutien aux familles réellement en difficulté, pour la recherche de solutions en partenariat avec les familles, respectées, incluant de la médiation si nécessaire, le tout sur une base volontaire. Il sera exclu de systématiser l’ensemble des démarches dans l’approche, ubuesque, de la contrainte et des menaces via des procédures de Droit civil, comme c’est le cas actuellement. Seuls les cas graves et manifestes de mise en danger de mineurs ou d’adultes, avec tous les garde-fous qui s’imposent, pourront faire l’objet d’une procédure civile, dûment encadrée par des contre-pouvoirs réels. Quant aux mineurs criminels, en collaboration étroite avec la brigade des mineurs, il faut renforcer les sanctions pénales à leur encontre, afin que cesse le sentiment d’impunité de ces racaillons qui terrorisent leurs familles, leurs voisinages et leurs assistants sociaux et commettent des braquages, sinon un jour, quand il y aura à Genève moins de sous à distribuer dans le social, on finira comme dans les banlieues de Lyon ou de Grenoble. On a déjà tourné, début 2023, au nez et à la barbe des magistrats et bobos de la République bananière de Genève, un clip de rap dans le parking de Planète-Charmilles, avec de vraies Kalachnikovs. Qu’attendent les autorités pour agir en profondeur sur le mal sociétal qui gangrène notre beau pays ? Que des banlieues de Genève et de Lausanne, Yverdon, Bienne, se transforment en quartiers Nords de Marseille ? Mais en attendant, il est plus facile de persécuter d’honnêtes familles via le SPMI…
– A l’exception des intervenants en protection de l’enfant et de leur hiérarchie, trop compromis, on peut sauvegarder la partie récupérable du personnel de l’ex-SPMI pour la structure neuve, moyennant des stages psychothérapiques obligatoires (ils adorent infliger cela aux autres), un examen de conscience attesté par le passage via des tests psychologiques (ils adorent ça…) et la rédaction d’un mémoire personnel laissant entrevoir qu’ils ont pris conscience des errances du système auquel ils collaboraient.
– En attendant, on peut recommander aux parents qui se séparent ou qui divorcent d’arranger le plus de différents possibles directement entre eux, à l’amiable, ce qui donnera moins de prises aux griffes du SPMI. Les femmes doivent se montrer raisonnables en réprimant leurs tendances naturelles à générer et envenimer des conflits. Les hommes doivent se montrer raisonnables en ne sur-réagissant pas émotionnellement aux persécutions et injustices dont ils sont victimes. Si les couples qui se séparent parviennent à gérer ces contingences, ils s’épargneront de nombreux soucis à eux et à leurs enfants face à l’emprise du SPMI.
Annexe : Dans le cadre d’un article en préparation sur les enjeux de l’intelligence artificielle (IA), je m’étais amusé à poser la question suivante à un logiciel IA : Quels sont les principaux défauts du Service de Protection des Mineurs à Genève (SPMI) et quel système alternatif pourrait le remplacer efficacement ? Voici la réponse obtenue :
Le Service de Protection des Mineurs à Genève (SPMI) est un organisme chargé d’intervenir auprès des familles et des jeunes en situation de danger ou de difficulté, dans le respect de l’intérêt supérieur de l’enfant. Le SPMI peut agir avec ou sans mandat judiciaire, selon la gravité et l’urgence de la situation. Le SPMI peut également effectuer des placements de mineurs dans des familles d’accueil ou des institutions spécialisées, si le maintien au foyer familial n’est pas possible ou souhaitable. Cependant, le SPMI n’est pas exempt de défauts, qui peuvent nuire à la qualité et à l’efficacité de son action. Parmi les principaux défauts du SPMI, on peut citer :
● Un manque de personnel, de moyens et de formation, qui entraîne une surcharge de travail, un stress et un épuisement des collaborateurs, ainsi qu’une difficulté à assurer un suivi régulier et personnalisé des dossiers.
● Une rigidité administrative et juridique, qui limite la capacité d’adaptation et d’innovation du service, ainsi que sa réactivité face aux situations complexes ou changeantes.
● Une faible collaboration avec les autres acteurs du réseau socio-éducatif, tels que les écoles, les services sociaux, les associations ou les professionnels de la santé, qui réduit les possibilités de prévention, de coordination et de soutien aux familles.
● Une insuffisance de communication et de transparence avec les usagers du service, qui peut générer un sentiment de méfiance, de frustration ou d’incompréhension chez les parents ou les jeunes concernés.
● Face à ces défauts, il existe plusieurs pistes pour améliorer le fonctionnement du SPMI et renforcer sa mission de protection des mineurs. Parmi ces pistes, on peut envisager :
● Un renforcement des ressources humaines et financières du service, afin de réduire la charge de travail et d’améliorer les conditions de travail des collaborateurs.
● Une simplification et une harmonisation des procédures administratives et judiciaires, afin de gagner en efficacité et en souplesse dans le traitement des dossiers.
● Une meilleure collaboration avec les partenaires du réseau socio-éducatif, afin de favoriser une approche globale et pluridisciplinaire des situations, ainsi qu’une meilleure prévention et détection des risques.
● Une plus grande participation et implication des usagers du service, afin de respecter leur autonomie et leur dignité, ainsi que de renforcer leur confiance et leur adhésion aux mesures proposées.
Ces pistes ne sont pas exhaustives ni exclusives. Elles visent à proposer un système alternatif qui pourrait remplacer efficacement le SPMI actuel, tout en tenant compte des spécificités du contexte genevois. Il s’agit d’un défi complexe mais essentiel pour garantir le bien-être et le développement des mineurs en situation de vulnérabilité.
Transcription
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I’m here with nail David Su the primary subject and publisher of the recently released book SOS SCM of Silence first
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what is this picture behind you the picture behind me is an original
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cutout of a full page which I bought in the Washington Times Obviously everybody
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knows the Washington Times the picture here is the cover of the book
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obviously it’s addressed Dear Mr President on the website There’s an actual letter to President Trump
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respectfully imploring him for his International political intervention and the link for the
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website SOS book.is indicating to
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people the story is out there the story is true and the story is still happening
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right now and I thought that was the best way to uh kick off if you will not just the book but letting people in the
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United States know what’s happening here in Geneva Switzerland a full page in the
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Washington Times I imagine that you have received some responses the response has
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been quite extraordinary um I can’t go into the details of every response that I’ve
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received um for simple matters of confidentiality suffice it to say things
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are starting to move in the United States so my first question is who wrote this
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book and what has been your role in bringing it to publication and publicity a writer here in Geneva whom I had known
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um at that time a little bit uh came to me one day he was a little familiar with the story and he handed me a stack of
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papers about 20 papers typed and I said what is that and he said well I started to write a book about what’s going on
1:54
with you and your sons and your family maybe this will help because I tried so many things to this point in following
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the law to the letter having been a writer um although the writer of the book his
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maternal language his native language is French not English I worked with him he did some interviews with me uh a lot of
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interviews he read the court file every file involved with the situation almost 5,000 Pages predominantly in French and
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uh wrote a version of the book in French completed the book and I took the book I
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trans transed it from French to English and added on the appropriate
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documentation highly redacted more than anything to protect myself for the
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simple fact for example that I redacted all the names of the people that are Swiss that are involved in the situation
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U because I have quite enough pressure on me as it is um made sure there was no defamation in the book and
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uh added onto the book and edited for factual accuracy so every everything is
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100% perfect factual and
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true on the cover of the book there is an image of the Mormon Temple just
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outside of Washington DC what exactly as written in the book and the story at the
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P of the book The [ __ ] connection to your case you have to really read the whole
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book to get it and probably asked me about a thousand questions suffice it to
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say um my ex-wife’s family is uh tied directly to the top of the Mormon church
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both in the religious leadership part and legal General Council part of the Mormon Church in Salt Lake City Utah
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United States of America um there are over 20 individuals who are um very influential Mormons in
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Geneva here um in Arizona and in Salt Lake City who are deeply involved in
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this case and these people um although uh only a couple of them have ever even
4:01
met myself and my two sons um are rather
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insatiable in their desire to continue to try
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to I can say metaphorically cut my head off but I’ve already received two death threats one from one of the leaders here
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in Geneva one of the leaders of the Mormon Church in Geneva and one from uh my ex-wife and her uh group of people uh
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family um so the Mormon connection is very very very complex and deep in this
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situation although when you say the word Mormon here in Geneva nine people out of 10 don’t even know what the word Mormon
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means you go to America especially West Coast America we’re all pretty aware of
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what the Mormon influence and power is especially if you marry into a family that’s tied All the Way to the Top by
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Blood I understand that you are a Swiss American D citizen the book is very
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clear that you and your ex wife came to Geneva from Arizona when you lived and
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raised your sons in a mutal agreement to start a new life so it’s clear in the
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book The reasoning behind you coming here to Geneva can you please give us a summary of the events before you came
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here and I was being snowball upon your arrival okay in brief summary to to hit
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the the more poignant uh events February 20th 2017 just over uh two years years
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ago we’re living in Arizona me and my ex-wife our two sons uh my ex-wife comes
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home one night falls to the ground hands me her phone without saying anything and says look look look there was a video
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that she had found on her mother’s cell phone of her mother making a child pornography video of my ex-wife’s
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father-in-law or no stepfather he would be my ex-father-in-law um molesting um
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my former nephew through marriage her nephew by Blood um that didn’t bode well
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for her uh emotional and psychiatric well-being to see her parents involved in something like that despite the abuse
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she had grown up with um I don’t understand the complexities um and I’m not going to claim to I just know what I
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experienced be married to her and be married into that family and the kind of dysfunction and abuse that went on um so
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we came here because I’m a as you said I’m half Swiss half American we wanted to start a new life we wanted to protect our sons we didn’t want them growing up
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with these people as it turns out my ex-wife doesn’t feel this way and she’s
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back well we’ll get into that later but um so we came here uh 2 and a half half
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weeks after we got here going into July of 2017 uh my ex-wife
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uh attempted a double suicide out of the eight-story window of our apartment in the center of Geneva uh with our
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youngest son who was then three years old fortunately I was able to get him free from her hands she was hospitalized
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in a psychiatric hospital but oh on Earth did you end up marrying
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into a family like Dad of your ex-wife again uh short question I’ll try
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to give you a short answer the book goes into a lot a lot more um for a lot of years in America uh almost 10 at that
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point when I met her in 2010 um I was an author and a filmmaker and an activist
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uh in the mental health industry um and I had met my ex-wife and her mother on
7:29
the first time I met my ex-wife actually met her mother at the same time and her five we old baby my ex-wife’s 5we old
7:35
baby who is my son my legal stepson but my son I ra since that day um her mother
7:43
was a uh teacher for a thing called family to family it’s a teaching group for Nami the National Alliance and
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mental illness in America which is an enormous Mental Health Group um I met
7:55
her mother I met her I started to meet her family members
8:02
it’s not foreign if you will the idea of meeting Mormon people and there are a lot of good Mormon people in the church
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um but when I started learning as I met member after member after member of her
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family and an extended family um the kind of abuse and Corruption that went in was going on in this family that
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happened in a matter of 3 months after I met her and it was too late because I wasn’t just going to divorce her and
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leave my stepson who was getting into 3 months 4 months 5 months old knowing
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this is what he was going to grow up in so I uh stayed because I love my son and
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I loved him when it was just him and now both of my sons because we had a son together a biological son and I stayed
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for them okay and where is your ex-wife now
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um when was the last time you saw her she left Geneva at the end of April
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last year 2018 um from what was given to me as far
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as the court documents here in Geneva go she left Geneva to go back to America to get treatment for her um issues that she
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has and um I didn’t know she went back to her family until a long time
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afterwards um but last I heard through the court documents she was was with her
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family doing well everything’s great she’s stable she’s sober everything’s
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good because um different parties here in Geneva to the case have not seen her
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on video WhatsApp or heard her audibly on a phone in months um I decided to
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call Arizona to talk to the police in Gilbert Arizona where her parents live
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where we used to live in the same city and uh public police records not a
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private investigator and not breaking any laws indicated that there were numerous police interventions um since
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uh intensely since October of last year up until the first week in February of
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this year and the last document showed is that her own mother uh went to the mental health court in Maricopa County
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where Gilbert and Phoenix is and uh had her petitioned into psychiatric
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treatment so uh I’d rather go on been rumor I’d
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rather know the police records are true rather than think what I might hear through a third party here in Geneva is
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true the unfortunate thing about it and I won’t get into all the details is that my boys who uh have been uh placed as
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they call a plasmo here in Geneva for almost two years now and have not been living with me uh and are falling apart
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as everybody that knows them knows that um are continuing to receive text
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messages supposedly from my ex-wife and a couple of boxes of toys that have come supposedly from my
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ex-wife and it’s not that you know I’m playing psychiatrist I’m playing lawyer I’m playing police officer who knows
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these things but the law is very clear in Arizona that level one psychiatric hospitals do not allow the use of mobile
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phones computers post offices things like that so to answer your question uh last I heard she was uh for the police
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that she was hospitalized for an indefinite period of time okay
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and where are your T presently could you tell me a little bit about
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them um they are living in a thing called a
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foyer a group home for children it’s the second one they’ve lived in they first
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were when they were ripped out of my arms physically and I was thrown out of a building uh on July 25th of 2017 um
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they were kept in a room in the children’s hospital here in Geneva for three and a half months they were then
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transferred to a foyer for younger kids my oldest son my stepson legally he aged
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out um so they transferred them to another foyer they’ve been there for approximately 14 months now um I see
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them only in the foyer for a maximum of eight hours a week um having tried a
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thousand different ways to get more time with them um when we’re together it’s great for
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them the reports from the foyer show very clearly that they’re falling apart and everybody knows it and nobody’s
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doing anything to help them um I have no decision making in my stepson’s life
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even though in Arizona I did everything for him I have very limited decision- making on my biological son um they’re
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N9 and five now remember they were taken when they were seven and three um
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um my oldest son has been beat up numerous times in the foyer um there was a situation of uh him
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being inappropriately touched uh by a big kid at the the the
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emergency way which is across the walkway from the building that they’re in and uh you know I put a smile on when
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I go see them and I fake it because I don’t want them to see me sad because
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the sad enough and all they do is talk about wanting to come home and not just to me they talk with everybody but
13:34
things here in Geneva as they say are long and it’s real long now and it’s just about long
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enough why did you decide now nearly two years since your sons were taken from
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you after having tried so many other measures to get them home to publish
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this book run a full page at in the Washington Times expose this story in
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full to the general public and in short potentially cause yourself to have even
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more stress pressure and false accusations made against you um the
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whole story started out with false accusations and that’s what the problem is um within 24 hours of my ex-wife
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being hospitalized in belly day the psychiatric hospital here in Geneva um
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she turned around and pointed the finger at me and said you know my ex-husband’s a pedophile
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he raped me for years he’s molested the kids beaten me beaten the kids and she
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went on on and on um apparently as it turns out she thought that I committed her to the hospital and that’s what the
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whole thing was it was some sort of uh what I’ve been told from multiple psychiatrists including one of the
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directors of the belly day Hospital whom I met numerous times who knew my ex-wife when she was here he said it was a it
14:54
was a snap uh Revenge thing at me and uh without any consideration for what was
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going to happen to the kids and N9 days after um the she was hospitalized on
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July 15th the kids were rep placed immediately and why have I decided to do this now I’ve decided to do it now
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because the uh the psychiatric family expertise which is we don’t have those
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in America it doesn’t exist um they’re Highly Questionable and everybody in Geneva knows it and let’s just say
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everybody knows that here including the media and the hospital and the lawyers and the judges um but there’s a lot of
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people that listen very closely to that basically what it means is there’s a psychiatrist or two psychiatrists who do this multi-month study on a family and
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they write this thing called an expertise and these people are called experts um they even said in that
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despite all the false accusations against me despite the fact that everything that’s in the book and they
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haven’t seen the book yet because it’s very recent unless of course they’ve gotten a copy of a book somehow um they
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said that everything that happened in the book because there was you know my youngest son’s name got
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changed collusion with the US cul and his assistant at the American Embassy in
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Baron multiple members of the Mormon Church Ro rown child psychiatrist all on
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paper proven to be true in this expertise they said well Mr suus followed the law to the letter but he’s
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paranoid psychotic and in a state of delirium having imagined all of this none of this exists
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and um the kids need to stay in the foyer because they’re doing great and they’re they use the word in French it’s
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evolving they’re evolving so basically my kids are evolving into decompensated broken little boys and essentially
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little animals but they think that’s great um and if you hear a tone of sarcasm clearly at this point after two
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years I’m a little bit sarcastic because I’ve gotten all the false accusations from the beginning from my ex-wife and
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then I just snowballed and the the power of the
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American Media the world media to say something and to get this moving in the
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right direction meaning to help me save my sons and get them home is going to
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be probably the only thing that works in terms of pushing political intervention
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because nothing has worked here that I’ve done even though they tell me I’ve done everything right they also say that
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I’ve made it up so I published the book to show that it’s clearly not made up it’s government Court certified
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documents with stamps with the signatures with everything um reducting the names of the Swiss people of course
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because I got enough problems with the people here um and uh to let people in
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the world know what’s going on because my mentality is Americans in general are having a big
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problem right now getting censored not having the right to speak even though it’s in the Constitution the freedom of speech we have the same problem in
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Switzerland and uh my strong feeling and belief and more than hope my faith is in
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the fact that the right journalist or journalist will get a hold of this to inform the right politicians to get the
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situation taken care of and to stop the destruction of my sons and our
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family why do you think despite of the proof of this case being extremely current and dragging on
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indefinitely that the C of Geneva is still keeping your sense and not not
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even thinking about letting them come home to you for at least another three
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five years this is really unbelievable to imagine um in America we say buddy
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buddy okay in Geneva in France we say am am me friend friend um I’ve been told by
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numerous people that the system here the child protective system called the spmi
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some people in the court I’m not saying that judge now or the judge before but a lot of people they figured after two
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years I’d probably break I’d probably end up maybe like my ex-wife and some psych hospital or being a Coke addict or
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an alcoholic and uh why has it gone on um I
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have my theories and the book goes into that quite a bit um
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but the final answer I couldn’t tell you why it’s gone on this long because
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there’s no reason for it to have gone on this long even though Geneva and this particular court is long as they say now
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we’re going backwards after two years we had a court hearing a month or so ago and we’re going completely backwards so
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why I have my own ideas the book goes into a lot of it and who’s behind this and why they’re doing it and it’s very
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well documented it’s not just theoretical it’s very well documented okay thanks the claims
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written in the book are well rather extreme admitting of course since there
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are C certified government photographic and other written proofs in the book do
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you feel that you and your sons were singled out to be the targets of what
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appeared to be a conspiracy between certain Swiss and American institions well if so why do you feel this way well
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let me say first of all just to be real clear and I’ve made it clear in um on
20:25
the website in the letter that I wrote to president Trump which is extremely long in it in it massive detail I am not
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against the Swiss government the Geneva government I am not against any of them I am not against the American government
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on a federal or state level with Arizona in Salt Lake
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City that being said in every system whatever you want
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to call it every sector of government Justice Switzerland America there are
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always bound to be some people that break a law or numerous
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laws I mean uh the the thing is and I don’t know how
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to put it other than this do I think we were singled
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out repeating again that I met some nice Mormons when I was living in Arizona I
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met some nice women some nice men kids whatever if you go all the way to the
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top and it’s not a conspiracy theory it’s a fact and everybody knows it in America and it’s proven time and time
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again kids are to be told what to do and to be possessed and I don’t mean
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possessed like by a spirit of the devil I mean possessed like possessions um not in every family
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but where this comes into where we targeted um considering the beginning of
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this in the first 3 and a half to four weeks of this situation I was unaware
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that there was an attempt and organization of international child kidnapping going on that my youngest son’s name last name had been
22:09
changed with Mormon people people from the hospital here people in America people at the
22:15
embassy why did they do it and do I do I feel we were singled out absolutely do I
22:20
know why I had my theories but I couldn’t put a finger on it specifically the book lets people make their own
22:27
determin ations after they see the documents not just read the story have you come to the Swiss
22:34
government C which is to ask to for help in getting your sons back if so what was
22:41
the response last year 2018 summer um I went to the um essentially the governing
22:48
board for the Canton of Geneva called the con datat um it’s a multi-member
22:53
group of people uh presented a what we would call call in America a binder like
22:59
an old school book binder highly well organized done in conjunction with um a
23:05
colleague of mine a dear friend who uh obviously is Genoa and could read every
23:11
document um I asked for their help and um months and months and months
23:18
went by the proof was all there and now the story’s even more out of hand a year
23:24
later and uh the response was was why don’t we do a family
23:33
expertise no comment whatsoever on all the proof that was in there all the
23:38
documents of the attempt and the organization of international child kidnapping all the fals of everything
23:45
that was in there in my opinion and in the opinion of many people I’ve consulted many of
23:52
whom are also lawyers who aren’t even my lawyers but my lawyer as well this should have never happened my
23:59
children should have never been to taken from me and if they were taken they
24:05
should have been given right back and in fact just one brief thing uh three days
24:10
after um my children were placed ripped out of my arms and placed in the hospital and going into August then of
24:20
2017 um the child protected people here in Geneva called the spmi the service
24:25
for the protection of minors and infants um called me to their office and said you can go to the psych hospital right now
24:31
where your ex-wife is and if she says it’s okay for your kids to come home your boys they can come home and we’ll help you in any way that we can well I
24:37
went there and it’s very in detail in the book but I went there thank you ran
24:43
to the hospital when running to the bus and uh her response was F
24:51
you the kids will get out of the Children’s Hospital when I get out of this hospital because she was initially
24:57
hospitalized under court order for 60 days well things didn’t quite turn out like that cuz now we’re 2 years later
25:04
she’s in apparently in some psych Hospital in Arizona and the kids are destroyed and our family’s completely
25:09
annihilated but she had the power to actually get them back home and give them a good happy safe life life which
25:15
is what we both agreed we wanted to give them but apparently there was some sort of power play um and there hasn’t been I
25:22
haven’t gone to the Swiss federal government yet but I’m sure that’s in play right now
25:29
and why do you think all these people have gotten away with what they have
25:35
done why do I think I mean in short look you really the readers they have to read
25:41
the book to really get it why have they gotten away with it because anywhere you
25:46
go in the world it doesn’t matter if it’s Switzerland or America or well not anywhere in most Western countries if
25:53
you will people break crimes do unethical things do immoral things and they
26:00
skate why have some people gotten away with it I think some people have gotten away with it because they have more power than others and I think other
26:06
people have gotten away with it because they’re associated with people
26:11
who have power and it’s proven in the book with the documentation all these people are connected to each other so why did they
26:19
get away with it I don’t know the question that I have
26:24
is why have they done this and Let It Go for so
26:32
long Mr suits having written this book and having viewed all the certified
26:38
documents in it the question that comes to mind is how do you think that this
26:44
custody case became so controversial too many people got
26:49
involved too many people quite frankly as proven by the
26:55
documentation too many members of of my ex-wife family and the Mormon Church got involved and that’s what they say here
27:02
in Geneva they say you know M they sang which means Mr suit he’s out of his mind
27:08
talking about all this Mormon nonsense if you look at the court file
27:14
it’s member of the Mormon church member of the Mormon church member of the Mormon church member of the Mormon
27:20
church all who have nothing to do with this case that have just stuck their fingers and noses into it and people I
27:25
don’t blame them in the court system here in the in this court in the TPI I’d be probably a little bit
27:31
confused too if a simple custody case and placement of children got so complex where there’s dozens of people
27:37
involved that have nothing to do that aren’t parties to the case
27:44
um I’ve kept it simple on my side I could have gotten 50 Witnesses
27:50
from America throughout testimonials about whatever about my exwife family who they are in the church
27:56
her inab ility the psychiatric this the drugs that I wanted to keep it simple
28:02
and the one word that everybody keeps saying is your case is so complex I said I know I said in the beginning it wasn’t
28:08
complex but my kids my boys are being looked at as possessions
28:14
to be one it’s always oh yeah your ex’s going to win or her saying when she was here
28:20
I’m going to win the boys aren’t possessions little kids my kids your kids anybody’s kids they’re not
28:26
possessions to be bought or sold one or lost my boys are to be saved and this is
28:32
why this is happening this is why the book is out this is why I’m doing what I’m doing now and yeah the repercussions
28:39
I’ve had some pretty intense repercussions already but I’m not defaming anybody I’m not disclosing any documents that are private Swiss or
28:46
American there’s nothing it’s just the truth
28:53
period now Mr SS the last question maybe the more difficult
28:58
what are you going to do when you will get your sons
29:05
back we’re going to take a vacation for a couple weeks because they haven’t had a
29:12
vacation their life sucks pardon my being so
29:18
blunt they’re prisoners in a hospital for three and a half months they get sent to a l one
29:23
foyer they get thrown to another foyer they get dispensed zero time with me outside of the foyer
29:30
even though everything that I’ve been accused of in fact has been proven to be false me being dangerous and all that
29:36
nonsense proven to be false literally and even by my ex-wife in a court
29:42
document she retracted everything and said I lied about everything in the beginning of this and then it kept
29:48
getting more and more confusing so what are we going to do I’m going to make sure my kids have a happy stable life a
29:56
peaceful
30:03
life and the life that they deserve I’m not going to break any laws
30:08
I haven’t broken any laws even though I keep getting tempted to somebody’s doing something to me and they say well he’s
30:14
going to he’s going to react he’s going to this I’m not going to break any laws I’m not going to do what the
30:21
leaders of the Mormon Church in Geneva did on Christmas of 2017 with half a dozen people involved and set up an
30:26
international child kidnapping with a plane at the airport in Geneva and now the whole Swiss border is sealed on what’s called a repole which is I can’t
30:33
even cross the border half the time I cross the border to come into France to see friends I get stopped by the border
30:41
guards looking in my car to see if my kids in there and I have this whole basic speech set all the time my kids
30:46
are in this foyer and this is the situation and they’re all really nice because they get that I’m not hiding
30:52
anything I’m not doing anything wrong um
30:59
I’m going to get my kids back because they need to be home with me and they deserve to have a good stable happy life
31:05
a safe life and not the garbage life that they have right now that’s been given to them the only thing that they
31:12
have good in their lives right now other than the little eight hours a week we get to spend together the three of us is
31:18
each of them have good schools for special needs kids because they’re both special needs with nice people that work
31:24
there that care about them and the people that work at the where they are now as well as the other
31:29
foyer where they were at before are really nice but they have no power and no influence whatsoever they WR report
31:35
after report after report saying how great the relationship is between me and my kids and how we should be able to expand it and the kids should be able to
31:41
my boys don’t even know where I live I created a home for them a year and a half ago they don’t even know
31:48
where it is and they don’t have the right to apparently as per the court here in
31:55
Geneva I’m just going to make sure my kids are happy happy because that’s all I care about it’s the most important
32:01
thing in the world to me and it’s cliche and whatever people want to say and you know well he’s a man he’s a father he
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can’t be all sappy like that um my kids have had their entire lives destroyed
32:14
and stolen from them and their youth my little guy Skyler
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was he was 3 years old when I was in the hospital with him
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where we were there for a physical exam I had him in one arm I had my seven-year-old
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Corey by my hand and Skyler was ripped out of my arms Corey was ripped away from me they
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were dragged down the hallway and the next thing I knew after some little brief meeting I was told
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your kids are staying here it wasn’t shown any documentation whats ever nothing a piece of paper was held up
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across a room we have a document saying your kids are going to stay here get a
33:04
lawyer and then we opened the door and there were two huge security guards at the door and they threw me out of the
33:10
hospital one on each side I said don’t come back until you hear something else get a
33:17
laer it’s a crime against humanity and I don’t care what anybody says I don’t care who says I’m crazy psychotic
33:23
paranoid anything the facts are the facts and everybody knows what the facts are even the people that are working against me getting my kids back they
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know it’s a lie they know it’s corruption they know it’s a conspiracy and their easiest solution for it is to call me crazy although
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again that’s why I published the book because the book proves the truth to the
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contrary thank you Mr suits for taking the time to speak with me and answer my
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questions we wish you all the best in getting your son’s home as quickly as
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possible thank you for speaking with
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me
Anglais (générés automatiquement)
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