Venez soutenir devant ou dans le tribunal cantonal vaudois

Ou signez au moins la pétition. Merci

Cour d’appel pénale

Venez soutenir Monsieur Rolf RITTER

le lundi 28 juin 2021 à 09:00 heures et 14:00 heures,

à Lausanne, Palais de justice de l’Hermitage, route du Signal 8,

Sous pression des sociétés de recouvrement

Leurs lettres sont insistantes, leur ton de plus en plus menaçant et les sommes réclamées en constante augmentation. Les sociétés de recouvrement agacent et poussent régulièrement des téléspectateurs à nous contacter. Afin d’obtenir paiement d’une créance réelle ou imaginaire, leurs pratiques flirtent parfois avec la légalité. Mais au final, elles permettraient à l’économie suisse de récupérer 30 % de ces créances difficiles.

L’ émission du temps présent qui est passée à la  RTS

https://www.rts.ch/play/tv/a-bon-entendeur/video/sous-pression-des-societes-de-recouvrement?urn=urn:rts:video:12138834

Contre les injustices

Fisc fou ? – la suite

Le 25 août 2021

Ce dossier ne peut qu’attirer l’attention.

Un panorama décrivant des faits troublants et choquants du système administratif judiciaire et fiscal vaudois notamment, et qui pose des grandes questions.

Plusieurs épisodes ont été publiés sur www.abus-suisses.blogspot.com depuis 2019 et ont illustré des dérives inquiétantes de nos autorités suisses, de notre système judiciaire et fiscal.

Particulièrement dans le canton de Vaud, mais aussi à Neuchâtel et ailleurs, Genève, Zürich, Bâle, par exemple, les lois sont bafouées par notre microcosme judiciaire, fiscal et administratif.

La suite de cette inquiétante affaire vous est dévoilée aujourd’hui. Elle démasque, comme déjà vu, en toute clarté des abus graves que nos autorités se refusent à traiter, semble-t-il.

La partie traitant de Me Pierre BAYENET, mon ancien avocat, pourtant chantre de la lutte contre la fraude fiscale et membre de Solidarités/Ensemble à Gauche à Genève, intéresse aussi les Genevois. En effet, ce dernier a abruptement résilié mon mandat en pleines procédures inachevées dans le cadre de cette succession, sans avoir dénoncé ni porté plainte pénale de suite contre les fraudes fiscales et crimes financiers, semble-t-il pour couvrir ces délits, et ce malgré les nombreuses preuves en sa possession et obtenues pendant son mandat.

Médiocratie ou corruption, encore une fois ?

Il faut que la déliquescence de nos institutions judiciaires et fiscales cesse.

Il y a une justification d’intérêt public à publier ce qui suit, selon le motif de justificatif de l’état de nécessité :

[ Chaque affirmation est basée sur des documents officiels, exhaustifs et factuels, étayés de faits gravissimes avérés et incontestables. ]

J’ai envoyé une lettre le 2 août 2021 (ci-dessous) au Grand Conseil vaudois (Lausanne) avec en annexe :

ma lettre du 6 juillet 2021 adressée au Grand Conseil neuchâtelois,

ainsi qu’un rapport détaillé sur les manœuvres choquantes de la Banque Cantonale Neuchâteloise, sur des fraudes fiscales et faux dans les titres dans cette succession, dans les cantons de Neuchâtel, Vaud, Genève, Bâle et Zürich notamment.

puis ma lettre du 20 novembre 2020 à Véronika PANTILLON, juriste, députée Verte au Grand Conseil neuchâtelois (Vice-Présidente du Conseil de la Magistrature du canton de Neuchâtel et Vice-Présidente de la Commission Judiciaire du Grand Conseil neuchâtelois jusqu’en mai 2021)

Au Grand Conseil de faire son devoir, de servir ses électeurs, de respecter la Constitution et tenir son serment.

Sursum corda.

Affaire à suivre

Chantal Perret (16, avenue de la Croisette) Case postale 371 1211 Genève 4 Lettre par mail et courrier AR

Grand Conseil Secrétariat général Place du Château 6 1014 Lausanne (Suisse)

Genève, le 2 août 2021

Mail : info.grandconseil@vd.ch

Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, membres du Grand Conseil du canton de Vaud,

Je prends la respectueuse liberté de porter à votre connaissance une affaire inique mettant en cause la probité et la responsabilité de l’État de Vaud, et qui ne concerne pas seulement moi, la soussignée, Chantal Perret qui suis lésée, mais toute la population vaudoise également lésée.

Je tiens à vous informer de faits graves qui se passent dans le système judiciaire et fiscal vaudois et dans des Services de l’État de Vaud, ECA, OIT, CAMAC, SDT, Registre foncier, Municipalité de Gryon, liés à des faux dans les titres, des fraudes fiscales, des abus d’autorité, un fort soupçon de blanchiment d’argent, de graves infractions à l’obligation de dénoncer des délits poursuivis d’office par analogie à l’art. 33 LI CPP/NE (à Neuchâtel).

Voici un dossier qui ne peut qu’attirer l’attention.

Chaque affirmation faite dans cette lettre et dans les documents annexés, est basée sur des documents officiels, exhaustifs et factuels, preuves patentes, étayés de faits gravissimes avérés et incontestables dans une succession détournée.

Il y a une justification d’intérêt public à publier ce qui suit selon le motif de justificatif de l’état de nécessité.

De nombreux hauts fonctionnaires des Services judiciaires, des Services fiscaux et d’autres Services de l’État de Vaud, ont toute connaissance de ces faits graves, toutefois sans avoir respecté leur obligation de les dénoncer sur le champ au Ministère public, s’exposant ainsi aux sanctions pour entrave à l’action pénale, dit-on, en vertu de l’art. 305 CP cum art. 25 CP (avec complicité). Depuis 2007/2009, sont au courant, les fonctionnaires du Service des impôts d’Aigle, notamment Martin EICHENBERGER, Micheline REVERBERY, Joël SANSONNENS, des fonctionnaires de l’administration cantonale des impôts de Lausanne.

Depuis 1964/2015 Municipalité de Gryon, notamment P.-A. BURNIER, Syndic, M. RAVY, le géomètre Mario GUEZA, Service technique, et son prédécesseur, Monsieur.

Depuis 1991/2015, L’ECA d’Aigle et de Pully (Établissement d’assurance contre l’incendie et les éléments naturels du Canton de Vaud), notamment Nikolas GEGOVIC.

Depuis 1991/2015, Le Service du Registre foncier d’Aigle et de Vevey, notamment MM. PERLOTTO et CHAPALAY

Depuis 2016, L’OIT (Office d’Information sur le Territoire) à Lausanne, notamment Cyril FAVRE, géomètre cantonal et Charles DE RHAM, Service de la mensuration officielle

Depuis 2016, La CAMAC (Centrale des Autorisations en Matière de Construction) à Lausanne

Depuis 2018, Le SDT (Service du Développement du Territoire du canton de Vaud) à Lausanne

Depuis 2017, La Commission d’estimation fiscale des immeubles, Vevey, notamment son conservateur, M. CHAPALAY, semble-t-il

Le document ci-annexé et intitulé :

Succession frauduleusement détournée depuis 2007, faux dans les titres, fraudes fiscales

est un panorama décrivant des dérives de nos institutions, principalement dans le canton de Neuchâtel mais aussi dans le canton de Vaud.

Ce document illustre ainsi une suite de faits non exhaustifs et absolument scandaleux, étayés de preuves et complètement documentés et archivés notamment auprès des Tribunaux d’Yverdon et de Lausanne, auprès de la Municipalité de Gryon (VD), de l’ECA d’Aigle et de Vevey, du Registre foncier d’Aigle et de Vevey, de l’OIT à Lausanne, de la CAMAC, du SDT (Service du Développement du Territoire) à Lausanne, ainsi qu’auprès des 4 Tribunaux du canton de Neuchâtel, du Tribunal fiscal, du Service des contributions à La Chaux-de-Fonds (NE) et des Ministères publics du canton de Neuchâtel, comme le savent :

-des hauts fonctionnaires de l’Administration cantonale des impôts de Lausanne, -des hauts fonctionnaires du Service des impôts d’Aigle -des hauts fonctionnaires des Services de l’État de Vaud mentionnés dans ce document, notamment.

Fonctionnaires, pourtant tous nantis qu’ils étaient, qu’ils sont de si nombreuses preuves, d’informations et de documents sérieux, exhaustifs et factuels, étayés de faits gravissimes en grand nombre et qui constituent au minimum un faisceau de présomptions sérieuses et des soupçons, voire des faits avérés, incontestables au regard de leur pouvoir d’appréciation suffisant (JURA NOVIT CURIA).

Il s’agit d’une succession avec des avoirs bancaires et immobiliers à Neuchâtel et dans le canton de Vaud, pourtant simple au départ, mais frauduleusement détournée depuis plus de 14 ans.

Une succession avec des faux dans les titres, des fraudes fiscales entre autres.

Le comportement et les agissements de nombreux fonctionnaires et de hauts fonctionnaires des Services judiciaires et du fisc vaudois, en leur position d’autorité, de contrôle et de garant, ne sont pas conformes à leur serment ni au droit, en tous les cas dans cette succession détournée.

Médiocratie ou corruption ?

Dans le canton de Vaud, sont aussi survenues certaines manœuvres frauduleuses qui sont imbriquées avec celles concernant le canton voisin de Neuchâtel, et notamment :

Une fausse donation immobilière en 2007 (parcelle 3264 à Gryon, ECA 1580, Chemin du Chardon Bleu 36) qui a consisté en une fausse donation-vente simulée, dans le but de léser le fisc vaudois et les intérêts patrimoniaux des autres cohéritiers à l’aide d’un acte notarié de Me Thierry MONITION, notaire vaudois à Montreux qui a concouru, semble-t-il, à la confection d’un faux acte de donation, soit un faux dans les titres, un faux intellectuel avec également la complicité, dit-on, de l’usufruitière et d’un cohéritier, au détriment du fisc, notamment.

(Référence est faite notamment, au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 1,4 à 16, 18, 28 à 33, notamment, et aux dossiers archivés : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel, au dossier: MP.2018.70., Ministère public du canton de Neuchâtel)

Une régularisation de cette parcelle 3264 à Gryon (ECA 1580), de surcroît, invraisemblablement et délibérément ignorée par des fonctionnaires de la Municipalité de Gryon, P.A. BURNIER, Syndic, du Registre foncier, ainsi que par le géomètre-chef Pierre Paul DUCHOUD et ses deux subalternes géomètres, Robert CHAPPUIS et Nathalie VUAREZ de DHB SA à Bex, au grand détriment du fisc vaudois (réf. : Commission d’estimation fiscale des immeubles, Vevey du 31 mars 2017).

Cette résidence principale est habitée, mais enregistrée comme garage d’une valeur de 80\'000.- CHF au Registre foncier d’Aigle et de Vevey.

(Référence est faite notamment, au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 4 à 8, 14 à 16, notamment aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel, au dossier : MP.2018.70, Ministère public du canton de Neuchâtel, aux dossiers du Service de l’ECA et du Registre foncier d’Aigle et de Vevey, au dossier de la Municipalité de Gryon (VD))

Une régularisation tronquée de la parcelle 787 à Gryon (2015 à 2017), avec :

une fausse régularisation d’une des 2 habitations à Gryon (ECA 1049) relevant du droit pénal, semble-t-il, avec un plan falsifié, indubitablement présumé, obtenu du géomètre-chef Pierre Paul DUCHOUD de « DHB Géomètres et Ingénieurs SA à Bex » et avec la complicité présumée du Syndic P.A. BURNIER, du géomètre Mario GHEZA, Service technique, M. RAVY, de la Municipalité de Gryon, MM. PERLOTTO et CHAPALAY du Registre foncier de Vevey, notamment.

Ce plan de Pierre Paul DUCHOUD de DHB SA, représente un faux dans les titres indubitablement présumé.

(Référence est faite notamment au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 4 à 8, 14 à 16, notamment, aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel, au dossier : MP.2018.70., Ministère public du canton de Neuchâtel aux dossiers du Service de l’ECA et du Registre foncier d’Aigle et de Vevey, au dossier de la Municipalité de Gryon (VD))

L’OIT à Lausanne (Office d’Information du Territoire), soit Cyril FAVRE, géomètre cantonal et Charles DE RHAM, Service de la mensuration officielle, en 2016, n’ont pas daigné intervenir en leur qualité d’autorité. Ils ont enfreint leurs obligations de réagir aux légitimes contestations de la soussignée et de faire établir un plan légal et conforme à la loi et à la réalité.

(Référence est faite notamment au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 4 à 8, 14 à 16, notamment, aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel, aux archives de l’OIT à Lausanne, aux dossiers du Service de l’ECA et du Registre foncier d’Aigle et de Vevey, au dossier de la Municipalité de Gryon (VD))

Un grave manque de diligence de la Municipalité de Gryon et de son Syndic, P.A. BURNIER, qui ne sont coupablement pas intervenus pour couper l’eau à la suite d’une importante fuite d’eau que la Municipalité avait pourtant elle-même détectée et annoncée en avril 2018, et pour laquelle elle avait même donné un délai impératif au 2ème exécuteur testamentaire, représentant de cette succession.

Ce manque de diligence coupable de la Municipalité de Gryon et de son Syndic, P.A. BURNIER, a conduit à la détérioration irrémédiable de l’habitation, ECA 1048, parcelle 787 (Chemin du Chardon Bleu 40, Gryon).

Cela constitue un acte illicite qui engage la responsabilité de la collectivité publique concernée, la relation de causalité étant ici adéquate entre l’acte illicite et le dommage.

(Référence est faite notamment au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 4 à 8, 14 à 16, 43 à 49, 56 à 62, notamment, au dossier de la Municipalité de Gryon, au dossier : MP.2018.70, Ministère public du canton de Neuchâtel, aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel)

Des magistrats, hauts fonctionnaires vaudois, ont, semble-t-il, enfreint leur obligation de dénoncer sur le champ au Ministère public, des faux dans les titres, délits poursuivis d’office, crimes financiers, soupçon de blanchiment d’argent, dont ils avaient les preuves dans une action déposée contre une banque vaudoise prise en flagrant délit de mensonge (Banque PIGUET GALLAND & Cie SA).

Cette non-dénonciation par des magistrats et fonctionnaires vaudois de délits poursuivis d’office, relève d’entrave à l’action pénale (crime contre l’État) au regard de l’article 305 CP.

(Référence est faite notamment au document annexé : « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 1, 4 à 8, 13 à 16, 28 à 33, 47 à 62, notamment, au dossier de l’Administration cantonale des impôts de Lausanne (No : 436.047.01/055) au dossier du Service des impôts d’Aigle (Contribuable 436 047 01 Succ. J. Gacond, impôt 2007), aux dossiers des Tribunaux d’Yverdon (réf. : SSM/qve – FA18.022613/SSM/cv) et de Lausanne (réf. : CC18.025215/KEL/tvi), aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel)

Un décompte de l’impôt sur les successions incomplet et illicite a été établi et signé par un fonctionnaire de l’Administration cantonale des impôts de Lausanne, et représente, entend-on, le 3ème faux dans les titres d’ordre fiscal, indubitablement présumé, dans cette succession, avec en annexe :

Un décompte de l’impôt sur les successions, canton de Vaud, district d’Aigle du 9.10.2008, signé illégalement ?

Un inventaire successoral du canton de Vaud, incomplet et illicite du 9.10.2008 établi par un fonctionnaire du Service des impôts du district d’Aigle.

Une liquidation du régime matrimonial du canton de Vaud du 9.10.2008 (liquidation qui n’a jamais eu lieu).

Ces 3 documents ont été établis et signés en octobre 2008, par l’Administration cantonale des impôts de Lausanne et du district d’Aigle sur la base :

d’une déclaration d’impôt sur les successions, incomplète et illicite, et d’un inventaire successoral fiscal, incomplet et illicite, établis en 2007 par le fisc du canton de Neuchâtel, et représentant les 2 premiers faux dans les titres originels, d’ordre fiscal, indubitablement présumé, dans cette succession.

Joël SANSONNENS, fonctionnaire du Service des impôts d’Aigle, a systématiquement refusé en bloc la demande légitime de transmettre l’intégralité du dossier fiscal de cette succession, liée à l’État de Vaud.

Joël SANSONNENS, par le biais de réponses continuellement ambigües et inexactes, a entretenu, de mauvaise foi, une intrigante confusion dans ses écritures.

Cette demande était justifiée par les doutes légitimes quant aux activités obscures et très controversées des Services des impôts de Lausanne et d’Aigle avec un usurpateur, Claude BUGNON. Elle avait pour but d’y voir plus clair dans les irrégularités initiales flagrantes.

Elle était motivée par l’existence de 3 faux dans les titres d’ordre fiscal présumés en 2007 et 2008, par la dissimulation présumée de nombreux avoirs successoraux, par des revenus dissimulés de l’usufruitière et par ses présumés biens cachés.

(Référence est faite notamment au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 1, 4 à 8, 13 à 16, 28 à 33, 47 à 62, notamment, aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel, au dossier de l’Administration cantonale des impôts de Lausanne (No : 436.047.01/055), au dossier du Service des impôts d’Aigle (Contribuable 436 047 01 Succ. J. Gacond, impôt 2007), aux dossiers des Tribunaux d’Yverdon (réf. : SSM/qve – FA18.022613/SSM/cv) et de Lausanne (réf. : CC18.025215/KEL/tvi))

On entend partout que cela laisse présumer de forts soupçons de blanchiment d’argent (art. 305 bis, ter CP).

Un Service des impôts d’Aigle, par des fonctionnaires dudit Service, qui a violé gravement ses strictes obligations de secret fiscal et a communiqué illégalement avec un usurpateur, Claude BUGNON, ancien maire de Neuchâtel qui est intervenu frauduleusement à la place de l’exécuteur testamentaire, seul ayant droit à intervenir (Art.320 CP, 312 CP).

(Référence est faite notamment au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 1, 4 à 8, 13 à 16, 28 à 33, 47 à 62, notamment, aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel au dossier de l’Administration cantonale des impôts de Lausanne (No : 436.047.01/055) au dossier du Service des impôts d’Aigle (Contribuable 436 047 01 Succ. J. Gacond, impôt 2007),

L’État de Vaud est aussi soupçonné d’entente avec Me Pierre BAYENET, avocat genevois et membre de SolidaritéS/Ensemble à Gauche à Genève, en vue de l’annulation crapuleuse en 2019 d’une poursuite déposée en 2018, visant l’État de Vaud à hauteur de 1 million de francs.

Cette annulation frauduleuse de Me Pierre BAYENET a opportunément permis à des fraudeurs d’atteindre des prescriptions et a empêché de mettre au jour des complicités, notamment entre les 2 exécuteurs testamentaires successifs de cette succession détournée, de hauts fonctionnaires du Service des impôts des cantons de Neuchâtel et de Vaud (Lausanne et Aigle).

(Référence est faite notamment au document annexé, « Succession frauduleusement détournée depuis 2007 », voir pages 1, 4 à 8, 13 à 16, 28 à 33, 47 à 62, notamment) aux dossiers : SUCNE.2007.295/lh et SUCNE.2007.295/lh, Tribunal de Neuchâtel, au dossier : MP.2018.70, Ministère public du canton de Neuchâtel, au dossier du Service des impôts d’Aigle (Contribuable 436 047 01 Succ. J. Gacond, impôt 2007), à dossier de l’Administration cantonale des impôts de Lausanne (No : 436.047.01/055)

Je demande que le Grand Conseil du canton de Vaud,

ordonne une enquête indépendante visant les Services de l’État de Vaud concernés, Services judiciaire, fiscal, de l’OIT, de l’ECA, du Registre foncier, de la Municipalité de Gryon et qui montre également les responsabilités de l’Administration des impôts de Lausanne et de l’Office des impôts d’Aigle. De hauts fonctionnaires de l’État de Vaud, se sont permis, au mépris de la bonne foi, au mépris de l’article 9 Cst, d’occulter jusqu’à ce jour et depuis plus de 14 ans :

des faux dans les titres d’ordre fiscal et immobilier, indubitablement présumés notamment, des fraudes fiscales dans cette succession frauduleusement détournée, au plus grand détriment de l’État de Vaud, de ses citoyens et de la soussignée, simple citoyenne.

Je demande que le Grand Conseil du canton de Vaud,

reconnaisse la responsabilité de l’État de Vaud, au vu des dysfonctionnements graves de l’État, relatés dans le document « Succession frauduleusement détournée depuis 2007, faux dans les titres, fraudes fiscales », ci-annexé.

Vu la gravité des délits ci-dessus exposés, je fais valoir mes demandes d’indemnisation sur les préjudices directs causés par des représentants de l’État de Vaud.

Ces justes motifs m’ont fondée, à déposer en 2018 une poursuite contre l’État de Vaud à hauteur de 1 million de CHF.

Cette poursuite est libellée comme suit :

« (…) Actes illicites commis par l’Office des impôts du canton de Vaud, de l’État de Vaud dans le cadre du traitement fiscal de la succession de Jacques André GACOND, réf. 2007/ et No de contribuable 436 047 01 SUCC ; Rétention d’informations (refus de communiquer certains documents) par l’Office des impôts ; et en lien avec M. Claude BUGNON, ainsi qu’en lien avec les actes illicites commis par le représentant de la succession, Me Patrick FRUNZ, désigné en cette qualité par le Tribunal régional du Littoral et du Val-de-Travers de Neuchâtel (…) »

Je demande que le Grand Conseil du canton de Vaud,

accède à une demande de juste indemnisation de la soussignée, gravement lésée, par faute de l’État de Vaud, semble-t-il

Quel parti politique peut rester muet face à de tels dysfonctionnements du fisc, du système judiciaire et de Services de l’État du canton de Vaud ?

Je reste à votre disposition pour toute demande d’information complémentaire.

Dans l’attente d’une réponse positive de votre part que j’appelle de mes vœux, je vous prie d’agréer, Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les membres du Grand Conseil, l’expression de ma haute considération.

Chantal Perret

Annexes : 1) Document intitulé « Succession frauduleusement détournée depuis 2007, fraudes fiscales, faux dans les titres, manœuvres choquantes de la Banque Cantonale Neuchâteloise dans cette succession »

  1. Copie de la lettre AR du 20 novembre 2020 de Chantal Perret à Véronika PANTILLON, juriste, députée Verte au Grand Conseil Neuchâtelois (Vice-présidente du Conseil de la magistrature, et Vice-présidente de la Commission judiciaire du Grand Conseil Neuchâtelois jusqu’en mai 2021)

Voici le rapport complété adressé au Grand Conseil neuchâtelois le 6 juillet 2021, ainsi qu’au Grand Conseil vaudois le 2 août 2021.

-2021.07.08 – Fisc fou ? Lettre du 6 juillet 2021 au Grand Conseil de Neuchâtel avec un rapport détaillé sur les manœuvres choquantes de la Banque Cantonale Neuchâteloise, sur des fraudes fiscales et faux dans les titres dans les cantons de Neuchâtel, Vaud, Genève, Bâle et Zürich notamment. Abus-suisses.blogspot.com, sentinelles : https://abus-suisses.blogspot.com/2021/07/fraudes-fiscales-folles-3f.html

Un autre cas qui se prolonge pour cuire à petit feu une victime à L\'AI:

L\'affaire du créancier au coupable

Un destinataire IV tente de recouvrer d\'anciennes créances avec l\'aide d\'une société de recouvrement. Ce qui se passe ensuite détruit sa croyance en la justice.

«Justice de merde». Quel système judiciaire merdique: Rolf Ritter n\'en ressort pas beaucoup plus lorsqu\'il se présente devant le tribunal de grande instance de Vevey le 6 octobre après deux longues journées d\'audience. Condamné pour tentative d\'extorsion à une peine avec sursis de 90 taux journaliers de 50 francs, plus les frais de justice de près de 2500 francs. C\'est beaucoup d\'argent pour quelqu\'un qui peut simplement joindre les deux bouts avec une pension AI. Et c\'est un verdict inexplicable pour un croyant qui essayait simplement de récupérer son argent. Rolf Ritter ne comprend finalement plus le monde.

L\'affaire dans laquelle il a été pris il y a plus de dix ans aurait pu trouver une conclusion indulgente ce jour-là. Un acquittement n\'aurait pas calmé les nuits blanches depuis, mais une compensation pour les malheurs subis aurait été plus que bienvenue. Mais une condamnation pour tentative d\'extorsion? «Justice de merde».

L\'histoire du malheur de Rolf Ritter commence bien plus tôt - avec une tempête. Le 24 septembre 1993, le Saltina a fait irruption dans ses berges à Brigue et a dévasté la moitié de la ville. Au milieu de tout cela, les masses d’eau ont également frappé les locaux commerciaux de Ritter, une entreprise qui équipe les restaurants et les bars de systèmes de distribution dans toute la Suisse. L\'entrepôt n\'est pas assuré et Rolf Ritter en arrive à la conclusion qu\'il n\'y a qu\'une chose: une liquidation ordonnée et un nouveau départ. Il devient gardien de prison à Vaud, et enfin policier à Montreux.

Il a encore de l\'argent, il reste quelque dix mille francs de la liquidation. Au milieu des années 90, il rencontre Jean-Louis D., un boulanger avec une idée, au Rotary Club. «La baguette à Pierrot» vise à faire vivre l\'art de vivre suisse à Zurich. Malheureusement, D. n\'a pas d\'argent et donc il persuade Rolf Ritter de démarrer une entreprise. Ritter lui prête environ 50 000 francs, que D. investit immédiatement dans un produit financier risqué en Allemagne. L\'échec ne tarde pas à venir. L\'accord tourne mal, D. est rompu et Rolf Ritter reçoit un billet à ordre de 54 000 francs.

Avec ce billet à ordre, Rolf Ritter s\'est rendu à la société de recouvrement Debitors Management SA à Montreux à l\'automne 2009. Car entre-temps, beaucoup de choses ont mal tourné dans la vie de Ritter: il a perdu son emploi, sa famille s\'est séparée, il a des problèmes psychologiques et bien sûr: des soucis d\'argent. «J\'ai finalement voulu récupérer mon argent», dit-il: «Et j\'ai pensé que Debitors Management SA pouvaient m\'aider.

Les agences de recouvrement ne sont pas connues pour s\'attaquer aux débiteurs avec des gants pour enfants. Leur modèle économique repose sur le recouvrement des créances pour le compte des créanciers. S\'ils réussissent à le faire, ils recevront une certaine part de l\'argent apporté.

La réputation de l\'industrie est notoirement mauvaise et elle le sait: il existe une sorte de code de conduite professionnelle de l\'Association des fiduciaires suisses de recouvrement de créances VSI. Une société de recouvrement ne peut accepter une commande d\'un créancier que si elle a vérifié si la créance est justifiée. Les débiteurs doivent toujours être contactés par écrit, les appels téléphoniques ne sont autorisés que dans des cas exceptionnels. Il est également interdit de menacer un débiteur du fait que ses dettes seront signalées à des tiers ou à des entreprises qui exploitent des bases de données sur le comportement de paiement des citoyens.

Debitors Management SA n\'est pas membre du VSI et ne respecte pas son code de conduite. Rolf Ritter ne savait rien de tout cela lorsqu\'il a confié à l\'entreprise la tâche de récupérer son crédit. Il doit recevoir 45 pour cent de l\'argent, les débiteurs 55. C\'est ce contrat qui porte finalement Rolf Ritter en justice.

Lorsqu\'il appose sa signature sur le papier, Rolf Ritter est retraité AI depuis sept ans. Il est mentalement battu et sa mémoire est altérée. Son espoir d\'une vie meilleure tient à l\'unique billet à ordre de 54 000 francs.

Mais le montant du billet à ordre ne correspond plus aux circonstances réelles. A la fin des années 1990, son débiteur D. a persuadé la société d\'investissement allemande, ce qui lui a valu la perte de son investissement, de transférer Rolf Ritter autour de 45 000 francs, la dette n\'est que d\'environ 8 500 francs. Mais à cause de sa maladie, Rolf Ritter a des lacunes de mémoire. Si vous lui posez des questions sur le paiement, il semble désespéré: \"Je ne me souviens pas, honnêtement.\" Le fait est que le billet à ordre n\'a jamais été changé, les 54 000 francs sont toujours dessus.

Debitors Management SA n\'a rien vérifié lorsque Ritter a cédé sa créance. Au contraire: sous leur égide, les dettes de Pierre-Louis D. reprennent fortement. La société de recouvrement ajoute des intérêts au montant du billet à ordre, qui aurait été accumulé depuis la fin des années 1990. C\'est illégal, et les responsables de Debitors Management SA devraient le savoir. Enfin, la société facture également des frais de recouvrement, qui ne sont pas non plus dus. Au total, Debitors Management SA représente un montant de plus de 113 000 francs. Désormais, elle fait tout son possible pour récupérer cette somme auprès de Pierre-Louis D.

Un certain «P.-A. Deley » commence à couvrir le débiteur Pierre-Louis D. de lettres. Il y menace de toutes les conséquences possibles: le paternalisme, la saisie-arrêt des salaires et le fait que le recouvrement des créances soit remis à une société appelée \"Beat Prasolik National & International Collection Agency\". Celui-ci écrit également rapidement des lettres au débiteur D., et ces lettres semblent également menaçantes. Juste: Ni la personne \"P.-A. Deley »ni la société« Beat Prasolik National & International Collection Agency »n\'existent. Les débiteurs utilisent des pseudonymes pour tenter d\'intimider les débiteurs.

Le débiteur D. ne le sait pas et il se défend. Il répond, il appelle. Et il présente la preuve qu\'environ 45 000 francs de la dette ont déjà été payés et qu\'il n\'a qu\'environ 8 500 francs impayés. Les débiteurs ignorent ces interventions et insistent sur le paiement de 113 000 francs.

Rolf Ritter n\'a aucune idée de l\'une de ces machinations. Il a donné un mandat aux débiteurs et espère désormais que la société pourra récupérer au moins une partie de ce qu\'il estime encore être de 54 000 francs. Ce n\'est que lorsqu\'une plainte criminelle pour tentative d\'extorsion est arrivée dans la maison à l\'automne 2010, déposée par le débiteur Pierre-Louis D., que Ritter s\'est rendu compte qu\'un mauvais jeu était joué en son nom. Il donne un avis sur le mandat du débiteur sur place, mais il est trop tard. Le moulin de la justice a démarré et il est en plein dedans.

Le procureur de la République enquête sur le directeur général de Debitors Management SA et un employé pour tentative de coercition et de chantage. Dans l\'acte d\'accusation, il détaille comment fonctionne l\'activité des agents de recouvrement et comment elle est conçue pour susciter la peur et la terreur parmi les débiteurs. Le procureur prend son temps, et au fil des ans, de nouvelles affaires se sont ajoutées: une femme poursuit l\'entreprise parce que Debitors Management SA tente avec des lettres de menaces de recouvrer une dette présumée pour un porte-clés qui n\'a jamais été commandé. Un homme s\'est plaint parce qu\'elle lui avait facturé un service de colis qu\'il n\'avait jamais utilisé. Une autre femme poursuit parce que Debitors tente de faufiler la facture d\'hôpital de sa mère pour plusieurs milliers de francs. Et et et. Le procureur intègre de plus en plus d\'affaires dans la procédure, et cela prend de plus en plus de temps.

Ces cas n\'ont rien à voir avec Rolf Ritter. Il ne sait pas ce qui se passe dans les bureaux de Debitors Management. «J\'y étais une seule fois lorsque j\'ai apporté le billet à ordre», dit-il. Néanmoins, le parquet considère qu\'il est prouvé que lui, le retraité AI du Bas-Valais, a activement aidé au siège de Debitors Management SA à intimider son débiteur Pierre-Louis D. avec des lettres et de vagues menaces afin de lui faire payer un montant complètement excessif..

Bloss: Il n\'y a aucune preuve que Rolf Ritter ait fait ça. Le pensionné AI ne nie pas avoir donné un mandat au débiteur. Et il a vraisemblablement reçu 45 000 francs une fois. Pas de son débiteur D., mais d\'une société dans laquelle il avait investi. Et Rolf Ritter a toujours un billet à ordre de 54 000 francs de son débiteur, qui n\'a jamais été changé ni déclaré nul.

Mais surtout, Rolf Ritter a maintenant un jugement sur son cou qu\'il ne comprend pas. Coupable de tentative d\'extorsion. Comme si c\'était lui qui écrivait les lettres de menaces à son débiteur et ne cessait d\'augmenter la pression. Comme s\'il était un employé d\'une entreprise qui utilise des méthodes douteuses pour recouvrer les dettes.

Parce que le jugement ne laisse aucun doute sur le fait que lui, le retraitéAI qui essaie d\'une manière ou d\'une autre de vivre sa vie, est un coupable. L\'employé est acquitté par les deux représentants de Debitors Management SA. Le directeur général de Debitors Management SA reçoit une peine avec sursis de 180 taux quotidiens pour un total de huit cas dans lesquels il est condamné, pour Rolf Ritter il déduit 90 taux quotidiens pour «son» cas.

Rolf Ritter ne comprend plus le monde. «… justice de merde». Son avocat a fait appel.

%%votre signature%%



Un pour tous, tous pour un
67 signatures

Partager avec vos amis:

     


Dernières Signatures
67
Samuel S.
 
1092 
Switzerland 
Oct 27, 2021
66
Wittwer T.
 
2300 
Switzerland 
Oct 10, 2021
65
Verena F.
 
1255 
?? 
Sep 20, 2021
64
Fatoumata G.
 
1218 
Switzerland 
Sep 18, 2021
63
F. S.
 
1006 
Switzerland 
Sep 15, 2021
62
Gérald P.
 
1903 
Switzerland 
Juin 30, 2021
61
friederike m.
 
1205 
Switzerland 
Juin 28, 2021
60
Gabriel T.
 
1203 
Switzerland 
Juin 28, 2021
59
Evelyne M. G.
 
2882 
Switzerland 
Juin 28, 2021
58
François F.
 
1996 
Switzerland 
Juin 28, 2021
57
Isabelle Z.
 
1018 
Switzerland 
Juin 28, 2021
56
Elmi S.
 
2504 
Switzerland 
Juin 28, 2021
55
Annick T.
 
1006 
Switzerland 
Juin 28, 2021
54
Sonia D.
 
Spain 
Belgium 
Juin 28, 2021
53
Angelique Q.
 
1004 
Switzerland 
Juin 28, 2021
52
Marielle N.
 
1009 
Switzerland 
Juin 27, 2021
51
Killian R.
 
1870 
Switzerland 
Juin 27, 2021
50
Stéphane D.
 
1896 
Switzerland 
Juin 27, 2021
49
Ritter S.
 
6276  
Switzerland 
Juin 27, 2021
48
Boffetti R.
 
1897 
?? 
Juin 27, 2021
47
Ameena S.
 
2400 
?? 
Juin 26, 2021
46
Esther G.
 
6443 
?? 
Juin 26, 2021
45
Francis W.
 
1926 Fully 
Switzerland 
Juin 26, 2021
44
Guy L.
 
1965 
Switzerland 
Juin 26, 2021
43
Marie-Hélène V.
 
1926 
Switzerland 
Juin 26, 2021
42
Georges-H. B.
 
6443 Morschach 
?? 
Juin 26, 2021
41
Vanya H.
 
2502 
Switzerland 
Juin 25, 2021
40
Imboden A.
 
3902 
Switzerland 
Juin 25, 2021
39
Corinne B.
 
1008 
Switzerland 
Juin 25, 2021
38
Beat W.
 
1868 
Switzerland 
Juin 25, 2021
37
Michèle C.
 
1700 
Switzerland 
Juin 25, 2021
36
Daisy N.
 
1926 Fully  
Switzerland 
Juin 25, 2021
35
Martina K.
 
31717  
Germany 
Juin 25, 2021
34
Jsno H.
 
 
Switzerland 
Juin 25, 2021
33
Catherine P.
 
 
Switzerland 
Juin 25, 2021
32
José P.
 
1052 
Switzerland 
Juin 25, 2021
31
Michel D.
 
1897 
Switzerland 
Juin 25, 2021
30
Barbiera A.
 
1033 
Switzerland 
Juin 25, 2021
29
Gabriel M.
 
1984 
Switzerland 
Juin 25, 2021
28
Patricia M.
 
2504 
Switzerland 
Juin 25, 2021
27
Emilie F.
 
2822 
Switzerland 
Juin 25, 2021
26
Jean-Michel P.
 
1786 
?? 
Juin 25, 2021
25
F. D.
 
1006 
Switzerland 
Juin 25, 2021
24
Vincent F.
 
29820 
France 
Avr 07, 2021
23
Brigitte M.
 
2340 
Switzerland 
Mar 13, 2021
22
Jeannine P.
 
2720 
Switzerland 
Mar 13, 2021
21
Bernadette J.
 
8047 
Switzerland 
Mar 13, 2021
20
Qendresa K.
 
2720 
Switzerland 
Mar 13, 2021
19
Anita S.
 
2863 
Switzerland 
Mar 05, 2021
18
Dominique M.
 
1950 
Switzerland 
Fév 23, 2021

L’affaire

du créancier au coupable

Un destinataire IV tente de recouvrer d’anciennes créances avec l’aide d’une société de recouvrement. Ce qui se passe ensuite détruit sa croyance en la justice. 

«Justice de merde». Quel système judiciaire merdique: Rolf Ritter n’en ressort pas beaucoup plus lorsqu’il se présente devant le tribunal de grande instance de Vevey le 6 octobre après deux longues journées d’audience. Condamné pour tentative d’extorsion à une peine avec sursis de 90 taux journaliers de 50 francs, plus les frais de justice de près de 2500 francs. C’est beaucoup d’argent pour quelqu’un qui peut simplement joindre les deux bouts avec une pension AI. Et c’est un verdict inexplicable pour un croyant qui essayait simplement de récupérer son argent. Rolf Ritter ne comprend finalement plus le monde. 

L’affaire dans laquelle il a été pris il y a plus de dix ans aurait pu trouver une conclusion indulgente ce jour-là. Un acquittement n’aurait pas calmé les nuits blanches depuis, mais une compensation pour les malheurs subis aurait été plus que bienvenue. Mais une condamnation pour tentative d’extorsion? «Justice de merde».

L’histoire du malheur de Rolf Ritter commence bien plus tôt – avec une tempête. Le 24 septembre 1993, le Saltina a fait irruption dans ses berges à Brigue et a dévasté la moitié de la ville. Au milieu de tout cela, les masses d’eau ont également frappé les locaux commerciaux de Ritter, une entreprise qui équipe les restaurants et les bars de systèmes de distribution dans toute la Suisse. L’entrepôt n’est pas assuré et Rolf Ritter en arrive à la conclusion qu’il n’y a qu’une chose: une liquidation ordonnée et un nouveau départ. Il devient gardien de prison à Vaud, et enfin policier à Montreux. 

Il a encore de l’argent, il reste quelque dix mille francs de la liquidation. Au milieu des années 90, il rencontre Jean-Louis D., un boulanger avec une idée, au Rotary Club. «La baguette à Pierrot» vise à faire vivre l’art de vivre suisse à Zurich. Malheureusement, D. n’a pas d’argent et donc il persuade Rolf Ritter de démarrer une entreprise. Ritter lui prête environ 50 000 francs, que D. investit immédiatement dans un produit financier risqué en Allemagne. L’échec ne tarde pas à venir. L’accord tourne mal, D. est rompu et Rolf Ritter reçoit un billet à ordre de 54 000 francs. 

Avec ce billet à ordre, Rolf Ritter s’est rendu à la société de recouvrement Debitors Management SA à Montreux à l’automne 2009. Car entre-temps, beaucoup de choses ont mal tourné dans la vie de Ritter: il a perdu son emploi, sa famille s’est séparée, il a des problèmes psychologiques et bien sûr: des soucis d’argent. «J’ai finalement voulu récupérer mon argent», dit-il: «Et j’ai pensé que Debitors Management SA pouvaient m’aider. 

Les agences de recouvrement ne sont pas connues pour s’attaquer aux débiteurs avec des gants pour enfants. Leur modèle économique repose sur le recouvrement des créances pour le compte des créanciers. S’ils réussissent à le faire, ils recevront une certaine part de l’argent apporté. 

 

La réputation de l’industrie est notoirement mauvaise et elle le sait: il existe une sorte de code de conduite professionnelle de l’Association des fiduciaires suisses de recouvrement de créances VSI. Une société de recouvrement ne peut accepter une commande d’un créancier que si elle a vérifié si la créance est justifiée. Les débiteurs doivent toujours être contactés par écrit, les appels téléphoniques ne sont autorisés que dans des cas exceptionnels. Il est également interdit de menacer un débiteur du fait que ses dettes seront signalées à des tiers ou à des entreprises qui exploitent des bases de données sur le comportement de paiement des citoyens. 

 

Debitors Management SA n’est pas membre du VSI et ne respecte pas son code de conduite. Rolf Ritter ne savait rien de tout cela lorsqu’il a confié à l’entreprise la tâche de récupérer son crédit. Il doit recevoir 45 pour cent de l’argent, les débiteurs 55. C’est ce contrat qui porte finalement Rolf Ritter en justice. 

 

Lorsqu’il appose sa signature sur le papier, Rolf Ritter est retraité AI depuis sept ans. Il est mentalement battu et sa mémoire est altérée. Son espoir d’une vie meilleure tient à l’unique billet à ordre de 54 000 francs. 

 

Mais le montant du billet à ordre ne correspond plus aux circonstances réelles. A la fin des années 1990, son débiteur D. a persuadé la société d’investissement allemande, ce qui lui a valu la perte de son investissement, de transférer Rolf Ritter autour de 45 000 francs, la dette n’est que d’environ 8 500 francs. Mais à cause de sa maladie, Rolf Ritter a des lacunes de mémoire. Si vous lui posez des questions sur le paiement, il semble désespéré: “Je ne me souviens pas, honnêtement.” Le fait est que le billet à ordre n’a jamais été changé, les 54 000 francs sont toujours dessus.

 

Debitors Management SA n’a rien vérifié lorsque Ritter a cédé sa créance. Au contraire: sous leur égide, les dettes de Pierre-Louis D. reprennent fortement. La société de recouvrement ajoute des intérêts au montant du billet à ordre, qui aurait été accumulé depuis la fin des années 1990. C’est illégal, et les responsables de Debitors Management SA devraient le savoir. Enfin, la société facture également des frais de recouvrement, qui ne sont pas non plus dus. Au total, Debitors Management SA représente un montant de plus de 113 000 francs. Désormais, elle fait tout son possible pour récupérer cette somme auprès de Pierre-Louis D. 

 

Un certain «P.-A. Deley »commence à couvrir le débiteur Pierre-Louis D. de lettres. Il y menace de toutes les conséquences possibles: le paternalisme, la saisie-arrêt des salaires et le fait que le recouvrement des créances soit remis à une société appelée “Beat Prasolik National & International Collection Agency”. Celui-ci écrit également rapidement des lettres au débiteur D., et ces lettres semblent également menaçantes. Juste: Ni la personne “P.-A. Deley »ni la société« Beat Prasolik National & International Collection Agency »n’existent. Les débiteurs utilisent des pseudonymes pour tenter d’intimider les débiteurs. 

 

Le débiteur D. ne le sait pas et il se défend. Il répond, il appelle. Et il présente la preuve qu’environ 45 000 francs de la dette ont déjà été payés et qu’il n’a qu’environ 8 500 francs impayés. Les débiteurs ignorent ces interventions et insistent sur le paiement de 113 000 francs. 

 

Rolf Ritter n’a aucune idée de l’une de ces machinations. Il a donné un mandat aux débiteurs et espère désormais que la société pourra récupérer au moins une partie de ce qu’il estime encore être de 54 000 francs. Ce n’est que lorsqu’une plainte criminelle pour tentative d’extorsion est arrivée dans la maison à l’automne 2010, déposée par le débiteur Pierre-Louis D., que Ritter s’est rendu compte qu’un mauvais jeu était joué en son nom. Il donne un avis sur le mandat du débiteur sur place, mais il est trop tard. Le moulin de la justice a démarré et il est en plein dedans. 

 

Le procureur de la République enquête sur le directeur général de Debitors Management SA et un employé pour tentative de coercition et de chantage. Dans l’acte d’accusation, il détaille comment fonctionne l’activité des agents de recouvrement et comment elle est conçue pour susciter la peur et la terreur parmi les débiteurs. Le procureur prend son temps, et au fil des ans, de nouvelles affaires se sont ajoutées: une femme poursuit l’entreprise parce que Debitors Management SA tente avec des lettres de menaces de recouvrer une dette présumée pour un porte-clés qui n’a jamais été commandé. Un homme s’est plaint parce qu’elle lui avait facturé un service de colis qu’il n’avait jamais utilisé. Une autre femme poursuit parce que Debitors tente de faufiler la facture d’hôpital de sa mère pour plusieurs milliers de francs. Et et et. Le procureur intègre de plus en plus d’affaires dans la procédure, et cela prend de plus en plus de temps.

 

Ces cas n’ont rien à voir avec Rolf Ritter. Il ne sait pas ce qui se passe dans les bureaux de Debitors Management. «J’y étais une seule fois lorsque j’ai apporté le billet à ordre», dit-il. Néanmoins, le parquet considère qu’il est prouvé que lui, le retraité AI du Bas-Valais, a activement aidé au siège de Debitors Management SA à intimider son débiteur Pierre-Louis D. avec des lettres et de vagues menaces afin de lui faire payer un montant complètement excessif.. 

 

Bloss: Il n’y a aucune preuve que Rolf Ritter ait fait ça. Le pensionné AI ne nie pas avoir donné un mandat au débiteur. Et il a vraisemblablement reçu 45 000 francs une fois. Pas de son débiteur D., mais d’une société dans laquelle il avait investi. Et Rolf Ritter a toujours un billet à ordre de 54 000 francs de son débiteur, qui n’a jamais été changé ni déclaré nul. 

 

Mais surtout, Rolf Ritter a maintenant un jugement sur son cou qu’il ne comprend pas. Coupable de tentative d’extorsion. Comme si c’était lui qui écrivait les lettres de menaces à son débiteur et ne cessait d’augmenter la pression. Comme s’il était un employé d’une entreprise qui utilise des méthodes douteuses pour recouvrer les dettes. 

 

Parce que le jugement ne laisse aucun doute sur le fait que lui, le retraitéAI qui essaie d’une manière ou d’une autre de vivre sa vie, est un coupable. L’employé est acquitté par les deux représentants de Debitors Management SA. Le directeur général de Debitors Management SA reçoit une peine avec sursis de 180 taux quotidiens pour un total de huit cas dans lesquels il est condamné, pour Rolf Ritter il déduit 90 taux quotidiens pour «son» cas. 

 

Rolf Ritter ne comprend plus le monde. «… justice de merde». Son avocat a fait appel.

 

Translate »