Les votations de ce 13 juin sont frauduleuses. Des plaintes ont été déposées au TF. L’ordonnance relative à la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme est quand même mise en consultation
Berne, 23.06.2021 – Les votants ont approuvé la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme (MPT) le 13 juin 2021. Les premières dispositions, qui concernent la coopération policière et les recherches secrètes, entreront en vigueur en automne déjà. La mise en œuvre des mesures de police préventive prévues sera précisée dans une ordonnance (OMPT), que le Conseil fédéral a mise en consultation lors de sa séance du 23 juin 2021.
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Nos remarques:
Toute modification de la législation se doit de respecter la Constitution, les droits fondamentaux et les exigences en matière de protection des données.
Elle doit respecter notamment les principes historiques suisses de bonne foi, de subsidiarité, de fédéralisme, de neutralité, de recherche de la paix, de concorde, de consultation de tous les corps intermédiaires ( Communes, Cantons, Universités, Armée, Syndicats, Académies, Chambre de commerce, etc ), d’exhaustivité, d’objectivité, d’unité de la matière, de transparence et de proportionnalité.
Or, des lois, ordonnances, arrêtés, règlements et pratiques de plus en plus nombreuses violent clairement ces principes. La seule chambre constitutionnelle est le peuple suisse, qui est de plus en plus souvent bafoué. Le Tribunal fédéral, en tant qu’organe d’application et les autres autorités sont tenus d’appliquer les lois fédérales. Cette règle,en vertu de la séparation des pouvoirs, interdit aux juges de vérifier la constitutionnalité des lois fédérales. Un citoyen ne peut donc pas se plaindre d’une violation de ses droits, même fondamentaux, lorsqu’elle est contenue dans le texte même d’une telle loi, sorte de dogme que les juges peuvent évaluer mais non toucher. Lorsque le délai du référendum est passé, il ne reste que la lourde voie de l’initiative constitutionnelle fédérale, trop rarement couronnée de succès et galvaudée par l’absence de version législative, qui mène à l’introduction dans notre texte fondateur, un fatras d’éléments n’y ayant pas leur place. Les lobbies abusent de plus en plus souvent de cette faiblesse juridique.
Encore pire, rappelons, par exemple, que les projets de création de corps fédéraux dédiés à la protection des conférences internationales (police mobile intercantonale en 1970) ou à la lutte contre le terrorisme (police fédérale de sécurité en 1978) furent tous rejetés par le peuple suisse en votations.
http://www.ge.ch/grandconseil/memorial/data/560210/46/560210_46_partie21.asp
Il en existe maintenant plusieurs, en toute illégalité ( Tiago, Tigris, Caméléons, Moban, UAV… ) et la loi MPT que nous voterons aussi le 13 juin pourrait aggraver encore leurs pouvoirs…notamment par son article.
23e al. 2 P-LMSI). De simples présomptions et des spéculations sur les intentions et les actions futures des individus pourront constituer la base des mesures policières, sans que rien ne laisse présumer une infraction pénale…
L’ordre des avocats genevois s’élève aussi contre ces abus.
https://www.odage.ch/medias/documents/determination-oda/2021.05.05_Prise_de_position_MPT.pdf
Les suspects peuvent l’être dès 12 ans ! Selon l’ art. 24f 1 Les mesures des art. 23k à 23n, 23q et 24c.
D’autre part, le parlement, la BNS et la Finma ne respectent pas la constitution qui se vide de sa substance par des violations croissantes des serments fédéraux, cantonaux et communaux.
Toutes les “mesures d’urgence” et ordonnances imposées depuis plus d’une année, ne respectent ni la bonne foi, base du droit suisse, ni l’objectivité scientifique, ni souvent l’unité de la matière, ni la transparence, ni la proportionnalité, ni même les procédures déjà prévues auparavant pour des situations d’urgence sanitaire. Au mépris des évidences cliniques les plus élémentaires, a été institué un état d’urgence artificiel et anxiogène, niant par exemple l’existence des traitements efficaces et bon marché, utilisés avec succès par de nombreux pays; en vue d’ériger en solution incontournable des produits expérimentaux prohibitifs, inaboutis, inefficaces, contre-productifs et dangereux, nécessitant une logistique disproportionnée. Les chiffres ont été honteusement biaisés, de la récolte des données jusqu’à leur présentation dans les média dominants refusant d’admettre qu’il n’y a plus ni pandémie, ni épidémie réelle. Le nombre des morts n’est jamais mis en perspective avec les s causes de mortalité ni avec les années précédentes, les cas sérieux sont traités de manières inappropriées et montés en épingle, les cas bénins sont gonflés artificiellement et l’éventuel manque de lits résulte autant de transferts abusifs de malades, que d’une politique de soi-disant réduction des coûts de la santé tout aussi inefficace financièrement que médicalement. L’espérance de vie baisse maintenant, et ceci à cause des effets dangereux de produits expérimentaux bâclés. Moderna par exemple, a raté toutes ses homologations de “vaccins” par le passé, et tous les acteurs dans ce domaine ont été condamnés à de lourdes amendes pour corruption, conflits d’intérêts, études “scientifiques” truquées, etc… Pfizer a aussi été condamné à de multiples reprises aux États-Unis pour falsification de données, corruption active et versement de commissions occultes. Cette pléthore de cas édifiants démontre à l’évidence que confier le développement et la fabrication de produits médicaux à des entreprises industrielles, transnationales à but lucratif, qui plus est, avec un encadrement à géométrie variable (pour ne pas dire élastique) relève du non-sens.
Si le contrat européen avec Pfizer, qui s’étend jusqu’en 2023, devait être exécuté comme prévu, chaque personne de l’Union européenne serait vaccinée au moins quatre fois sur une période de deux ans (2021-2023).
De plus, à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’ARNm de Pfizer (ainsi que ceux de ses concurrents, dont AstraZeneca, Moderna et J. & J.) sont légalement classés (aux États-Unis) comme « non approuvés » et « produits expérimentaux ». Ces produits ont été mis en circulation en toute illégalité sous un prétexte d’urgence sanitaire parfaitement abusif offrant ainsi à ces firmes un banc d’expérimentation à l’échelle planétaire aux frais de la princesse (en fin de compte, nous autres contribuables) et en les exemptant contractuellement, au mépris du droit le plus élémentaire et en catimini, de toute responsabilité.
Le plus grand projet d’un « produit non homologué » doit être mis en œuvre par une grande entreprise pharmaceutique qui a un long passé de corruption de médecins et de responsables de la santé publique.
Pfizer a été un « contrevenant par métier », s’engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corruptrices, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d’essais défavorables. Depuis 2002, l’entreprise et ses filiales se sont vu infliger 3 milliards de dollars de condamnations pénales, de sanctions civiles et d’amendes compensatoires par un jury. (Dr Robert G. Evans, National Institutes of Medicine)
De plus, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis, car inculpé par le ministère américain de la justice en 2009 pour « marketing frauduleux ».
« Pfizer, la plus grande entreprise pharmaceutique du monde, a été frappée de la plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis dans le cadre d’un accord de 2,3 milliards de dollars avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion abusive de médicaments et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants. ».
Dans une décision historique du ministère américain de la justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable face à des accusations pour crimes. Il s’agissait du « plus important règlement pour fraude dans le domaine de la santé » de l’histoire du ministère américain de la Justice.
Pour visionner la vidéo de C-Span, cliquez ici.
Faire confiance à un conglomérat de fabricants pharmaceutiques ayant plaidé coupable face à des accusations pour crimes portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), notamment en matière de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ne peut être considéré que comme une atteinte absurde à la sécurité de la population. Dans tout état juridiquement crédible, cela mènerait à leur démantèlement et à la mise hors d’état de nuire de leurs dirigeants, ainsi que des responsables politiques administratifs et sanitaires n’ayant pas assumé leurs responsabilités en matière de prévention et de traitement de ces cas. L’ensemble du processus est associé à une campagne généralisée de propagande mensongère et anxiogène et à la tentative d’imposer un passeport vaccinal numérique intégré et inextricable du corps humain.
Celui-ci fait partie du tristement célèbre projet ID 2020 parrainé par l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (le GAVI à Genève, se voulant au-dessus de nos lois et fonctionnant donc hors la loi avec le soutien et le financement du Conseil fédéral suisse, en fait, propriété privée de la fondation Bill & Melinda Gates « qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique généralisée ».
Le « vaccin » tueur
L’intégrité de l’entreprise ? Le comportement de Pfizer BioNTech en matière de « commercialisation frauduleuse » prévaut en ce qui concerne les 1,8 milliard de doses prévues de son « vaccin » à ARNm COVID 19 Tozinameran, « non homologué » et « expérimental », vendu sous la marque Comirnaty.
Nous avons affaire à la « commercialisation frauduleuse » de ce qui est décrit comme un « vaccin » mortel.
Mais en fait, le « vaccin » à ARNm qui modifie le génome humain n’est PAS un vaccin. Il est basé sur les inoculations ou injections de produits à la fois génétiquement manipulés et nano-technologiques répétés comme des mises à jour de logiciels d’exploitation, selon leur propre vocabulaire, combinées à un passeport vaccinal intégré interagissant avec un scanner approprié.
Bien que médiatiquement minimisés et répertoriés de manière tendancieusement lacunaire,de nombreux décès et effets secondaires de plus en plus graves, sur des personnes de plus en plus jeunes et nombreuses, résultent de ces «techno-bouillons expérimentaux» à haut rendement financier.
Le Conseil fédéral accordera un passeport Covid de plus longue durée aux personnes vaccinées qu’aux personnes ayant une immunité naturelle incomparablement meilleure suite à leur guérison du Covid-19. Il s’agit donc d’une nouvelle décision totalement arbitraire et discriminatoire, imposée par le Conseil fédéral !
Pourtant, selon des experts de plus en plus nombreux, et exempts de conflits d’intérêts, contrairement aux plus de 70 “experts” qui n’ont pas encore démissionné de la task force, qu’on pourrait rebaptiser task farce suisse, toutes les mesures liberticides peuvent être supprimées aujourd’hui…
Leurs arguments:
Afin de mieux protéger la population contre le terrorisme, il faut que les informations essentielles soient disponibles. C’est pourquoi le Conseil fédéral entend faire entrer en vigueur le 1er octobre 2021 déjà deux dispositions de la loi MPT qui ne nécessitent pas d’être précisées dans l’ordonnance, sous réserve de la validation du résultat de la votation:
- Le Conseil fédéral pourra à l’avenir conclure et adapter lui-même des accords de coopération policière avec des autorités de police étrangères. La conclusion de tels accords nécessitait jusqu’ici l’approbation du Parlement.
- En outre, fedpol sera autorisé, à partir d’octobre aussi, à procéder à des recherches secrètes sur Internet et sur les médias électroniques afin d’identifier à temps les réseaux d’organisations terroristes et criminelles. La poursuite pénale s’adaptera ainsi à un contexte où ces organisations utilisent de plus en plus souvent Internet et les outils numériques.
L’ordonnance régit les accès aux systèmes d’information
L’approbation de la loi MPT dote la police des mesures de police préventive qui lui permettront d’intervenir à temps contre des personnes représentant une menace terroriste. Les terroristes potentiels pourront ainsi être frappés notamment d’une obligation de se présenter, d’une interdiction de contact ou d’une interdiction de quitter le territoire, voire d’une assignation à résidence dans les cas extrêmes. Ces mesures sont temporaires, doivent être proportionnées et peuvent faire l’objet d’un recours auprès du Tribunal administratif fédéral. Le prononcé d’une assignation à résidence est quant à lui soumis à une autorisation judiciaire. Les cantons, les communes ou le Service de renseignement ne peuvent exiger des mesures de police préventive qu’après avoir épuisé les possibilités à leur disposition. Afin d’assurer le suivi des différents cas, les autorités compétentes mettront sur pied une gestion de cas (case management).
Les autorités compétentes doivent être en possession des informations nécessaires pour mettre en œuvre les mesures. Cette exigence doit être précisée en conséquence dans l’OMPT et concerne surtout les nouveaux droits d’accès à différents systèmes, tels que le système d’information central sur la migration (SYMIC) et le système de recherches informatisées de police (RIPOL). Ces droit d’accès sont déjà prévus par la loi MPT. L’OMPT apportera aussi les précisions juridiques qui permettront de recourir à la localisation par téléphonie mobile pour vérifier que les mesures ordonnées sont respectées.
La consultation dure jusqu’au 14 octobre 2021. La plupart des dispositions de la loi, de même que l’ordonnance, devraient entrer en vigueur au premier semestre de 2022.
Adresse pour l’envoi de questions
Communication fedpol, T +41 58 463 13 10, media@fedpol.admin.ch
Auteur
Conseil fédéral
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil.html
Département fédéral de justice et police
http://www.ejpd.admin.ch
Office fédéral de la police
http://www.fedpol.admin.ch/fedpol/fr/home.html