Les votations de ce 13 juin sont frauduleuses. Des plaintes ont été déposées au TF. L’ordonnance relative à la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme est quand même mise en consultation

Berne, 23.06.2021 – Les votants ont approuvé la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme (MPT) le 13 juin 2021. Les premières dispositions, qui concernent la coopération policière et les recherches secrètes, entreront en vigueur en automne déjà. La mise en œuvre des mesures de police préventive prévues sera précisée dans une ordonnance (OMPT), que le Conseil fédéral a mise en consultation lors de sa séance du 23 juin 2021.

Fraudes démocratiques: stop

Je vous prie de croire en l’expression de ma haute considération.

RECOMMANDE Tribunal fédéral Suisse Av. du Tribunal-fédéral 29 1000 Lausanne 14 Et Commission de l’OSCE pour le contrôle des votes et élections suisses

Mesdames, Messieurs Concerne: Annulation des votes et faire respecter les principes démocratiques par les 4 pouvoirs, not. La TSR-, Léman bleu et les mass-media.

Interdire à l’\'avenir tous les pré-dépouillements vu que les enveloppes internes sont translucides, contrairement à ce que vous avez écrit lors de notre recours. Nos doutes sérieux ont été reconnus par les plus hautes autorités lors du vote à Moutier ! Nous avons voulu scruter les votes dans plusieurs bureaux de vote et prendre des photographies des urnes opaques et sans sceaux valables , ce qui nous été interdit, notamment dasn les cantons de Genève, Vaud mais admis en Valais où les urnes sont transparentes. Comme chacun peut le constater de visu, les enveloppes internes sont toujours translucides dans toute la Suisse, malgré nos nombreuses remarques, recours et discussions passées. Vu l’\'importance des votes et les enjeux en milliards de francs ou pour toutes nos libertés, on doit fabriquer toutes les enveloppes vraiment opaques, le simple doute et la facilité de tricher dans chaque greffe communal avec un simple téléphone muni d\'une lampe de poche est trop grand, il n’ \'y a plus de secret de vote, ce qui ouvre la porte aux tricheries, aux mesures de rétorsion, licenciements, mobbing, pressions etc..., c\'est ridicule, on fait des enveloppes opaques pour l\'argent, qui cachent par exemple nos numéros NIP ou nos décomptes, ( banques, poste...) mais pas pour les votes.

De plus, il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes et leur contenu par d\'autres...dans le circuit des postes et dans chaque greffe municipal.

Ce qui signifie que toutes ou une grande partie de ces enveloppes peuvent trop facilement être trafiquées pour plusieurs milliers de voix (quelques voix suffisent parfois). Une entrevue avec le responsable cantonal vaudois, avait fait apparaître que ce problème était possible au niveau de chaque commune et qu’\'une motion postulat parlementaire avait été déposée, Réf : 03/POS/086, par M. Edouard Jacquemet de Corcelles-près-Payerne, au niveau cantonal vaudois pour changer la procédure du vote par correspondance et la couleur du matériel supplémentaire, sans succès réel.

Ces enveloppes supplémentaires sont donc à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe de chaque commune suisse. Dans le seul canton de Vaud, vu les plus de 40\'000 imprimées en plus, plus 15% de \"maculature\"...par l\'imprimeur, il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes par d\'autres plus \"justes\". On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu\'ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d\\'envoi signée et à des licenciements injustes....

La Confédération et le Canton de Berne notamment reconnaissent la valeur de plaintes depuis des années.

Certaines des sages mesures prises concrètement à Moutier doivent être appliquées à tous les votes en Suisse, surtout interdire les pré-dépouillements vu les enveloppes internes translucides.

Cette votation de Moutier peut et doit devenir le modèle de votations au-dessus de tout soupçon, avec des améliorations (urnes transparentes comme en Valais, à Belle Contrée, matériel de vote surnuméraire de couleur différente et contrôle de celui-ci avant, pendant et après à l\'unité près, y compris toutes les impressions surnuméraires, y compris les maculatures ou les essais dans les imprimeries concernées...

Ils ont pris enfin des mesures sérieuses pour éviter les irrégularités trop nombreuses et si faciles lors du vote de Moutier (BE) sur son appartenance cantonale, par exemple plusieurs observateurs de la Confédération, sceaux et câbles pour sceller chaque urne, suppression du dépouillement anticipé, contrôle du vote par correspondance, du registre des électeurs, interdiction du vote électronique et information dans les homes de personnes âgées et contrôles près des poubelles des locatifs, des cases postales et dans les postes. N\\'oublions pas le près de 7\'000 votes oubliés dans la rue 3 jours et 3 puits devant le bureau centralisé de la rue des Acacias à Genève.

En effet, le processus postal est aussi ouvert à des manipulations pendant toute la durée du vote par correspondance, les enveloppes sont trop facilement ouvrables, interchangeables et leurs contenus peuvent aussi être trop facilement échangés sans laisser de traces. Censures des médias. LE \"DÉBAT DÉCISIF\" ET LA CENSURE Sur Léman bleu De vendredi 3 novembre Le débat a présenté 4 candidats au lieu des 6 candidats que nous sommes ! https://www.ge.ch/elections/20231112/CdE/candidatures

👉 Ce \"débat\" est en ligne sur la page FB de Léman bleu, ICI : https://fb.watch/o8AicTldfK

La réponse de Léman bleu à cette inégalité de traitement : \"En effet, vous-même n’étiez pas candidate au premier tour et Madame Ventouri a fait à peine 1%. Avec des scores pareils, on se retire et on retente sa chance la prochaine fois !\"

La règle d\'égalité des chances n\'est clairement pas respectée ! \"Avant les élections et les votations, la SSR, qui fournit le service public audiovisuel, doit diffuser un programme assurant l\'égalité des chances entre les candidats et les bords politiques.\" Source : https://www.ch.ch/fr/systeme-politique/partis-politiques/publicite-politique/#role-des-medias

Rappelons aussi l\'affaire Bachmann d\'avril 2021, où Delphine Bachmann s\'est présentée au 2ème tour du Conseil d\'Etat de Genève sans s\'être présentée au 1er tour, mais elle a été invitée à débattre sur Léman bleu, et grâce à cela, elle a pu multiplier son score par 20 ! (Elle a obtenu 15\'408 voix, alors que le parti qui l\'a présentée, le PBD, en avait obtenu 777 au 1er tour). Pour notamment toutes ces raisons, nous demandons que vous preniez toutes les mesures nécessaires, comme lors du miracle de Moutier, soit l\'annulation des votes, l’interdiction de tous les pré-dépouillements dans chaque bureau électoral de toute la Suisse, vu les enveloppes internes translucides, jusqu’\'au matin du dimanche de dépouillement officiel, comme c\'est prévu par les lois de nos parents Viols de la constitution et des droits politiques. J’invoque notamment L’adage \"jura novit curia\" qui exprime un des principes fondamentaux de la procédure civile : l\'autonomie du juge dans la recherche et la détermination du droit et de la vérité, ainsi que la bonne foi violée dans cet arrêt, par exemple la collusion, Canton, Juges, procureurs, refus de rechercher la vérité, en mentionnant la CEDH de Strasbourg si on veut y aller. Le droit naturel et les droits de l\'Homme contemporains, tout comme le droit divin avant eux, reprennent une thèse dont le principe essentiel remonte à l\'Antiquité, à savoir l\'existence de règles universelles, intemporelles et imprescriptibles, supérieures à la volonté des pouvoirs politiques, et assurant à tous les êtres humains des droits fondamentaux identiques. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_divin

Les lois physiques définissent mécaniquement les choses, mais ce qui se meut, qui réfléchit et qui est doté d\'une intelligence c\'est l\'essence \"Je suis\" incarnée en nous. C\'est le droit divin qui nous garantit la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l\'oppression. Le droit divin définit les relations de l\' homme au Créateur, les relations entre les hommes et les relations de l\'homme aux autres êtres vivants (animaux, plantes, minéraux). La paix est à ce prix, dans la vérité, base de la justice.

Qu’il plaise aussi à votre Cour, au vu de la nature politique, de citoyens à la vraie recherche du bien commun à tous par ce recours, de lui accorder une procédure gratuite.

Votre propre jurisprudence permet de tenir compte de la nature particulière du recours en matière de droits politiques (ATF 133 I 141, consid. 4.1). Le Tribunal fédéral peut aussi renoncer à mettre des frais à charge des parties si les circonstances particulières de la cause le justifient (art. 66, al. 1, LTF).

J\'attire votre attention sur le fait que je ne suis pas avocat et que si la teneur de cette demande n\'est pas conforme aux procédures judiciaires, il y a lieu de tenir compte de la jurisprudence suisse en la matière. Le destinataire d\'un acte doit interpréter la portée de celui-ci d\'après le sens qu\'il « pouvait raisonnablement lui attribuer en le considérant comme réellement voulu, sur la base de l\'attitude antérieure du déclarant et des circonstances qu\'il connaissait au moment où la déclaration lui a été faite (ATF 94 II1 01, pp. 104-105, JT 1969 I 27, P. 28, RO 90 II 454 consid. 3 cité par Engel, Traité des obligations en droit suisse 2è éd. 1997, pp. 238-239). Une déclaration adressée à une autorité doit être comprise selon le sens que, de bonne foi, son destinataire doit lui prêter (ATF 102 Ia 92, c.2, rés. In JT 1978 I 30). L\'administration étant davantage versée dans les matières qu\'elle doit habituellement traiter, du moins formellement, on peut attendre de sa part une diligence accrue dans l\'examen des actes qui lui sont soumis, notamment lorsqu\'ils sont rédigés par des profanes, afin de leur donner un sens raisonnable, sans avoir à s\'en tenir aux expressions inexactes utilisées (Egli, la protection de la bonne foi dans le procès, en Juridiction constitutionnelle et Juridiction administrative, Recueil des travaux publiés sous l\'égide de la Première cour de droit public du Tribunal fédéral suisse, pp. 225ss, spéc. Pp. 236-237 et les exemples cités).

De plus et selon la même logique, si le destinataire de cette plainte ne répond pas aux formes de procédures, vous voudrez bien le faire suivre d\'office à l\'instance compétente. Il en est de même de l\'application des articles ci-dessus. Enfin, il se réfère à la pratique constante du Tribunal fédéral en la matière, selon laquelle les recours d’un profane sont à interpréter conformément aux intentions du recourant, vu que votre Cour est censée mieux connaître le droit qu’un simple Citoyen.

Pour le surplus, je demande que toutes mes procédures fassent partie de la même cause et pour le surplus, j’invoque ainsi notamment le principe. Jura novit Curia. Traduction. La cour connaît le droit. TF 5A_62/2014 du 17.10.2014 c. 2.2 En appel, l’instance supérieure examine librement l’application du droit (art. 310 lit. a CPC ; Message, p. 6979) ; à cet égard, il n’y a pas d’obligation d’articuler les griefs ( Rügeprinzip ).

Les citoyens votent de moins en moins, ils ne font plus confiance aux politiques, la démocratie va s’écrouler sans résistances. Allez-vous réagir pour défendre les citoyens, la Suisse et ses cantons ?

Je garde aussi mon droit d\'aller à la Haute cour de Strasbourg.

Vous êtes conscient aussi de l’obligation de dénoncer des fonctionnaires et autorités qui violent leurs serments ou les règles de déontologie ou la constitution suisse et son préambule ou la simple bonne foi..

  • Loi d\'application du code pénal suisse : Art. 33 Obligation de dénoncer

    Toute autorité, tout membre d\'une autorité, tout fonctionnaire au sens de l\'article 110, alinéa 3, du code pénal, et tout officier public acquérant, dans l\'exercice de ses fonctions, connaissance d\'un crime ou d\'un délit poursuivi d\'office est tenu d\'en aviser sur-le-champ la police ou le Ministère public..

Dans l’attente de vos déterminations, je vous prie de croire, Madame la Juge, Monsieur le Juge, en l’expression de ma haute considération. s.e.o.o Signature. des pétitionnaires Annexes : Art. 146 CP; escroquerie au procès, astuce. ... Se rend coupable d\'escroquerie celui qui, par tromperie, amène le tribunal à trancher en défaveur de la partie adverse ( consid. 2; changement de la jurisprudence publiée aux ATF 78 IV 84). Art. 312 Abus d’autorité Abus d’autorité Les membres d’une autorité et les fonctionnaires qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, ou dans le dessein de nuire à autrui, auront abusé des pouvoirs de leur charge, seront punis d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire. Art. 3141 Gestion déloyale des intérêts publics Gestion déloyale des intérêts publics Les membres d’une autorité et les fonctionnaires qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, auront lésé dans un acte juridique les intérêts publics qu’ils avaient mission de défendre seront punis d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire. En cas de peine privative de liberté, une peine pécuniaire est également prononcée.2 1 Nouvelle teneur selon le ch. I de la LF du 17 juin 1994, en vigueur depuis le 1er janv. 1995 (RO 1994 2290; FF 1991 II 933). 2 Nouvelle teneur du membre de phrase selon le ch. II 1 al. 16 de la LF du 13 déc. 2002, en vigueur depuis le 1er janv. 2007 (RO 2006 3459; FF 1999 1787). 122 IV 197 - Tribunal fédéral Escroquerie Art. 146 1 Celui qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, aura astucieusement induit en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou l’aura astucieusement confortée dans son erreur et aura de la sorte déterminé la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d’un tiers sera puni d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire. 2 Si l’auteur fait métier de l’escroquerie, la peine sera une peine priva­tive de liberté de dix ans au plus ou une peine pécuniaire de 90 jours-amende au moins. ... Plus sur https://1291.one/tricheries/

Nul de peut être juge et partie, c\'est un principe juridique fondamental. Or, dans ces cas, le canton de Vaud traite les plaintes de fraudes démocratiques sans indépendance, ce sont les tricheurs qui jugent et il possède la banque cantonale, la justice, le ministère public, les offices des faillites, etc, etc... Nous avions demandé au Ministère public de la Confédération, puis à la justice neuchâteloise ou genevoise par exemple, d’intervenir, ce qui nous a été refusé. Évitons ces conflits d\'intérêts dont nous sommes tous les victimes ! https://docs.google.com/document/d/1lx35Ze2lM6usFDGUgj1Q5J7hp-khbD9WXAyMZYgF4Xc/edit?usp=sharing

Appel à toutes les bonnes volontés ! La clé spirituelle pour sauver notre pays est le jeûne. Nous allons bientôt vivre le jeûne fédéral et la fête de St Nicolas de Flue, alias Bruder Klaus, ou Nicklaus, qui a 2 fêtes liturgiques dans l\'année, près des 2 équinoxes. Il est fêté le 25 septembre en Suisse et le 21 mars dans le reste du monde comme patron de la paix mondiale.

Jeûnons avant les votations, crions au Seigneur qu\'il fasse grâce dans la prière. Ce sont des attitudes qui vont porter du fruit. Nous faisons un appel aux églises de toutes confessions dans ce sens. Le jeûne est un acte de repentance, donc une recherche de la faveur de Dieu.

Faisons référence à St Nicolas de Flue, car c\'est par l\'Esprit de Dieu que ce prophète a proposé un jeûne lorsque le pays était en crise.

La situation spirituelle de l\'Eglise en Suisse est catastrophique. Mais Dieu est un Dieu de Grâce, pour celui qui, `` avec un cœur pur\' qui, revient à lui. C\'est lui seul qui peut sauver ce pays.

Le Seigneur nous appelle tous à son service, même avant notre conception. Il est venu nous chercher, nous trouver dans nos vies de misères ́, pour nous donner le bien en surabondance. Aujourd\'hui, parce qu\'il nous fait grâce, et que nous recevons son pardon, nous pouvons tous donner la paix, la justice et la vie en surabondance dans le monde entier.

Soyons comme Jean Baptiste, appelons à la repentance et à la joie, faisons des œuvres de précurseurs. Tout le monde peut bien vivre sur cette planète, dès aujourd\'hui.

Recevez mes Amitiés en Christ et que DIEU vous bénisse

Non à l\'abaissement du consentement sexuel à 12 ans sur ordre de l’ONU. https://1291.one/corruptions/

Non aux votations volées ! https://1291.one/fraudes/
Non aux lois coco vid le 28 novembre 2021 https://1291.one/inoculation/

Oui à un monde meilleur

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Nos remarques:

Toute modification de la législation se doit de respecter la Constitution, les droits fondamentaux et les exigences en matière de protection des données. 

Elle doit respecter notamment les principes historiques suisses de bonne foi, de subsidiarité, de fédéralisme, de neutralité, de recherche de la paix, de concorde, de consultation de tous les  corps intermédiaires ( Communes, Cantons, Universités, Armée, Syndicats, Académies, Chambre de commerce, etc ), d’exhaustivité, d’objectivité, d’unité de la matière, de transparence et de proportionnalité.

Or, des lois, ordonnances, arrêtés, règlements et pratiques de plus en plus nombreuses violent clairement ces principes. La seule chambre constitutionnelle est le peuple suisse, qui est de plus en plus souvent bafoué. Le Tribunal fédéral, en tant qu’organe d’application  et les autres autorités sont tenus d’appliquer les lois fédérales. Cette règle,en vertu de la séparation des pouvoirs, interdit aux juges de vérifier la constitutionnalité des lois fédérales. Un citoyen ne peut donc pas se plaindre d’une violation de ses droits, même fondamentaux, lorsqu’elle est contenue dans le texte même d’une telle loi, sorte de dogme que les juges peuvent évaluer mais non toucher. Lorsque le délai du référendum est passé, il ne reste que la lourde voie de l’initiative constitutionnelle fédérale, trop rarement couronnée de succès et galvaudée par l’absence de version législative, qui mène à l’introduction dans notre texte fondateur, un fatras d’éléments n’y ayant pas leur place. Les lobbies abusent de plus en plus souvent de cette faiblesse juridique.

Encore pire, rappelons, par exemple, que les projets de création de corps fédéraux dédiés à la protection des conférences internationales (police mobile intercantonale en 1970) ou à la lutte contre le terrorisme (police fédérale de sécurité en 1978) furent tous rejetés par le peuple suisse en votations.

http://www.ge.ch/grandconseil/memorial/data/560210/46/560210_46_partie21.asp

Il  en existe maintenant plusieurs, en toute illégalité ( Tiago, Tigris, Caméléons, Moban, UAV… ) et la loi MPT que nous voterons aussi le 13 juin pourrait aggraver encore leurs pouvoirs…notamment par son article.

23e al. 2 P-LMSI). De simples présomptions et des spéculations sur les intentions et les actions futures des individus pourront constituer la base des mesures policières, sans que rien ne laisse présumer une infraction pénale…

L’ordre des avocats genevois s’élève aussi contre ces abus.

https://www.odage.ch/medias/documents/determination-oda/2021.05.05_Prise_de_position_MPT.pdf

Les suspects peuvent l’être dès 12 ans ! Selon l’ art. 24f  1 Les mesures des art. 23k à 23n, 23q et 24c.

D’autre part, le parlement, la BNS et la Finma ne respectent pas la constitution qui se vide de sa substance par des violations croissantes des serments fédéraux, cantonaux et communaux.

Toutes les “mesures d’urgence” et ordonnances imposées depuis plus d’une année, ne respectent ni la bonne foi, base du droit suisse, ni l’objectivité scientifique, ni souvent l’unité de la matière, ni la transparence, ni la proportionnalité, ni même les procédures déjà prévues auparavant pour des situations d’urgence sanitaire. Au mépris des évidences cliniques les plus élémentaires, a été institué un état d’urgence artificiel et anxiogène, niant par exemple l’existence des traitements efficaces et bon marché, utilisés avec succès par de nombreux pays; en vue d’ériger en solution incontournable des produits expérimentaux prohibitifs, inaboutis, inefficaces, contre-productifs et dangereux, nécessitant une logistique disproportionnée. Les chiffres ont été honteusement biaisés, de la récolte des données jusqu’à leur présentation dans les média dominants refusant d’admettre qu’il n’y a plus ni pandémie, ni épidémie réelle. Le nombre des morts n’est jamais mis en perspective avec les s causes de mortalité ni avec les années précédentes, les cas sérieux sont traités de manières inappropriées et montés en épingle, les cas bénins sont gonflés artificiellement et l’éventuel manque de lits résulte autant de transferts abusifs de malades, que d’une politique de soi-disant réduction des coûts de la santé tout aussi inefficace financièrement que médicalement. L’espérance de vie baisse maintenant, et ceci à cause des effets dangereux de produits expérimentaux bâclés. Moderna par exemple, a raté toutes ses homologations de “vaccins” par le passé, et tous les acteurs dans ce domaine ont été condamnés à de lourdes amendes pour corruption, conflits d’intérêts, études “scientifiques” truquées, etc… Pfizer a aussi été condamné à de multiples reprises aux États-Unis pour falsification de données, corruption active et versement de commissions occultes. Cette pléthore de cas édifiants démontre à l’évidence que confier le développement et la fabrication de produits médicaux à des entreprises industrielles, transnationales à but lucratif, qui plus est, avec un encadrement à géométrie variable (pour ne pas dire élastique) relève du non-sens.

Si le contrat européen avec Pfizer, qui s’étend jusqu’en 2023, devait être exécuté comme prévu, chaque personne de l’Union européenne serait vaccinée au moins quatre fois sur une période de deux ans (2021-2023).

De plus, à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’ARNm de Pfizer (ainsi que ceux de ses concurrents, dont AstraZeneca, Moderna et J. & J.) sont légalement classés (aux États-Unis) comme « non approuvés » et « produits expérimentaux ». Ces produits ont été mis en circulation en toute illégalité sous un prétexte d’urgence sanitaire parfaitement abusif offrant ainsi à ces firmes un banc d’expérimentation à l’échelle planétaire aux frais de la princesse (en fin de compte, nous autres contribuables) et en les exemptant contractuellement, au mépris du droit le plus élémentaire et en catimini, de toute responsabilité.

Le plus grand projet d’un « produit non homologué » doit être mis en œuvre par une grande entreprise pharmaceutique qui a un long passé de corruption de médecins et de responsables de la santé publique.

Pfizer a été un « contrevenant par métier », s’engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corruptrices, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d’essais défavorables. Depuis 2002, l’entreprise et ses filiales se sont vu infliger 3 milliards de dollars de condamnations pénales, de sanctions civiles et d’amendes compensatoires par un jury. (Dr Robert G. Evans, National Institutes of Medicine)

De plus, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis, car inculpé par le ministère américain de la justice en 2009 pour « marketing frauduleux ». 

« Pfizer, la plus grande entreprise pharmaceutique du monde, a été frappée de la plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis dans le cadre d’un accord de 2,3 milliards de dollars avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion abusive de médicaments et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants. ».

Dans une décision historique du ministère américain de la justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable face à des accusations pour crimes. Il s’agissait du « plus important règlement pour fraude dans le domaine de la santé » de l’histoire du ministère américain de la Justice.

 

Pour visionner la vidéo de C-Span, cliquez ici.

Faire confiance à un conglomérat de fabricants pharmaceutiques ayant plaidé coupable face à des accusations pour crimes portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), notamment en matière de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ne peut être considéré que comme une atteinte absurde à la sécurité de la population. Dans tout état juridiquement crédible, cela mènerait à leur démantèlement et à la mise hors d’état de nuire de leurs dirigeants, ainsi que des responsables politiques administratifs et sanitaires n’ayant pas assumé leurs responsabilités en matière de prévention et de traitement de ces cas. L’ensemble du processus est associé à une campagne généralisée de propagande mensongère et anxiogène et à la tentative d’imposer un passeport vaccinal numérique intégré et inextricable du corps humain.

Celui-ci fait partie du tristement célèbre projet ID 2020 parrainé par l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (le GAVI à Genève, se voulant au-dessus de nos lois et fonctionnant donc hors la loi avec le soutien et le financement du Conseil fédéral suisse, en fait, propriété privée de la fondation Bill & Melinda Gates « qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique généralisée ». 

Le « vaccin » tueur

L’intégrité de l’entreprise ? Le comportement de Pfizer BioNTech en matière de « commercialisation frauduleuse » prévaut en ce qui concerne les 1,8 milliard de doses prévues de son « vaccin » à ARNm COVID 19 Tozinameran, « non homologué  » et « expérimental », vendu sous la marque Comirnaty.

Nous avons affaire à la « commercialisation frauduleuse » de ce qui est décrit comme un « vaccin » mortel.

Mais en fait, le « vaccin » à ARNm qui modifie le génome humain n’est PAS un vaccin. Il est basé sur les inoculations ou injections de produits à la fois génétiquement manipulés et nano-technologiques répétés comme des mises à jour de logiciels d’exploitation, selon leur propre vocabulaire, combinées à un passeport vaccinal intégré interagissant avec un scanner approprié.

Bien que médiatiquement minimisés et répertoriés de manière tendancieusement lacunaire,de nombreux décès et effets secondaires de plus en plus  graves, sur des personnes de plus en plus jeunes et nombreuses, résultent de ces «techno-bouillons expérimentaux» à haut rendement financier.

Le Conseil fédéral accordera un passeport Covid de plus longue durée aux personnes vaccinées qu’aux personnes ayant une immunité naturelle incomparablement meilleure suite à leur guérison du Covid-19. Il s’agit donc d’une nouvelle décision totalement arbitraire et discriminatoire, imposée par le Conseil fédéral !

Pourtant, selon des experts de plus en plus nombreux, et exempts de conflits d’intérêts, contrairement aux plus de 70 “experts” qui n’ont pas encore démissionné de la task force, qu’on pourrait rebaptiser task farce suisse, toutes les mesures liberticides peuvent être supprimées aujourd’hui…

Leurs arguments:

Afin de mieux protéger la population contre le terrorisme, il faut que les informations essentielles soient disponibles. C’est pourquoi le Conseil fédéral entend faire entrer en vigueur le 1er octobre 2021 déjà deux dispositions de la loi MPT qui ne nécessitent pas d’être précisées dans l’ordonnance, sous réserve de la validation du résultat de la votation:

  • Le Conseil fédéral pourra à l’avenir conclure et adapter lui-même des accords de coopération policière avec des autorités de police étrangères. La conclusion de tels accords nécessitait jusqu’ici l’approbation du Parlement.
  • En outre, fedpol sera autorisé, à partir d’octobre aussi, à procéder à des recherches secrètes sur Internet et sur les médias électroniques afin d’identifier à temps les réseaux d’organisations terroristes et criminelles. La poursuite pénale s’adaptera ainsi à un contexte où ces organisations utilisent de plus en plus souvent Internet et les outils numériques.

L’ordonnance régit les accès aux systèmes d’information

L’approbation de la loi MPT dote la police des mesures de police préventive qui lui permettront d’intervenir à temps contre des personnes représentant une menace terroriste. Les terroristes potentiels pourront ainsi être frappés notamment d’une obligation de se présenter, d’une interdiction de contact ou d’une interdiction de quitter le territoire, voire d’une assignation à résidence dans les cas extrêmes. Ces mesures sont temporaires, doivent être proportionnées et peuvent faire l’objet d’un recours auprès du Tribunal administratif fédéral. Le prononcé d’une assignation à résidence est quant à lui soumis à une autorisation judiciaire. Les cantons, les communes ou le Service de renseignement ne peuvent exiger des mesures de police préventive qu’après avoir épuisé les possibilités à leur disposition. Afin d’assurer le suivi des différents cas, les autorités compétentes mettront sur pied une gestion de cas (case management).

Les autorités compétentes doivent être en possession des informations nécessaires pour mettre en œuvre les mesures. Cette exigence doit être précisée en conséquence dans l’OMPT et concerne surtout les nouveaux droits d’accès à différents systèmes, tels que le système d’information central sur la migration (SYMIC) et le système de recherches informatisées de police (RIPOL). Ces droit d’accès sont déjà prévus par la loi MPT. L’OMPT apportera aussi les précisions juridiques qui permettront de recourir à la localisation par téléphonie mobile pour vérifier que les mesures ordonnées sont respectées.

La consultation dure jusqu’au 14 octobre 2021. La plupart des dispositions de la loi, de même que l’ordonnance, devraient entrer en vigueur au premier semestre de 2022.


Adresse pour l’envoi de questions

Communication fedpol, T +41 58 463 13 10, media@fedpol.admin.ch


Auteur

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Département fédéral de justice et police
http://www.ejpd.admin.ch 

Office fédéral de la police
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