Enveloppes translucides, pré-dépouillement, matériel surnuméraire qui rendent les tricheries trop faciles, manque de sérieux et de contrôle, urnes opaques et non scellées valablement, etc…
Il suffit parfois aussi d’inverser les colonnes des résultats. Oh, je me suis “juste” trompé, dit le tricheur !
La télévision suisse admet son inversion ci-dessous, sic, en allemand, avec traduction en français.
Bonjour
Merci pour votre E-Mail. Notre déclaration à ce sujet peut déjà être trouvée sur la capture d’écran dans votre courrier. Nous nous ferons un plaisir de vous envoyer la traduction française:
«Nous avons pu déterminer qu’il y avait une entrée erronée de notre part à 12h32 le 13 juin. Plus précisément, les votes pour et contre ont été mélangés et affichés incorrectement pendant deux minutes. Cette erreur a été corrigée immédiatement, de sorte que les données se sont à nouveau affichées correctement à 12h34. Nous tenons à nous excuser pour cette erreur.»
Meilleures salutations
Patrick Kollbrunner
Service Client
–
Qui reçoit les plaintes et les instruits ? Les tricheurs, pardi ! Viol de la séparation des pouvoirs et d’ un principe juridique fondamental, on ne peut être juge et partie en même temps, sinon c’est LE conflit d’intérêt…
Il suffit trop souvent d’inverser les colonnes des résultats. Oh, je me suis “juste” trompé, dit le tricheur !
Personne ne vérifie ni ne contrôle vraiment, on leur fait confiance ! …
Des milliers de votes abandonnés en libre accès,
devant l’office centralisé des votations de Genève, rue des Acacias, sic…
Caisses ouvertes, 3 jours et 3 nuits … ça se passe…
en Suisse.
Urne genevoise opaque, avec un simple “sceau” en plastique, sans aucun contrôle sérieux. Certaines urnes sont sans rien, aucun “sceau”
Urne opaque avec un cadenas et sa clé !
Urne opaque sans le sceau officiel plombé et scellé avec la pince à sceller officielle,
mais un simple cadenas, avec en plus la clé dessus.
Sceau officiel plombé et scellé avec la pince à sceller officielle à gauche, faux sceau à droite, ville de Lausanne. Urnes opaques.
Par contre, urnes transparentes dans le regroupement de communes Belle-Contrée en Valais. Bravo aux Valaisans !
Mais les enveloppes sont partout translucides et trop facilement accessibles aux tricheurs vu les pré-dépuillements inadmissibles !
Plus de faits et de questions sur https://1291.one/tricheries/
Fraudes démocratiques massives comme aux USA ?.
Le système de vote par correspondance est fait pour tricher facilement.
Démonstration et explications:
Les fraudes sont trop faciles et les fraudeurs impunis. Nous voulons récolter des témoignages et des faits afin d’améliorer le système.
Des preuves notamment sur https://microtaxe.ch/fraudes-electorales-consequentes-en/
Aidez-nous. Inscrivez-vous tout-de-suite pour nous aider à établir des preuves.
https://forms.gle/VLQ6o7Vra2QcGevM6
https://1291.one/fraudes-corrections/ Merci.
RECOMMANDE
Tribunal fédéral Suisse
Av. du Tribunal-fédéral 29
1000 Lausanne 14
Mesdames, Messieurs
Concerne: URGENT.
Annulation des votes de ce 13 juin 2021
Interdire à l’avenir tous les pré-dépouillements vu que les enveloppes internes sont translucides et que nos doutes sérieux ont été reconnus par les plus hautes autorités lors du vote à Moutier !
Les enveloppes internes sont toujours translucides, malgré nos nombreuses remarques, recours et discussions passées. Vu l’importance des votes et les enjeux en milliards de francs ou pour toutes nos libertés, on doit fabriquer toutes les enveloppes vraiment opaques, le simple doute et la facilité de tricher dans chaque greffe communal avec un simple téléphone muni d’une lampe de poche est trop grand, il n’y a plus de secret de vote, ce qui ouvre la porte aux tricheries, aux mesures de rétorsion, licenciements, mobbing, pressions etc…, c’est ridicule, on fait des enveloppes opaques pour l’argent, qui cachent par exemple nos numéros NIP ou nos décomptes, ( banques, poste…) mais pas pour les votes.
De plus, il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes et leur contenu par d’autres…dans le circuit des postes et dans chaque greffe municipal.
Ce qui signifie que toutes ou une grande partie de ces enveloppes peuvent trop facilement être trafiquées pour plusieurs milliers de voix ( quelques voix suffisent parfois). Une entrevue avec le responsable cantonal vaudois, avait fait apparaître que ce problème était possible au niveau de chaque commune et qu’une motion postulat parlementaire avait été déposée, Réf : 03/POS/086, par M. Edouard Jaquemet de Corcelles-près-Payerne, au niveau cantonal vaudois pour changer la procédure du vote par correspondance et la couleur du matériel supplémentaire, sans succès réel.
Ces enveloppes supplémentaires sont donc à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe de chaque commune suisse. Dans le seul canton de Vaud, vu les plus de 40’000 imprimées en plus, plus 15% de “maculature”…par l’imprimeur, il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes par d’autres plus “justes”. On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu’ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d’envoi signée et à des licenciements injustes….
La Confédération et le Canton de Berne notamment reconnaissent la valeur de plaintes depuis des années.
Certaines des sages mesures prises concrètement à Moutier doivent être appliquées à tous les votes en Suisse, surtout interdire les pré-dépouillements vu les enveloppes internes translucides.
Cette votation de Moutier peut et doit devenir le modèle de votations au-dessus de tout soupçon, avec des améliorations (urnes transparentes comme en Valais, à Belle Contrée, matériel de vote surnuméraire de couleur différente et contrôle de celui-ci avant, pendant et après à l’unité près, y compris toutes les impressions surnuméraires, y compris les maculatures ou les essais dans les imprimeries concernées…
Ils ont pris enfin des mesures sérieuses pour éviter les irrégularités trop nombreuses et si faciles lors du vote de Moutier (BE) sur son appartenance cantonale, par exemple plusieurs observateurs de la Confédération, sceaux et câbles pour sceller chaque urne, suppression du dépouillement anticipé, contrôle du vote par correspondance, du registre des électeurs, interdiction du vote électronique et information dans les homes de personnes âgées et contrôles près des poubelles des locatifs, des cases postales et dans les postes. N’oublions pas le près de 7’000 votes oubliés dans le rue 3 jours et 3 puits devant le bureau centralisé de la rue des Acacias à Genève.
En effet, le processus postal est aussi ouvert à des manipulations pendant toute la durée du vote par correspondance, les enveloppes sont trop facilement ouvrables, interchangeables et leurs contenus peuvent aussi être trop facilement échangés sans laisser de traces.
Pour notamment toutes ces raisons, nous demandons que vous preniez toutes les mesures nécessaires, comme lors du miracle de Moutier, soit l’annulation des votes de ce 13 juin 2021, l’interdiction de tous les pré-dépouillements dans chaque bureau électoral de toute la Suisse, vu les enveloppes internes translucides, jusqu’au matin du dimanche de dépouillement officiel, comme c’est prévu par les lois de nos parents
Avec nos meilleurs salutations
Enveloppes en fait translucides sous forte lumière, porte ouverte aux tricheries vu les pré-dépuillements dans les grandes villes et leurs machines à lecture optique employées déjà les vendredis… qui permettent de lire dans les enveloppes sans les ouvrir et de les changer par leurs tricheries et même de fausser les comptages par électronique…
Annexes:
Art. 146 CP; escroquerie au procès, astuce. … Se rend coupable d’escroquerie celui qui, par tromperie, amène le tribunal à trancher en défaveur de la partie adverse (consid. 2; changement de la jurisprudence publiée aux ATF 78 IV 84).
Art. 312 Abus d’autorité
Abus d’autorité
Les membres d’une autorité et les fonctionnaires qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, ou dans le dessein de nuire à autrui, auront abusé des pouvoirs de leur charge, seront punis d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.
Art. 3141 Gestion déloyale des intérêts publics
Gestion déloyale des intérêts publics
Les membres d’une autorité et les fonctionnaires qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, auront lésé dans un acte juridique les intérêts publics qu’ils avaient mission de défendre seront punis d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire. En cas de peine privative de liberté, une peine pécuniaire est également prononcée.2
1 Nouvelle teneur selon le ch. I de la LF du 17 juin 1994, en vigueur depuis le 1er janv. 1995 (RO 1994 2290; FF 1991 II 933).
2 Nouvelle teneur du membre de phrase selon le ch. II 1 al. 16 de la LF du 13 déc. 2002, en vigueur depuis le 1er janv. 2007 (RO 2006 3459; FF 1999 1787).
122 IV 197 – Tribunal fédéral
Escroquerie
Art. 146
1 Celui qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, aura astucieusement induit en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou l’aura astucieusement confortée dans son erreur et aura de la sorte déterminé la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d’un tiers sera puni d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.
2 Si l’auteur fait métier de l’escroquerie, la peine sera une peine privative de liberté de dix ans au plus ou une peine pécuniaire de 90 jours-amende au moins.
Témoignages:
Merci, bien reçu. La vidéo sur la fraude électorale est un témoignage historique.
https://microtaxe.ch/fraudes-electorales-consequentes-en/
Dimanche passé, je me suis rendu au bureau de vote. 2 employés de la commune derrière le guichet voulaient me faire fermer l’enveloppe postale et aller la jeter dans la boîte à lettres à l’extérieur. J’ai insisté de mettre l’enveloppe de vote dans l’urne. Alors, je devais m’identifier et je pouvais mettre mon enveloppe dans l’urne
2 personnes entre le guichet et l’urne barraient le regard des employés, et je leur tournais le dos pour jeter mon vote dans l’urne.
Conclusion: il n’y avait aucune supervision de l’acte de vote.
Comparé au passé, c’est la dégénérescence totale.
Cordialement
Gérard U.
[14:19, 14.06.2021] F. De Siebenthal: Bonjour, tu as écris… Comment peut-on passer de 51% (+/- 3%) de NON à 16:00 à 60% de OUI à 17:49 ?
Si ce n’est pas de la triche qu’est-ce ? C’éTAIT DANS QUEL ENDROIT ? DANS TOUTE LA SUISSE OU UNE COMMUNE, AS-TU LE LIEN, MERCI Le système des votes en main de la poste, des enveloppes internes translucides et des pré-dépuillemens abusifs, sans oublier les votes des Suisses à l’étranger, favorise les tricheries à grande échelle dès le début des votes par correspondance !
Fraudes électorales conséquentes en Suisse
Remarque de Véronique:
https://1291.one/par-communes/
MERCI
[15:38, 14.06.2021] vero zamni: C’était les résultats de 16:00 sur la RTS pour toute la Suisse et comme nous n’étions pas avec l’ordinateur je n’ai pas de capture d’écran. C’était pour toute la Suisse avec un écart possible estimé de +/- 3%. C’est ce qui nous a interpellé !
Texte prêt à être modifié et imprimé
Du Souverain ( nous les citoyens),
à nos conseillers qui devraient être à notre service
des autorités locales, communales, cantonales, nationales, et
mondiales ou “supra-nationales” ( OMS, ONU etc )
notamment, pour la Suisse, au Conseil fédéral par
Monsieur le Conseiller Fédéral
& Président de la Confédération
Guy Parmelin
Bundeshaus Ost
CH-3003 Berne
Concerne: droits de l’homme, de vote, et politiques.
Faits de corruption généralisée financée par des dettes toujours plus
grandes.
Non aux empoisonnements par tests chimiques OGM et génétiques.
Trahisons de nos “responsables”
Fraudes scientifiques et démocratiques.
Mesures super-provisionnelles très urgentes et immédiates..
Monsieur le Président de la Confédération
Nous venons d’étudier attentivement le matériel de vote avec la
brochure rouge explicative des votations du 13 juin 2021. Nous
attirons votre attention sur les points urgents suivants.
Tout(e) citoyen(ne) suisse disposant d’un droit de vote fait
partie intégrante du Souverain de la confédération helvétique,
et en tant que tel(le) est associé(e) à tous les processus
démocratiques selon la constitution, les lois et coutumes
suisses.
Toute modification de la législation se doit de respecter la
Constitution, les droits fondamentaux et les exigences en
matière de protection des données.
Elle doit respecter notamment les principes historiques
suisses de bonne foi, de subsidiarité, de fédéralisme, de
neutralité, de recherche de la paix, de concorde, de
consultation de tous les corps intermédiaires ( Communes,
Cantons, Universités, Armée, Syndicats, Académies, Chambre
de commerce, etc ), d’exhaustivité, d’objectivité, d'unité de la
matière, de transparence et de proportionnalité.
Or, des lois, ordonnances, arrêtés, règlements et pratiques de
plus en plus nombreuses violent clairement ces principes. La
seule chambre constitutionnelle est le peuple suisse, qui est de
plus en plus souvent bafoué. Le Tribunal fédéral, en tant
qu’organe d’application et les autres autorités sont tenus
d’appliquer les lois fédérales. Cette règle,en vertu de la
séparation des pouvoirs, interdit aux juges de vérifier la
constitutionnalité des lois fédérales. Un citoyen ne peut
donc pas se plaindre d’une violation de ses droits, même
fondamentaux, lorsqu’elle est contenue dans le texte même
d’une telle loi, sorte de dogme que les juges peuvent
évaluer mais non toucher. Lorsque le délai du référendum
est passé, il ne reste que la lourde voie de l’initiative
constitutionnelle fédérale, trop rarement couronnée de
succès et galvaudée par l’absence de version législative,
qui mène à l’introduction dans notre texte fondateur, un
fatras d’éléments n’y ayant pas leur place. Les lobbies
abusent de plus en plus souvent de cette faiblesse
juridique.
Encore pire, rappelons, par exemple, que les projets de création
de corps fédéraux dédiés à la protection des conférences
internationales (police mobile intercantonale en 1970) ou à la
lutte contre le terrorisme (police fédérale de sécurité en 1978)
furent tous rejetés par le peuple suisse en votations.
http://www.ge.ch/grandconseil/ memorial/data/560210/46/ 560210_46_parti
e21.asp
Il en existe maintenant plusieurs, en toute illégalité ( Tiago,
Tigris, Caméléons, Moban, UAV… ) et la loi MPT que nous
voterons aussi le 13 juin pourrait aggraver encore leurs
pouvoirs…notamment par son article.
23e al. 2 P-LMSI). De simples présomptions et des spéculations sur les
intentions et les actions futures des individus pourront constituer la
base des mesures policières, sans que rien ne laisse présumer une
infraction pénale…
L’ordre des avocats genevois s’élève aussi contre ces abus.
https://www.odage.ch/medias/ documents/determination-
oda/2021.05.05_Prise_de_ position_MPT.pdf
Les suspects peuvent l’être dès 12 ans ! Selon l’ art. 24f 1 Les mesures
des art. 23k à 23n, 23q et 24c.
D'autre part, le parlement, la BNS et la Finma ne respectent pas
la constitution qui se vide de sa substance par des violations
croissantes des serments fédéraux, cantonaux et communaux.
Toutes les "mesures d'urgence" et ordonnances imposées
depuis plus d’une année, ne respectent ni la bonne foi, base du
droit suisse, ni l’objectivité scientifique, ni souvent l'unité de la
matière, ni la transparence, ni la proportionnalité, ni même les
procédures déjà prévues auparavant pour des situations
d'urgence sanitaire. Au mépris des évidences cliniques les
plus élémentaires, a été institué un état d’urgence artificiel et
anxiogène, niant par exemple l'existence des traitements
efficaces et bon marché, utilisés avec succès par de nombreux
pays; en vue d'ériger en solution incontournable des produits
expérimentaux prohibitifs, inaboutis, inefficaces, contre-
productifs et dangereux, nécessitant une logistique
disproportionnée. Les chiffres ont été honteusement biaisés,
de la récolte des données jusqu'à leur présentation dans les
média dominants refusant d'admettre qu’il n’y a plus ni
pandémie, ni épidémie réelle. Le nombre des morts est n’est
jamais mis en perspective avec les autre causes de mortalité ni
avec les années précédentes, les cas sérieux sont traités de
manières inappropriées et montés en épingle, les cas bénins
sont gonflés artificiellement et l’éventuel manque de lits résulte
autant de transferts abusifs de malades, que d'une politique de
soi-disant réduction des coûts de la santé tout aussi inefficace
financièrement que médicalement. L’espérance de vie baisse
maintenant, et ceci à cause des effets dangereux de produits
expérimentaux bâclés. Moderna par exemple, a raté toutes ses
homologations de “vaccins” par le passé, et tous les acteurs
dans ce domaine ont été condamnés à de lourdes amendes
pour corruption, conflits d’intérêts, études “scientifiques”
truquées, etc… Pfizer a aussi été condamné à de multiples
reprises aux États-Unis pour falsification de données,
corruption active et versement de commissions occultes. Cette
pléthore de cas édifiants démontre à l'évidence que confier le
développement et la fabrication de produits médicaux à des
entreprises industrielles, transnationales à but lucratif, qui plus
est, avec un encadrement à géométrie variable (pour ne pas
dire élastique) relève du non-sens.
Si le contrat européen avec Pfizer, qui s’étend jusqu’en 2023,
devait être exécuté comme prévu, chaque personne de l’Union
européenne serait vaccinée au moins quatre fois sur une
période de deux ans (2021-2023).
De plus, à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’ARNm de
Pfizer (ainsi que ceux de ses concurrents, dont AstraZeneca,
Moderna et J. & J.) sont légalement classés (aux États-Unis)
comme « non approuvés » et « produits expérimentaux ». Ces
produits ont été mis en circulation en toute illégalité sous un
prétexte d'urgence sanitaire parfaitement abusif offrant ainsi à
ces firmes un banc d'expérimentation à l'échelle planétaire aux
frais de la princesse (en fin de compte, nous autres
contribuables) et en les exemptant contractuellement, au
mépris du droit le plus élémentaire et en catimini, de toute
responsabilité.
Le plus grand projet d’un « produit non homologué » doit être
mis en œuvre par une grande entreprise pharmaceutique qui a
un long passé de corruption de médecins et de responsables
de la santé publique.
Pfizer a été un « contrevenant par métier », s’engageant de
manière persistante dans des pratiques commerciales illégales
et corruptrices, soudoyant des médecins et supprimant des
résultats d’essais défavorables. Depuis 2002, l’entreprise et
ses filiales se sont vu infliger 3 milliards de dollars de
condamnations pénales, de sanctions civiles et d’amendes
compensatoires par un jury. (Dr Robert G. Evans, National
Institutes of Medicine)
De plus, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis, car inculpé
par le ministère américain de la justice en 2009 pour «
marketing frauduleux ».
« Pfizer, la plus grande entreprise pharmaceutique du monde, a
été frappée de la plus grosse amende pénale de l’histoire des
États-Unis dans le cadre d’un accord de 2,3 milliards de dollars
avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion
abusive de médicaments et versé des pots-de-vin à des
médecins complaisants. ».
Dans une décision historique du ministère américain de la
justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable face à
des accusations pour crimes. Il s’agissait du « plus important
règlement pour fraude dans le domaine de la santé » de
l’histoire du ministère américain de la Justice.
Pour visionner la vidéo de C-Span, cliquez ici.
Faire confiance à un conglomérat de fabricants
pharmaceutiques ayant plaidé coupable face à des accusations
pour crimes portées par le ministère américain de la Justice
(DoJ), notamment en matière de « marketing frauduleux » et de
« violation criminelle de la loi sur les aliments, les
médicaments et les cosmétiques » ne peut être considéré que
comme une atteinte absurde à la sécurité de la population.
Dans tout état juridiquement crédible, cela mènerait à leur
démantèlement et à la mise hors d'état de nuire de leurs
dirigeants, ainsi que des responsables politiques administratifs et
sanitaires n'ayant pas assumé leurs responsabilités en matière de prévention et de
traitement de ces cas.L’ensemble du processus est associé à une
campagne généralisée de propagande mensongère et
anxiogène et à la tentative d'imposer un passeport vaccinal
numérique intégré et inextricable du corps humain.
Celui-ci fait partie du tristement célèbre projet ID 2020 parrainé
par l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (le
GAVI à Genève, se voulant au-dessus de nos lois et
fonctionnant donc hors la loi avec le soutien et le financement
du Conseil fédéral suisse, en fait, propriété privée de la
fondation Bill & Melinda Gates « qui utilise la vaccination
généralisée comme plateforme pour l’identité numérique
généralisée ».
Le « vaccin » tueur
L’intégrité de l’entreprise ? Le comportement de Pfizer
BioNTech en matière de « commercialisation frauduleuse »
prévaut en ce qui concerne les 1,8 milliard de doses prévues
de son « vaccin » à ARNm COVID 19 Tozinameran, « non
homologué » et « expérimental », vendu sous la marque
Comirnaty.
Nous avons affaire à la « commercialisation frauduleuse » de
ce qui est décrit comme un « vaccin » mortel.
Mais en fait, le « vaccin » à ARNm qui modifie le génome
humain n’est PAS un vaccin. Il est basé sur les inoculations ou
injections de produits à la fois génétiquement manipulés et
nano-technologiques répétés comme des mises à jour de
logiciels d’exploitation, selon leur propre vocabulaire,
combinées à un passeport vaccinal intégré interagissant avec
un scanner approprié.
Bien que médiatiquement minimisés et répertoriés de manière
tendancieusement lacunaire,de nombreux décès et effets
secondaires de plus en plus graves, sur des personnes de
plus en plus jeunes et nombreuses, résultent de ces «techno-
bouillons expérimentaux» à haut rendement financier.
Le Conseil fédéral accordera un passeport Covid de plus
longue durée aux personnes vaccinées qu’aux personnes
ayant une immunité naturelle incomparablement meilleure
suite à leur guérison du Covid-19. Il s’agit donc d’une nouvelle
décision totalement arbitraire et discriminatoire, imposée par le
Conseil fédéral !
Pourtant, selon des experts de plus en plus nombreux, et
exempts de conflits d’intérêts, contrairement aux plus de 70
“experts” qui n’ont pas encore démissionné de la task force,
qu'on pourrait rebaptiser task farce suisse, toutes les mesures
liberticides peuvent être supprimées aujourd’hui, comme dans
de nombreux états dans le monde et aux USA, et repartir sur
des bases plus saines, sans risques et dettes énormes de près
de 35 milliards à la charge de nos jeunes.
Sans oublier, que, vu les enjeux énormes des votations en
Suisse, des fraudes électorales de plus en plus nombreuses
ont été constatées, notamment dans les cantons de Vaud,
Genève, Berne, Valais, Tessin, Thurgovie et dans le Jura, ainsi
qu’à l’étranger (France, USA etc). Nous félicitons toutes les
autorités suisses d’avoir interdit absolument tous les votes
électroniques. Pourtant, il reste trop de fraudes possible et très
facilement. Dans de trop nombreuses communes, certains
scellés des urnes contenant les bulletins de vote étaient
absents, litigieux, faux ou de simples brides plastiques ou
encore de simples cadenas avec en plus parfois la clé dessus.
Les votes par correspondance font aussi l’objet de graves
abus, surtout ceux des votes des Suisses de l’étranger. Les
fraudes sont aussi possibles par les machines de décompte à
lecture optique par transparence, ou encore dans la poste. La
nouvelle constitution de 1999 a été obtenue ainsi,.
Le Valais a averti publiquement que le récent fraudeur a dû
payer Fr 43’500.- en tout. Voir sur https://1291.one/fraudes-2/
Nous réclamons notre droit constitutionnel d’avoir accès
notamment aux locaux de vote pendant toutes les semaines
des votes par correspondance et tout le dépouillement pour
nous assurer au moins des points suivants, à mettre en œuvre
sans délai et qui ne sont pas exhaustifs.
1) L’ouverture des urnes scellées (avec des scellés inviolables,
quitte à changer la méthode de scellé) ne doit se faire que pour
celles munies du sceau officiel valable. Les urnes scellées ne
disposant pas d’un sceau officiel valable doivent être
conservées telles quelles (non ouvertes, sceau falsifié
soigneusement conservé) et remises pour enquête au service
de police ad hoc afin que les responsables soient démasqués
et remis à la justice. Actuellement, ce sont les politiques qui
instruisent les fraudes dans des délais très courts. A
Lausanne, ils ont détruit les preuves dans les heures qui ont
suivi les fraudes. Nul ne peut être juge et partie. Il faut donc
une autorité indépendante, elle-même soumise au Souverain,
représentée par des citoyens-scrutateurs.
2) Les urnes doivent être transparentes pour s’assurer qu’elles
sont bien vides au début du vote
3) Vu les enveloppes internes translucides, il n’y a plus de
secret de vote et son contenu peut être changé trop facilement.
L’ouverture des enveloppes envoyées par les votants ne doit
donc jamais se faire « à l’avance », soi-disant pour gagner du
temps ou pour toute autre raison.
4) Les enveloppes internes doivent être totalement « opaques
», et de manière vérifiable.
5) Le matériel de vote par correspondance surnuméraire reçu
par chaque commune devrait être d’une autre couleur et ne
doit être utilisé qu’une fois par personne après inscription
dans une liste publique et vérification sur l’honneur de la perte
du premier envoi et de sa non-utilisation. Un contrôle précis du
matériel surnuméraire doit être fait.
6) On doit pouvoir vérifier librement le contenu des nombreux
codes-barres sur un écran.
7) Les personnes incapables de discernement ne devraient pas
recevoir de matériel de vote.
8) Une seule grande ville peut changer le vote de toute la
Suisse. Il est indispensable que le déroulement du
dépouillement y soit filmé par des caméras de surveillance et
que les citoyens puissent le suivre en direct sur internet,
comme en Russie, et toute interruption de la transmission doit faire l'objet d'une
vérification par une commission indépendante comprenant des spécialistes et des
citoyens scrutateurs.
9) Nous n’interviendrons en aucun cas dans le processus du
dépouillement et resterons discrets. En cas d’anomalie
constatée, nous nous adresserons d’abord au président du
bureau électoral communal. Les remarques formulées seront
mentionnées dans le procès-verbal de résultats. Nous nous
plierons aux règles concernant le secret du vote et la non-
diffusion des résultats avant la proclamation officielle.
https://1291.one/souverain/
10) Le texte de la loi Covid-19 figurant dans le livret de vote du
13/6/2021 est celui adopté par la Chambre le 25 septembre
2020. De nombreux changements sont intervenus depuis sa
promulgation. Cependant, ceux-ci ne sont pas officiellement
communiqués aux citoyens dans le texte du scrutin que vous
avez publié. Ce texte de vote est destiné à permettre aux
citoyens de voter en toute connaissance de cause. Il est donc
essentiel qu’ils soient informés de tous ces changements et de
leurs conséquences si la loi est adoptée. Ce n’est pas le cas
dans le texte que vous avez publié.
11) Nous attendons donc du Conseil fédéral et de la
Chancellerie fédérale qu’ils tiennent compte de nos remarques
et qu’ils informent la population notamment de toutes les
modifications apportées à cette loi jusqu’à présent, à savoir la
version adoptée lors de la dernière session en mars 2021 (état
de la loi au 01 avril 2021), et ce par tous les moyens à leur
disposition, à savoir conférences de presse, publications
officielles, etc.
12) En particulier, nous attendons que les citoyens soient
dûment informés de l’article 6a de la loi Covid 19, qui confie au
Conseil fédéral la tâche de délivrer un certificat de santé qui
viole le principe fondamental de l’égalité de tous devant la loi
contenu dans l’article 8 de la Constitution suisse.
https://1291.one/souverain/
La catégorisation des personnes crée une discrimination qui
est totalement inacceptable en raison de l’interdiction de
l’inégalité de traitement des citoyens. En outre, ce certificat
viole la protection des données.
Il convient aussi d’informer les citoyens de la durée effective
de cette loi, qui n’expire pas le 31 décembre 2021, mais le 1er
janvier 2032.
Nous aimerions également savoir ce que vous avez réellement
l’intention de faire en maintenant ces lois fédérales urgentes
qui court-circuitent notre démocratie directe pour les
prochaines années, rappelant ainsi le maintien abusif, de triste
mémoire, pendant plusieurs années des dispositions
exceptionnelles prises durant la 2ème guerre mondiale par le
conseil fédéral de l’époque et supprimées aux forceps par voie
d’initiative populaire.
La politique d’information de la Confédération doit refléter la
situation juridique actuelle, sinon elle induira la population en
erreur, ce qui aura de graves conséquences sur sa mission.
Avec cette violation de l’exigence de transparence, vous
assurez même l’invalidité du vote.Nous veillerons à ce que les
droits politiques de nos citoyens soient respectés, et des
mouvements citoyens se réservent le droit d’intervenir auprès
d’autres instances pour assurer une information complète de la
population ou de faire appliquer l’article 193, soit une
procédure de révision totale de la Constitution…
https://1291.one/souverain/
Les cantons de Berne, notamment lors du vote à Moutier, de
Genève, enveloppes apparement opaques mais encore trop
translucides sous fort projecteur d’une machine à lecture
optique en Valais, autocollants, et du Tessin, enveloppes
trouées, ont déjà pris quelques premières mesures encore
insuffisantes de sécurisation des votes et nous les félicitons
pour ce début trop modeste de tentatives de corrections.
Nous vous demandons d’accuser réception de cette lettre et
d’indiquer comment et quand vous vous conformerez à vos
devoirs en matière d’organisation de cette votation fédérale et
d’information des peuples suisses, de toutes les Communes
ou Municipalités et des Cantons. Compte tenu de l’urgence de
la question, nous attendons une réponse rapide, dont nous
vous remercions par avance.
Nous vous rappelons que vous avez prêté serment au nom de
Dieu Tout-puissant en levant trois doigts en l’honneur de la
Trinité et en pliant deux doigts pour honorer la nature humaine
et divine du Christ-Sauveur.
Nous avons déjà compté plus de 20 violations graves de la
Constitution, du droit naturel suisse selon St Nicolas de Flüe,
patron de la paix mondiale, (jura novit curia) des lois de
Nuremberg, des droits humains, alias droits de l’homme et de
diverses conventions internationales, notamment celles de
Genève, d’Oviedo, du statut de Rome, de la Haye, de l’OSCE et
de la CEDH.
Sans réaction urgente, forte et rapide de votre part, vous
confirmerez des violations graves du seul serment fédéral qui
doit vous pousser à la démission immédiate.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Conseiller Fédéral et
Président de la Confédération, l’expression de nos sentiments
distingués.
Copies: à qui de droit.
https://1291.one/petition- stop-covid-2/
https://1291.one/nouveau- referendum-tres-urgent/
ENCOURAGEMENTS de Dino, du Cogel :
En entendant les premiers retours, j’ai noté une véritable déception suite au résultat des votations du 13 juin. Mais je pense que nous avons de quoi positiver. Même avec des cas de fraude probables, franchement, 40% de NON à la loi Covid (malgré les recommandations de vote contraires de la quasi-totalité des partis politiques, malgré les amendements abusif du 19 mars qui ont été cachés au peuple et les suspicions de fraudes électorale), c’est plus qu’honorable dans le contexte anxiogène répandu depuis février 2020. Le régime covidiste suisse, à la botte zélée de ce qui se décide dans l’UE et aux USA, ne peut mener une politique de persécution contre la moitié du peuple ! Plusieurs cantons alémaniques ont même voté contre la loi Covid, quel argument massue contre le manque de légitimité de cette loi !
Et maintenant, au niveau international, la balle est dans le camp des covidistes, qui vont devoir justifier leurs échecs successifs dans leur folle stratégie de vaccination générale quasi-obligatoire, qui plus est avec des vaccins « nouvelle génération » encore plus pourris que les vaccins usuels…
Ils n’auront plus d’excuses et nous pourrons, tirer à boulets rouges sur tous les déboires liés la campagne de vaccination désastreuse, qui sera le Stalingrad du covidisme. Alors n’hésitons pas, faisons feu de toutes pièces avec notre ré-information et nos commentaires auprès des gens ! De plus en plus de citoyennes et de citoyens vont bien être obligés à prendre conscience de la manipulation généralisée et vont se réveiller enfin !
Nous prenons acte du clivage ville-campagne-montagne, à savoir que plus une ville est grande, plus le taux de lemmings et de collabos zélés est élevé. Nous prenons également acte que, tendanciellement, les Latins (Romands, Tessinois) sont plus manipulés et tétanisés que les Alémaniques, sous réserve des cas particulier des villes de Berne et de Zurich. Le terrain à Genève était donc doublement problématique (Romandie + deuxième plus grande agglomération de Suisse loin devant Bâle, Berne et Lausanne) + autres circonstances locales défavorables qui nous compliquent encore les choses.
Je tiens donc à insister sur le fait que, contrairement à ce que les seulement 31% de NON à la loi-Covid à Genève peuvent faire croire, VOTRE ENGAGEMENT sur le terrain depuis un an a été très utile pour limiter les dégâts et éviter que Genève, structurellement vouée à être la zone la plus covidiste de Suisse, se retrouve peut-être avec moins de 20% de NON… Malgré notre position géographique très défavorable aux confins de la Suisse, nous avons été une place forte majeure dans la résistance, attirant l’attention largement au-delà de nos frontières.
Pourtant, tout est encore plus compliqué à Genève qu’ailleurs pour faire campagne sur le terrain, pour récolter des signatures valables, pour inciter à voter dans le bon sens. En comptant les frontaliers, les touristes et autres gens de passage, deux personnes sur trois croisées dans la rue (en ville ou en banlieue) ne sont pas de nationalité suisse. On essaie de s’orienter par rapport aux langues, donc on tend à privilégier ceux que l’on entend parler français. Mais nous sommes très souvent tombés sur des Français, dont le physique et la langue laissaient supposer qu’ils sont Suisses… Presque toutes des personnes agréables et avouant souffrir en dictature macronique d’une situation encore pire qu’en Suisse, mais ne pouvant voter, ne pouvant signer… Il a ainsi fallu développer diverses techniques de reconnaissance au fil des mois, pour mieux estimer qui est Suisse et qui ne l’est pas. A titre personnel, j’ai appris à deviner plus facilement quelles personnes noires ont déjà la nationalité suisse et obtenir ainsi de leur part des signatures supplémentaires. Cela en vaut la peine, car ils signent volontiers nos référendums et initiatives pour la liberté (et sont aussi bien conscients de la menace que représente la suppression progressive de l’argent liquide), contrairement aux personnes d’origine asiatique, davantage résignées au port du masque et au totalitarisme numérique ayant cours dans leurs pays d’origine.
Nous avons aussi analysé dans le dernier bulletin la nouvelle donne, désormais incontestable, concernant le vote plus covidiste dans les quartiers et communes dits « bourgeois » que ceux dits « populaires », avec un écart moyen de 6% dans les votes. En tenant compte du mélange partiel à l’intérieur de ces zones, on peut estimer que schématiquement, l’écart du choix de vote Covid-19 est de l’ordre de 12% à Genève entre les deux catégories socio-économiques, ce qui n’est pas rien au plan électoral, d’autant que le phénomène est amplifié par le taux de participation structurellement plus élevé dans les secteurs « bourgeois », ce qui peut encore apporter dans les 12% supplémentaires au vote covidiste. De plus, ce clivage socio-économique est plus marqué dans les “mégapoles” de Zurich et de Genève qu’ailleurs en Suisse (je relativise, sachant par exemple que la conurbation milanaise toute proche compte autant d’habitants que toute la Suisse…).
Or, même si nous cumulons l’ensemble de tous les facteurs qui faisaient potentiellement de Genève la zone la plus sinistrée en suisse en matière de mentalité covidiste, nous constatons, en comparant les résultats des cinq grandes villes suisses (donc sans agglomération), que la ville de Genève ne s’en sort pas si mal, ce grâce à vos efforts cumulés depuis un an, ayant sensiblement limité les dégâts :
Pourcentage de NON à la loi-Covid 19 :
Les grandes villes :
Berne-Ville : 20%
Lausanne-Ville : 24%
Zurich-Ville : 25%
Genève-Ville : 30%
Bâle-Ville : 31%
Les villes moyennes :
Fribourg : 28%
Neuchâtel : 28%
Lugano : 28%
Lucerne : 29%
Winterthur : 30%
St-Gall : 34%
Bienne : 35%
Quelques petites villes :
Pully (VD) : 22%
Morges (VD) : 26%
Baden (ZH) : 26%
Nyon (VD): 27%
Olten (SO) : 27%
Bellinzona (TI) : 28%
Aarau (AG) : 28%
Ostermundigen (BE) : 28%
Renens (VD) : 29%
Burgdorf (BE): 31%
Vevey (VD) : 32%
Yverdon (VD) : 32%
La Chaux-de-Fonds (NE) : 32%
Delémont (JU) : 32%
Carouge (GE) 32% :
Lancy (GE) : 33%
Coire (GR) : 34%
Montreux (VD) : 34%
Onex (GE) : 34%
Vernier (GE) : 35%
Meyrin (GE) : 35%
Liestal (BL) : 36%
Köniz (BE) : 36%
Schaffhouse (SH) 36%
Zoug (ZG) : 36%
Kriens (LU) : 36%
Bulle (FR) : 37%
Thoune (BE) : 38%
Dietikon (ZH) : 38%
Frauenfeld (TG): 38%
Sion (VS) : 39%
Rapperswil (SG) 39%
Kloten (ZH) : 40%
Granges (SO) : 41%
Martigny (VS) : 42%
Buchs (ZH): 43%
Regensdorf (ZH): 43%
Emmen (LU) : 43%
Schwyz (SZ) : 57%
Einsiedeln (SZ) : 64%
La plupart des villes, même petites, sont sous la barre des 40%, alors que la moyenne nationale est de 40% justement… Cela confirme le vote massif de la campagne et de la montagne contre la loi-Covid-19. Certains villages de montagne alémaniques ont voté à plus de 75% contre la loi Covid ! La palme revient à UNTERIBERG, un regroupement communal de plusieurs villages dans le canton de Schwyz, comptant 2’403 habitants, ayant voté à 87.8% contre la loi-Covid-19 ! La destination de vos prochaines vacances ? https://www.unteriberg.ch/
On constate que Genève-Ville bat nettement Zurich-Ville et ne s’en sort pas trop mal par rapport aux autres villes, moyennes ou grandes. On notera le net rejet de la loi Covid dans la banlieue nord zurichoise (voir Dietikon / Kloten / Buchs / Regensdorf), à tendance populaire. Ce clivage est important, 25% en ville contre 40% et plus en banlieue ! La capitale financière et banquière de la Suisse pèse manifestement de tout son poids pour soutenir la Berne politique dans son cynisme covidiste. A Genève, le clivage ville-banlieue n’est que de 30% contre 34% environ…
Le cas lamentable de la ville de Berne est particulier, avec ses 80% pour la loi Covid-19 (le pire score de toute la Suisse !!). Là-bas se concentrent les ayatollahs de la dictature covidiste : gouvernement, parlementaires, lobbyistes et armée de fonctionnaires fédéraux à leur solde, police brutale contre les manifestants… Mais je n’imaginais pas que la population bernoise serait suiviste à ce point, bêtement confiante aux « autorités », mais aussi assez cynique pour imaginer entretenir ainsi les intérêts financiers de sa bureaucratie d’Etat. Quelle honte ! On comprend mieux maintenant le manque d’enthousiasme des habitants de la ville de Berne à aller manifester dans leur propre ville et à abandonner les manifestants romands dans les griffes des CRS locaux… Heureusement que Berne campagne et surtout montagne ont sauvé l’honneur pour remonter le score du canton de Berne à 40%, donc nettement mieux que le canton de Genève.
Pistes d’amélioration pour Genève (suite du bulletin n°95) :
A partir de fin décembre 2020, LE COGEL avait lancé le concept de l’encouragement de créations de cellules de travail en fonction des zones géographiques. Dans l’idéal, une par commune, une par quartier. Par réalisme, il s’agissait de démarrer au moins avec des zones de plus ou moins 70’000 habitants, dans l’idée de réseauter davantage par la suite. Or, mis à part le COGEL Lancy-Onex-Bernex, aucune autre cellule n’a vu le jour, alors que l’on pouvait créer les COGEL Genève Rive-Gauche, Genève Rive-Droite, Meyrin-Vernier-Grand-Saconnex, Arve-Lac, etc. Et encore, le COGEL Lancy-Onex-Bernex-Confignon (68’000 habitants…) a sérieusement souffert de manque d’engagement. Au final, durant le printemps, les militants les plus volontaires ont continué à mener plus ou moins seuls leurs actions de travail sur le terrain ici et là.
On voit comment ces cellules bien constituées auraient été utiles pour coordonner mieux et plus vite des actions de récoltes de signatures, de distributions dans les boîtes-aux-lettres, d’affichage, de distribution de documents en mains propres, pour les votations, pour les manifestations, etc. En l’absence de ces cellules, il y a eu des retards et une perte d’efficience par rapport aux votations du 13 juin, le tout accentué par les incessants épisodes pluvieux. Avec un bon réseau, en place dès la fin de l’hiver, l’important matériel de campagne imprimé à grands frais par les Amis de la Constitution (dépliants, affiches, etc.) aurait pu être rapidement confié aux responsables des zones, qui l’auraient redistribué en interne. Toutes les zones de distribution et de travail auraient été claires pour l’ensemble du canton, sans risques de doublons. Donc si de vastes secteurs de Genève, regroupant plus d’habitants que des villes comme Sion, Fribourg où Neuchâtel ne peuvent pas générer des structures locales dynamiques, cela met en lumière notre inefficience et notre potentiel gâché.
Cogel de Dino que nous remercions.
PS: Le système des votes par correspondance a été conçu pour tricher massivement et nous faire entrer dans l’ONU, le FMI, l’OMS , la nouvelle constitution et ses nouveautés très dangereuses ..
Exactement cela, négligence, mépris du peuple au profit de la pensée dominante européiste, globaliste, les bonimenteurs autorisés du système médiatique font la loi, qu’est-ce c’est que ce peuple qui n’y comprend rien.